Boulangerie et Technologie de l’information et de la communication.
THEME : Boulangerie et Technologie de l’information et de la communication.
INTRODUCTION.
PARTIE 1 : CONCEPT GENERAL DES TECHNOLOGIES DE L’INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION.
- Quelques concepts clés.
1.1.1. Concept de technologie.
- Définition.
- Origines et histoire.
- Effet de la technologie.
1.1.2. L’information.
- Définition.
- Support de l’information.
- Information dans une entreprise.
1.1.3. La communication.
- Définition.
- Communication d’entreprise.
- Types de communication.
1.1.4. Les commerces électroniques et les médias électroniques.
- Les caractéristiques essentielles de l’élément de l’information et de la communication.
- L’importance du système d’information.
1.4. Evolution des moyens de communication.
1.4.1. NTIC : outil d’information/de communication et de relation client.
1.4.2. Moyen d’augmenter les ventes.
1.4.3. Les freins de développement des NTIC en entreprise.
- Les outils NTIC pour le développement de la communication.
1.5.1. Le courrier électronique.
1.5.2. Les blogs.
1.5.3. Internet.
PARTIE 2 : LE DEVELOPPEMENT DE LA COMMUNICATION AU SEIN D’UNE ENTREPRISE EN LANCEMENT : CAS DE LA BOULANGERIE.
2.1. Présentation de l’entreprise.
2.1.1. But/objectif métier.
2.1.2. Historique.
2.2. Analyse de l’environnement.
2.2.1. Environnement externe.
2.2.2. Environnement interne.
PARTIE 3 : PRESENTATION DES RECOMMANDATIONS ET PERSPECTIVES POUR L’ENTREPRISE.
3.1. L’avènement du web 2.0.
- Historique et définition.
- Intérêt.
3.2. Utilisation des réseaux sociaux
3.3.La stratégie digitale et numérique.
3.4. Le marketing viral.
CONCLUSION.
INTRODUCTION
De nos jours, les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication communément appelées les « NTIC » s’imposent de plus en plus dans les marchés internes et internationaux tant au niveau des échanges entre opérateurs économique qu’en matière de la publicité pour la promotion d’un nouveau produit ou d’une nouvelle société qui veut signer sa présence sur la scène nationale, régional et/ou international. Actuellement, ces NTIC sont d’autant plus utiles et primordiales que les personnes physiques qui œuvrent pour la bonne marche des affaires économiques, politiques et sociales de chaque entreprise. En effet, les NTIC sont essentiellement les plus grands maillons construisant la plupart des contextes organisationnels de chaque société. Cette nouvelle apparition des NTIC constitue bien sûr la plus grande révolution en matière économique et industrielle qui a su dominer le marché mondial de tous les secteurs d’activités avec un record inégalé en matière de temps d’acquisition de la domination.
En pratique, l’utilisation de ces NTIC fait apparaitre de nouvelles organisations à l’intérieur de chaque entreprise et société industrielle qui vont devoir réformer leurs systèmes d’organisations afin de pouvoir assurer et retenir leurs performances sur le marché en matière de compétition. Ainsi, de nouveaux usages et de nouvelles manières d’agir sont maintenant acquises par l’ensemble des entreprises mondiales et ces nouveaux comportements sont surtout vus sur leurs manières de communiquer et de proposer leurs produits sur le marché. De ce fait, on peut constater que la majeure partie des entreprises modernes ont adoptés de nouvelles stratégies de communication afin de commercialiser leurs produits ou leurs services. Parmi ces nouveaux types de communication inclues dans les stratégies marketing de chaque entreprise, il y a l’utilisation des médias électroniques et des outils de la nouvelle technologie de l’information et de la communication mais surtout du réseau internet afin de faire les publicités des produits et des services offerts par chaque entreprise sur le marché interne et/ou international. Mais l’étude de ces nouvelles stratégies de communication d’entreprise impose une étude de son environnement comme l’a invoqué monsieur MORIN : « Le regard écologique consiste à percevoir tout phénomène autonome dans sa relation avec son environnement »[1].
Etant en stage professionnelle au sein d’une entreprise familiale de boulangerie pendant une brève durée, j’ai pu noter l’importance et la nécessité de ces outils de la nouvelle technologie pour le lancement de cette entreprise d’où le choix de mon thème de mémoire qui se portera sur « Une entreprise familiale de boulangerie et de la Technologie de l’Information et de la Communication ». Par conséquent, notre présente étude sera sous-tendue par une grande question à savoir : En quoi la technologie de l’information et de la communication aide-t-elle une entreprise familiale de boulangerie de taille moyenne à lancer ses produits et sa marque sur le marché de son secteur d’activité? Ainsi, afin de pouvoir justifier ma constatation pratique et de répondre à la question posée ci-dessus, le présent document sera alors divisé en trois grandes parties :
La première partie rendra compte de la délimitation du domaine de l’étude. Une description de tous les concepts clés de la technologie de l’information et de la communication s’avère d’abord nécessaire avant de parler de l’importance de cette nouvelle technologie pour les entreprises modernes.
Une deuxième partie sera par la suite consacrée à la mise en exergue de l’entreprise familiale de boulangerie étudiée. Cette partie passera en revue une présentation générale de la société avant d’exposer une analyse de l’environnement actuel du marché de cette société.
Ensuite, une troisième et dernière partie retiendra notre attention sur la présentation des perspectives et recommandations pour une pérennité du bon fonctionnement de l’entreprise étudiée. Alors, une première sous-partie parlera de l’avènement du web 2.0. Puis, une seconde sous-partie analysera l’utilisation des réseaux sociaux par cette entreprise. Ensuite, une troisième sous-partie invoquera la stratégie digitale et numérique utilisée par l’entreprise. Enfin, une quatrième sous-partie présentera le marketing viral de l’entreprise.
Tel sera en gros l’architecture de notre travail !
PARTIE 1 : CONCEPT GENERAL DES TECHNOLOGIES DE L’INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION.
En effectuant un stage auprès d’une entreprise familiale de taille moyenne ayant pour activité la production de pain de diverses natures et formes pour une courte durée de six mois, j’ai pu me rendre compte de l’importance du système de communication via les outils de la nouvelle technologie de l’information et de la communication pour le bon fonctionnement et la forte compétitivité de cette entreprise. C’est pourquoi, analyser et étudier les atouts et les inconvénients de ce type de communication particulier sur la base de son utilisation par cette entreprise familiale me paraît essentielle dans l’optique de fournir un outil de travail pour les responsables communications du monde entier dans l’exercice de leurs fonctions. En fait, tout au long du présent travail, il est important d’aviser que le modèle choisi est celui de cette entreprise de boulangerie familiale. Ainsi, quelques précisions terminologiques (1.1) s’avèrent d’abord nécessaires afin que nous puissions parler les mêmes langages tout au long du document avant d’évoquer l’importance et les caractéristiques de ces systèmes d’informations et de communications de l’entreprise étudiée (1.2 ; 1.3 ; 1.4 ; 1.5).
- Quelques concepts clés.
En parlant des concepts clés, les points les plus importants qui feront l’objet des trois sous-parties de cette première sous-partie sont le concept de la technologie (1.1.1), la notion d’information (1.1.2) et la notion de communication (1.1.3) qui sont les trois mots composants l’expression « Technologie de l’Information et de la Communication ».
- Concept de technologie.
Dans cette sous-partie, nous allons nous consacrer à la mise en exergue de la définition, de l’origine et de l’histoire, et des effets de la technologie sur la vie entrepreneuriale actuelle.
- Définition
La technologie fait référence à la collection d’outils, des machines, des modifications, des dispositions et des procédures utilisées par l’Homme. L’ingénierie est la discipline qui cherche à étudier et à concevoir les nouvelles technologies. Les technologies affectent de manière significative l’Homme car lui donnent la capacité de se différencier des autres espèces animales, de contrôler et de s’adapter à son environnement naturel. Le terme peut être appliqué soit en général ou à des domaines spécifiques : comme exemple le terme peut inclure la technologie de la construction, la technologie médicale, la technologie de l’information, …
L’utilisation de la technologie par l’Homme a commencé avec la conversion des ressources naturelles comme des outils simples. La découverte préhistorique de la façon de contrôler le feu a augmenté les sources de nourriture disponibles et l’invention de la roue a aidé l’homme à voyager et à contrôler leur environnement. Les récents développements technologiques, notamment l’imprimerie, le téléphone et Internet, ont réduit les obstacles physiques à la communication et permis à l’être humain d’interagir librement à l’échelle mondiale. Cependant, la technologie n’a pas toujours été utilisée à des fins pacifiques car il y a le développement progressif d’armes de plus en plus destructrices tout au long de l’histoire[2]. La technologie a affecté la société et son environnement par de nombreuses façons. Dans de nombreuses sociétés, la technologie a permis de développer des économies plus avancées (y compris l’économie mondiale d’aujourd’hui) et a permis l’émergence d’une classe plus aisée. En même temps, de nombreux procédés technologiques produisent des effets indésirables, comme la pollution, et épuisent les ressources naturelles, au détriment de l’environnement de la Terre. Différentes implémentations de la technologie influent sur les valeurs d’une société et les nouvelles technologies soulèvent souvent de nouvelles questions éthiques. Les exemples incluent la hausse de la notion d’efficacité en termes de productivité humaine, un terme initialement appliqué uniquement aux machines, et le défi des normes traditionnelles[3].
Les débats philosophiques ont surgi sur l’utilisation actuelle et future de la technologie dans la société, avec des désaccords sur le fait que la technologie améliore ou aggrave la condition humaine. Le néo-luddisme, l’anarcho-primitivisme, et des mouvements similaires critiquent l’omniprésence de la technologie dans le monde moderne, opinant qu’elle nuit à l’environnement et aliène les gens; les partisans d’idéologies telles que le transhumanisme et techno-progressisme voient le progrès technologique comme bénéfique pour la société et la condition humaine. En effet, jusqu’à récemment, on croyait que le développement de la technologie a été limité uniquement aux êtres humains, mais les études scientifiques récentes indiquent qu’il peut aussi concerner d’autres être vivants de la planète. L’utilisation du terme « technologie » a considérablement changé au cours des deux cent dernières années. Avant le XXème siècle, le terme n’était utilisé que rarement, et a été généralement utilisé pour décrire ou étudier les arts utiles. Le terme a été souvent lié à l’enseignement technique[4]. Ensuite, le terme«technologie»s’est fait connaître au cours du XXème siècle dans le cadre de la deuxième révolution industrielle. Dans les années 1930, le sens de la «technologie» a été élargi en faisant référence à l’étude des arts industriels. En 1937, le sociologue américain Bain écrit que «la technologie inclut tous les outils, machines, ustensiles, armes, instruments, logement, vêtements, communicants et dispositifs et les compétences que nous produisons et utilisons. » Cette définition de Bain reste commune parmi la plupart des savants d’aujourd’hui, en particulier les scientifiques sociaux. Mais tout aussi importante est la définition de la technologie en tant que science appliquée, en particulier chez les scientifiques et les ingénieurs, bien que la plupart des chercheurs en sciences sociales qui étudient la technologie rejettent cette définition. Plus tard, des chercheurs ont emprunté des idées de philosophes européens pour étendre le sens de technologie à diverses formes de la raison instrumentale, comme dans l’œuvre de Foucault sur les techniques de soi.
Divers dictionnaires ont proposé une variété de définitions du terme. Par exemple le Dictionnaire Merriam-Webster propose une définition du terme comme étant « L’application pratique des connaissances, en particulier dans un domaine particulier». Ursula Franklin, dans sa conférence de 1989 intitulée « Real World of technolgy », a donné une autre définition de la notion comme étant une «pratique de la façon dont nous faisons les choses ». Le terme est souvent utilisé pour désigner un domaine spécifique de la technologie, ou pour se référer à la haute technologie ou l’électronique. La technologie peut être plus largement définie comme des entités, à la fois matérielles et immatérielles, créées par l’application de l’effort mental et physique afin d’atteindre une certaine valeur. Dans cette application, la technologie se réfère à des outils et des machines qui peuvent être utilisés pour résoudre les problèmes du monde réel. C’est un terme de grande envergure qui peut inclure des outils simples, ou des machines plus complexes, comme une station spatiale ou d’un accélérateur de particules. La technologie virtuelle, telle que les logiciels et les méthodes commerciales, entrent dans cette définition de la technologie. Le mot «technologie»peut également être utilisé pour se référer à un ensemble de techniques. Dans ce contexte, elle est l’état actuel de la connaissance de l’humanité et la façon de combiner les ressources pour produire des produits souhaités, pour résoudre les problèmes, répondre et satisfaire les besoins. Dans ce sens, la technologie comprend des moyens techniques, des compétences, des processus, des techniques, des outils et des matières premières. Lorsque le mot est combiné avec un autre terme, comme «la technologie médicale» ou «technologie de l’espace », il se réfère à l’état des connaissances et des outils du domaine respectif. La technologie peut être considérée comme une activité prise par les formes ou les changements de la culture. En outre, la technologie est l’application des mathématiques, des sciences et des arts pour le bénéfice de la vie humaine. Un exemple moderne est la montée de la technologie de la communication, qui a diminué les obstacles à l’interaction humaine. La technologie peut également aider à faciliter l’oppression politique et la guerre grâce à des outils tels que les armes à feu.
- Origines et histoire.
Les origines et l’histoire de la technologie remontent à des périodes très anciennes. Pour comprendre cette histoire, il est utile de faire un retour sur les périodes anciennes.
- Age de bronze :
L’âge du bronze a été marqué par la révolution néolithique qui a impliqué des changements radicaux dans la technologie agricole qui comprenait le développement de l’agriculture, la domestication des animaux, et l’adoption de règlements permanents. Ces facteurs combinés ont permis l’élaboration de la fonte des métaux, le cuivre et le bronze et plus tard, un alliage d’étain et de cuivre. Ces matériaux étaient des matériaux de choix, bien que les outils en pierre polie aient continué à être utilisés pendant un temps considérable en raison de leur abondance. Cette tendance technologique a apparemment commencé dans le Croissant fertile, et s’est propagée vers l’extérieur plus tard. Cependant, pendant cette période, ces évolutions n’ont pas encore été universelles[5].
- Age de fer :
L’âge du Fer a été marqué par l’adoption de la technologie par la fusion du fer. Il a remplacé généralement le bronze, et a permis de produire des outils qui étaient solides, plus légers et moins coûteux à fabriquer que les équivalents en bronze. Dans de nombreuses cultures eurasiennes, l’âge du fera été la dernière étape importante avant le développement de la langue écrite. Toutefois, il n’a pas été possible de fabriquer en masse l’acier parce que les températures des fours à gaz ont été nécessaires. Pendant les périodes anciennes, il y a eu la croissance des anciennes civilisations qui ont produit les plus grands progrès de la technologie et de l’ingénierie. Ces progrès ont stimulé d’autres sociétés à adopter de nouvelles façons de vivre et de gouverner. Les Egyptiens ont inventé et utilisé de nombreuses machines simples, comme la rampe pour faciliter les processus de construction. La civilisation de l’Indus, située dans une zone riche en ressources, est remarquable pour son application anticipée des technologies de l’urbanisme et de l’assainissement. L’Inde ancienne a également été à la pointe de la technologie maritime. La construction et l’architecture indienne, appelées «Vaastu Shastra», reflètent une compréhension approfondie de l’ingénierie des matériaux, de l’hydrologie et de l’assainissement[6].
Les peuples de la Mésopotamie (Sumériens, les Assyriens et les Babyloniens) ont été les inventeurs de la roue. Ces peuples ont également développé une architecture sophistiquée. Les murs de Babylone étaient tellement massifs qu’ils ont été cités comme une merveille du monde. Ils ont développé de vastes réseaux d’eau, de canaux pour le transport et l’irrigation, et des systèmes de captage d’étirement des dizaines de kilomètres. Leurs palais avaient des systèmes de drainage sophistiqués. L’écriture a été inventée en Mésopotamie, en utilisant l’écriture cunéiforme. De nombreux dossiers sur des tablettes d’argile et des inscriptions sur pierre ont survécu. Ces civilisations ont été les premières à adopter les technologies de bronze dont ils se servaient pour des outils, des armes et la statuaire monumentale. Les Babyloniens étaient des astronomes méticuleux, en gardant une série d’enregistrementscouvrant800 ans. Ils ont réussi à tracer les mouvements des planètes et prédire les éclipses[7]. Les Chinois étaient les auteurs de nombreuses découvertes et développements technologiques. Les contributions technologiques majeures de la Chine comprennent des détecteurs sismiques, l’invention du papier, la fonte, la charrue de fer, le semoir multitube, le pont suspendu, le parachute, le gaz naturel comme combustible, le compas magnétique, l’hélice, l’arbalète, et la poudre à canon.
Les ingénieurs grecs et hellénistiques étaient les auteurs d’innombrables inventions et d’améliorations apportées à la technologie existante. La période hellénistique en particulier a été marquée par un fort avancement technologique, favorisé par un climat d’ouverture aux nouvelles idées, l’éclosion d’une philosophie mécaniste, et la création de la Bibliothèque d’Alexandrie. Les innovations de la Grèce antique ont été particulièrement marquées par la technologie mécanique, dont l’invention du moulin à eau qui a constitué la première force motrice de l’Homme mis au point pour ne pas toujours s’appuyer sur le travail musculaire. Les inventeurs grecs étaient également les premiers à expérimenter l’énergie éolienne et à créer la machine à vapeur, ouvrant des possibilités entièrement nouvelles pour exploiter les forces naturelles, dont le potentiel ne serait pas exploité complètement que pendant la révolution industrielle. L’agriculture ancienne, comme dans toute période antérieure à l’ère moderne, était le principal mode de production et de subsistance, et ses méthodes d’irrigation ont été considérablement avancées par l’invention et l’application généralisée d’un certain nombre de dispositifs de levage. Parmi ces dispositifs, la roue verticale, la roue compartimentée, la turbine, la vis d’Archimède, la pompe de la force, la pompe d’aspiration, la pompe à piston à double action, et la pompe de la chaîne. Le célèbre mécanisme d’Anticythère, un type d’ordinateur analogue travaillé avec un engrenage différentiel, montre un grand raffinement dans la science astronomique. Les ingénieurs grecs furent également les premiers à concevoir des automates tels que les distributeurs automatiques, des pots d’encre en suspension, lavabos et des portes automatiques. Dans d’autres domaines, des anciennes inventions grecques comprennent la catapulte, l’infrastructure du phare, le chauffage central, le tunnel creusé par les deux extrémités par des calculs scientifiques, la voie de roulement de navire, la plomberie, … Les Romains ont développé une agriculture intensive et sophistiquée, une agriculture développée sur la technologie du travail de fer ; ont créé des lois prévoyant la propriété individuelle, la technologie de maçonnerie en pierre de pointe, la construction de routes de pointe (dépassé seulement au XIXème siècle), le génie militaire, le génie civil, la filature et le tissage et plusieurs machines différentes, comme la moissonneuse qui a contribué à accroître la productivité dans de nombreux secteurs de l’économie romaine. En même temps, les ingénieurs romains ont été les premiers à construire des arches monumentales, des amphithéâtres, des aqueducs, des bains publics, de véritables ponts en arc, les ports, les réservoirs et les barrages, les voûtes et dômes sur une très grande échelle dans leur Empire. Les inventions romaines notables incluent le livre(Codex), et parce que Rome était situé sur une péninsule volcanique, avec du sable qui contenait des grains cristallins appropriés, le béton construit par les Romains était particulièrement durable. Certains de leurs bâtiments ont duré 2000 ans jusqu’à nos jours.
Les compétences d’ingénierie des civilisations Inca et des Mayas étaient impressionnantes, même selon les normes actuelles. Les villages utilisaient des canaux d’irrigation et de drainage, ce qui rend l’agriculture très efficace. Certains chercheurs ont prétendu que les Incas ont été les premiers inventeurs de la culture hydroponique. Bien que la civilisation Maya n’eût pas la technologie de la métallurgie ou de la roue, elle a développé des systèmes d’écriture et astrologiques complexes, et créé des œuvres sculpturales en pierre et ensilex. Comme les Inca, les Mayas avaient aussi une technologie agricole et de construction assez avancée. Tout au long de cette période, beaucoup de cette construction a été faite uniquement par des femmes, comme les hommes de la civilisation maya ont cru que les femmes étaient responsables de la création de nouvelles choses. La principale contribution de l’État aztèque était un système de communication entre les villes conquises.
- Epoque de l’Europe médiévale :
La technologie européenne au Moyen Age peut être mieux décrite comme une symbiose de tradition et innovation. La technologie médiévale a été longtemps présentée comme un pas en arrière dans l’évolution de la technologie occidentale ; parfois des auteurs modernes ont volontairement dénoncé l’église comme antagoniste au progrès scientifique (voir par exemple Mythe de la Terre plat). Une génération de médiévistes américains autour de l’histoire des sciences a souligné dans les années 1940 le caractère innovant de nombreuses techniques médiévales. Les contributions médiévales authentiques comprennent par exemple des horloges mécaniques, des spectacles et des moulins verticaux. L’ingéniosité médiévale a été également affichée dans l’invention des éléments apparemment discrets comme le bouton fonctionnel filigrane. En navigation, il y a eu l’introduction de gouvernails pivot, voiles latines, la boussole sec, le fer à cheval et l’astrolabe. Des progrès importants ont également été réalisés dans la technologie militaire avec le développement de l’armure de plaque, arbalètes en acier, trébuchets de contrepoids et canon. Le Moyen Âge est peut-être mieux connu pour son patrimoine architectural. L’invention de la voûte d’ogives a donné naissance au haut style gothique flamboyant, les fortifications médiévales omniprésentes a donné à l’époque le titre presque proverbial de«l’âge de châteaux ».
La fabrication du papier, une technologie chinoise du IIème siècle, a été réalisée au Moyen-Orient, quand un groupe de fabricants de papier chinois a été capturé au VIIIème siècle. La technologie de fabrication de papier a été étendue au Méditerranée par les conquêtes musulmanes. Une usine de papier a été créée en Sicile au XIIème siècle. En Europe, la fibre pour faire la pâte pour la fabrication du papier a été obtenue à partir de lin et de coton chiffons. L’invention du papier a été un facteur déterminant dans le développement de l’imprimerie.
- La période de la renaissance et la technologie :
L’époque est marquée par des progrès techniques profonds comme la perceptivité linéaire, droit de brevets, etc. Les livrets de la Renaissance des artistes-ingénieurs comme Taccola et Leonardo da Vinci donnent un aperçu en profondeur de la technologie mécanique connue et appliquée pendant cette époque. Les architectes et les ingénieurs ont été inspirés par les structures de la Rome antique, et des hommes comme Brunelleschi ont créé à la suite le grand dôme de la cathédrale de Florence. Les premiers brevets de création de technologie ingénieuse ont commencé à apparaître pendant cette période. La technologie militaire se développe rapidement avec la généralisation de l’arbalète et de l’artillerie de plus en plus puissantes. Cette époque a aussi été marquée par des conflits entre cités-États dans différents pays du monde. De puissantes familles comme les Médicis étaient des patrons incontestés des arts et des sciences. La science durant la Renaissance a donné naissance à la révolution scientifique ; la science et la technologie ont commencé un cycle de progrès mutuel. En même temps, l’invention de la presse mobile d’impression a conduit à une augmentation considérable du nombre de livres et le nombre de titres publiés.
- Révolution industrielle :
La révolution industrielle britannique est caractérisée par l’évolution dans les domaines de la fabrication de textile, des mines, de la métallurgie et des transports grâce au développement de la machine à vapeur. La révolution a été alimentée par l’énergie abordable sous forme de charbon, produit dans des quantités des ressources abondantes de la Grande-Bretagne. L’utilisation de l’énergie par le charbon a donné la possibilité de l’utilisation du haut fourneau et la fonte en quantités beaucoup plus importantes de matériaux comme le fer. Pendant cette époque, la place de l’énergie à partir du charbon a été importante comme source précieuse d’énergie. La machine à vapeur a permis de drainer les mines, donc plus de réserves de charbon ont pu être accessibles, et la production de charbon a augmenté. Le développement de la machine à vapeur à haute pression a rendu possible les locomotives, et une révolution des transports a suivi.
- XIXème siècle :
Le XIXème siècle a connu des développements étonnants en matière de transport, de la construction et des technologies de communication en provenance d’Europe, notamment en Grande-Bretagne. La machine à vapeur qui existait depuis le début du XVIIIe siècle, a été pratiquement appliquée à la fois au bateau à vapeur et au transport ferroviaire. La première ligne de chemin de fer construit à cet effet a ouvert entre Manchester et Liverpool en 1830, la locomotive Rocket de Robert Stephenson étant l’une des premières locomotives de travail utilisées sur la ligne. La télégraphie a également développé une technologie en pratique dans le XIXème siècle pour aider à gérer les chemins de fer en toute sécurité. D’autres technologies ont été explorées pour la première fois, à l’exemple de l’ampoule à incandescence. L’invention de l’ampoule à incandescence a eu un effet profond sur le lieu de travail parce que les usines pouvaient désormais travailler encore plus en prolongeant les horaires. La fabrication de poulies de navires par des machines tout en métal dans les moulins de blocs Portsmouth a incité l’âge de la production de masse. Les machines et outils utilisés par les ingénieurs pour fabriquer des pièces ont commencé dans la première décennie du siècle, notamment par Richard ROBERTS et Joseph WHITWORTH. Le développement de pièces interchangeables, grâce à ce qu’on appelle maintenant le système américain de la fabrication a commencé dans l’industrie des armes à feu dans les arsenaux fédéraux américains dans le début du XIXe siècle, et fut largement utilisé par la fin du siècle. La production de chaussures a été mécanisée et la couture a été introduite dans le milieu du XIXème siècle. La production de masse de machines à coudre et de machines agricoles comme les moissonneuses a eu lieu vers le milieu à la fin du XIXème siècle. Les vélos étaient produits en masse au début des années 1880. Les usines à vapeur se sont répandues, bien que la conversion de la puissance de l’eau en vapeur se soit produite en Angleterre avant les États-Unis.
Les bateaux à vapeur ont contribué essentiellement à l’ouverture maritime de beaucoup de pays à l’exemple de l’ouverture du Japon et de la Chine au commerce avec l’Occident. La deuxième révolution industrielle à la fin du XIXème siècle a vu le développement rapide des technologies de l’acier lié à la recherche d’une technologie chimique et électrique très structurée, etc. Il faut savoir que la période du dernier tiers du XIXe siècle jusqu’à la Ière Guerre mondiale est parfois appelée la seconde révolution industrielle.
- XXème siècle :
Au XXème siècle, la technologie se développe rapidement. Les technologies de communications, la technologie des transports, l’enseignement et la mise en œuvre de large méthode scientifique, et les dépenses de recherche accrue ont tous contribué à l’avancement de la science et de la technologie moderne. Il y a eu des gains scientifiques directement liés à la recherche militaire et le développement ; les technologies de calcul électroniques quant à elles ne se sont pas développées aussi rapidement en partie en raison de la guerre. La radio, le radar, et l’enregistrement sonore au début étaient des technologies clés qui ont ouvert la voie pour le téléphone, le télécopieur et le stockage magnétique de données. Les améliorations de l’énergie et de la technologie du moteur étaient également vastes, à l’exemple de l’énergie nucléaire. Le transport par fusées était un développement remarquable pendant ce siècle. Faisant usage des ordinateurs et des laboratoires et de recherche de pointe, les scientifiques modernes ont pu développer de nombreuses inventions. L’US National Academy of Engineering, par un vote d’experts, a établi le classement suivant des développements technologiques les plus importants du XXème siècle :
– Electrification.
– Automobile.
– Avion.
– L’approvisionnement en eau et de la distribution.
– Electronique.
– Radio et Télévision.
– L’agriculture mécanisée.
– Ordinateurs.
– Téléphone.
– Climatisation et de réfrigération.
– Voirie.
– Vaisseau spatial.
– Internet.
– La technologie d’imagerie.
– Electroménager.
– Technologies de la santé.
– Technologies pétrolières et pétrochimiques.
– Laser et Fibre Optique.
– La technologie nucléaire.
– La science des matériaux.
- XXIème siècle :
Au début du XXIème siècle, la principale technologie en cours de développement est l’électronique. L’accès à Internet haut débit est devenu une monnaie courante dans les pays développés, ainsi qu’Internet sans fil sur les Smartphones qui permettent la lecture multimédia (vidéo, audio, et des livres électroniques) et l’exécution d’autres applications (par exemple, la navigation, des outils de productivité et jeux). Les recherches se poursuivent dans les ordinateurs quantiques, la nanotechnologie, le génie biologique/biotechnologie(la médecine personnalisée, la thérapie génique, le développement de vaccins, le clonage, les protéines de régénération, etc.), la fusion nucléaire et les réacteurs de génération nucléaires, les matériaux de pointe, la combustion supersonique, la supraconductivité, et les technologies vertes telles que les carburants de remplacement (par exemple les piles à combustible, auto-conduite électrique), les appareils portables, l’intelligence artificielle. Les conceptions d’engin spatial ont également en cours de développement. Dans cet exemple, le télescope spatial James WEBBVA essayer d’identifier les premières galaxies ainsi que l’emplacement exact du système solaire dans notre galaxie en 2018, le télescope spatial de la technologie avancée à grande ouverture a une meilleure résolution et une sensibilité que ses prédécesseurs.
- Effet de la technologie
La technologie fonctionne et fait désormais partie intégrante de la vie de la société. Elle est devenue le carburant qui alimente cette société et la vie quotidienne de tout un chacun. Autrement dit, la technologie a profité à la société. Elle a apporté le luxe dans cette société. L’automatisation apportée par la technologie a permis d’économiser du temps et d’effort humain dans une large mesure. Elle a en même temps permis l’accès plus simplifié à l’information à des endroits éloignés. Avec la technologie, la notion de distance est devenue moins large. Les effets de la technologie peuvent être perçus dans différents domaines importants. L’automatisation des processus dans l’industrie et la consommation : la technologie a permis d’automatiser la plupart des processus critiques dans l’industrie ainsi que le ménage. La quantité de travail qui devait être impliquée dans des processus industriels aurait été importante si le concept d’automatisation n’avait pas existé. Les gadgets électroniques sont entrés dans les ménages pour aider l’Homme dans ses ennuis des tâches quotidiennes. Ces tâches faisaient perdre beaucoup de temps pendant l’époque où il n’y avait pas encore de machines et d’appareils électroménagers. Actuellement, c’est l’âge de la robotique. Les machines peuvent apprendre, adopter de nouvelles choses et exécuter des tâches avec une efficacité quasi-humaine.
- Modes de changement des Transports :
L’industrie automobile et la technologie ont liées. Le temps a vu évoluer cette industrie en partant des scooters mécaniques aux aéronefs automatisés. Pendant les temps anciens, les animaux étaient les seuls modes de transport. La technologie était la force motrice de la création et de la conception des voitures modernes. Les vélos ont évolué en scooters et en motos sportives. L’idée d’avoir des modes de transport à quatre roues a donné lieu à la création des voitures. Ensuite, les modes de transport aérien et ferroviaire sont apparus, grâce à la technologie.
- Réduction des risques pour la vie humaine :
Les machines ont automatisé de nombreux procédés industriels cruciaux. Les machines sont en train d’effectuer des tâches ayant été faites par les travailleurs humains. Cependant, la technologie a évolué à un point où les machines peuvent effectuer des tâches qui ne sont pas possibles pour l’homme, soit parce qu’elles sont risquées, voire mortelles, ou parce qu’elles sont au-delà des capacités humaines. L’utilisation des technologies de pointe comme la robotique et l’intelligence artificielle s’est avérée utile dans les efforts et les activités présentant des risques pour l’Homme comme l’exploration minière et de l’espace. La gestion des données et la recherche d’information : la technologie informatique a changé la face du monde. Les ordinateurs peuvent stocker, organiser et gérer d’énormes quantités de données. Ils peuvent traiter de grandes quantités d’informations. Les ordinateurs ont donné lieu à l’industrie du logiciel, l’une des industries les plus progressistes du monde. Internet qui en semence des concepts de mise en réseau de l’ordinateur est la plate-forme de communication la plus efficace et la plus grande base de données existante aujourd’hui.
– Impact sur le divertissement et la publicité :
Internet a apporté un changement positif pour les industries du divertissement et de la publicité. Sur Internet, les publicités peuvent atteindre des masses en quelques secondes. Les publicités sur Internet ont changé les équations de l’industrie de la publicité. La promotion sur Internet est beaucoup plus efficace que d’autres formes de promotion des produits. Les médias de divertissement ont progressé avec la progression de la technologie. Les films, chansons, jeux sont devenus disponibles en seulement quelques clics de souris. Les gens ont commencé à utiliser Internet pour regarder et télécharger des films, écouter de la musique, jouer à des jeux et se divertir.
- Début de l’ère numérique :
Il est indéniable de dire que nous vivons dans un monde numérique ; c’est l’ère du numérique. La numérisation de l’information a permis un stockage sous différentes formes. En outre, la numérisation enrichit la qualité de stockage de données. Les voix numériques et les images numériques sont des preuves d’une qualité supérieure. Les appareils photo numériques et les téléviseurs numériques offrent aux utilisateurs une qualité d’image enrichie, améliorant ainsi l’expérience de l’utilisateur avec la technologie.
- La communication redéfinie :
La communication cellulaire a révolutionné l’industrie de la communication. Le téléphone classique, aussi un morceau de la technologie, a été l’un des premiers développements technologiques en matière de communication. Les téléphones mobiles ont élargi les horizons de la communication en permettant la pratique des appels longue distance et l’utilisation mobile. Les courriels et messages téléphoniques sont devenus des moyens permettant de se connecter plus facilement. En raison de l’évolution de la technologie, la communication est devenue une communication sans fil. Le réseautage social est un autre facteur déterminant. Il a donné une dimension toute nouvelle à la communication, de divertissement et de loisirs.
- Technologie satellite :
La communication par satellite est une facette importante de la technologie. La télévision par satellite et la radio par satellite ont facilité la diffusion d’événements à travers le monde. Pas uniquement à la télévision et à la radio, même la communication aux navires et aux avions n’auraient pas été possible sans communication par satellite. Même les appareils portatifs auraient été d’aucune utilité sans cette technologie. Ces domaines n’étaient encore que quelques domaines influencés par la technologie. Il est presque impossible de faire appel à tous les effets positifs de la technologie sur la société. La technologie rapide a fait progresser dans l’ensemble, donné un élan à l’évolution dans divers domaines et améliorer la qualité de la vie humaine. Ainsi, il y a moins de risques, moins d’efforts, moins de dégâts. Il y a plus de loisirs, plus de facilité et plus de vitesse dans la réalisation des activités par le biais de la technologie.
– L’E-mail :
Le courrier électronique, ou e-mail, a été l’un des premiers changements dans la façon dont les entreprises utilisent la technologie pour communiquer avec des personnes. La capacité de communiquer l’information à de nombreuses personnes à la fois, sans convoquer une réunion ou nécessitant l’impression des matériaux, a été transformée en un dispositif permettant un gain de temps important. Un des points positifs de la messagerie est la rapidité de livraison et la réduction des coûts de papier. Plus de gens passent plus de temps sur e-mail que sur d’autres projets. Toutefois, un e-mail mal écrit peut conduire à la confusion plutôt que de clarté, dans le lieu de travail.
- Messagerie texte :
La messagerie texte est l’un des moyens les plus populaires pour communiquer. Plutôt que de voir ou de parler à une personne en face-à-face, il est possible de parler à une personne au téléphone selon la guise de la personne. Il peut être un outil efficace pour localiser une personne dans une foule ou de parler à quelqu’un se trouvant à une distance éloignée. La messagerie texte a également sa propre langue, une forme abrégée de la parole qui a trouvé sa place dans les salles de classe et les entreprises.
- Messagerie instantanée:
La messagerie instantanée a connu son essor depuis les années 1990. Il a été principalement utilisé par des personnes pour communiquer tout en faisant leurs devoirs et leur travail et juste pour rester en contact. Ce type de communication est devenu abordable. Les entreprises ont réalisé le potentiel de communication en temps réel à partir de l’ordinateur entre les employés. La messagerie instantanée a permis aux gens de rejoindre d’autres personnes sans avoir à utiliser le téléphone. La possibilité d’avoir de réponse aux questions permet immédiatement au personnel de soutien à la clientèle de travailler plus vite sans irriter le client. L’inconvénient est que les employés sont moins susceptibles de s’engager dans des activités sociales, loin de leurs ordinateurs. Beaucoup de personnes restent à la maison parler par messagerie instantanée plutôt que sur le téléphone ou en personne.
- Médias sociaux:
Les médias sociaux ont apporté une révolution dans la façon dont les gens planifient des événements et communiquent entre eux. Plutôt que de parler à leurs amis en personne, ils peuvent poster un commentaire au sujet de leur vie. La révolution des médias sociaux a permis aux gens de renouer des amitiés, se faire de nouveaux amis et d’acquérir de nouveaux intérêts. Certaines personnes vont utiliser les médias sociaux pour se faire de nouvelles relations avec d’autres personnes. Le cyber intimidation est l’un des problèmes avec les médias sociaux. Les médias sociaux peuvent aider à rester en contact les amis, mais ils peuvent aussi être dangereux pour la carrière de vie. La quantité d’informations mise sur Internet surles médias sociaux, voulue ou non, affecte la personne dans le monde réel. Il est également important de souligner que la technologie a eu des impacts sur le développement des pays. En effet, les progrès sont également accompagnés par une réduction du temps, des efforts et de coût de production pour le développement. Ces progrès ne fournissent pas seulement un stimulus pour l’amélioration des conditions de vie, mais aussi pour stimuler de nouvelles idées et perspectives et d’agir comme un facteur de motivation pour d’autres améliorations. Inutile d’ajouter que ces progrès tonifient aussi le développement économique et que l’utilisation efficace de la technologie réduit le coût de production de matériaux et les frais généraux qui génèrent des économies et conduisent ainsi au développement national.
1.1.2. L’information.
Toujours dans l’objectif d’étudier les concepts de base de la technologie de l’information et de la communication, cette seconde sous-partie sera alors usitée à l’étude de la définition, de l’histoire, des supports et de l’importance de l’information sur la vie d’une entreprise moderne.
- Définition
L’information est celle qui informe, c’est à dire celle à partir duquel les données peuvent être dérivées. L’information est transmise soit par le contenu d’un message ou par l’observation directe ou indirecte de quelque chose. Ce qui est perçu peut être interprété comme un message dans son propre droit, et dans ce sens, l’information est toujours transmise à partir du contenu d’un message. L’information peut être codée dans diverses formes pour la transmission et l’interprétation. Par exemple, l’information peut être codée en signes et transmise par des signaux.
En thermodynamique, l’information est tout type d’événement qui affecte l’état d’un système dynamique qui peut interpréter l’information. L’information résout une incertitude. L’incertitude d’un événement est mesurée par sa probabilité d’occurrence et inversement proportionnel. L’information est nécessaire pour résoudre l’incertitude d’un événement. Le concept de l’information est que le message a différentes significations dans différents contextes. Ainsi, le concept de l’information devient étroitement lié aux notions de contrainte, communication, contrôle, données, forme, instruction, connaissance, sens, la compréhension, stimuli mentaux, modèle, perception, représentation, et l’entropie.
Les données qui sont précises et en temps opportun, spécifiques et organisées pour un but, présentées dans un contexte qui leur donne un sens et une pertinence, peuvent conduire à une augmentation de la compréhension et de la diminution de l’incertitude. L’information est précieuse car elle peut affecter le comportement, une décision ou un résultat. Une information est considérée comme sans valeur si, après l’avoir reçu, les choses restent inchangées. Sur le plan étymologique, le mot a été apparemment dérivé de la racine latine « infos », du nominatif « informatio ». Ce nom est dérivé du verbe informare qui signifie « informer ».
Stewart (2001) a fait valoir que la transformation de l’information en connaissance est critique. Pour lui, elle se situe au cœur de la création de valeur et constitue un avantage concurrentiel pour l’entreprise moderne.
Le Dictionnaire danois de l’information souligne que l’information ne donne qu’une réponse à une question posée. La réponse fournit dépend des connaissances et des renseignements à la disposition de la personne. Donc, selon ce dictionnaire, une définition généralisée du concept devrait être : « Information »= Une réponse à une question spécifique. Quand Marshall Mc LUHAN parle des médias et de leurs effets sur les cultures humaines, il se réfère à la structure des objets qui, à son tour façonnent nos comportements et nos mentalités. En outre, dans ce sens, on parle d’«information».
L’histoire de l’information peut se référer à chacune des catégories énumérées ci-dessous (ou à des combinaisons de celles-ci). Les racines latines et origines grecques du mot «information» sont présentées par CAPURRO & HJORLAND (2003). Les références sur la formation ou le moulage de l’esprit ou du caractère, la formation, l’enseignement, datent du XIVème siècle, à la fois en anglais (selon Oxford English Dictionary) et d’autres langues européennes. Lors du passage du Moyen Âge à l’époque moderne, l’utilisation de la notion d’information reflète le fait de communiquer quelque chose à quelqu’un. Peters (1988, pp12-13) conclut que l’information a été déployée facilement dans la philosophie empiriste (même si elle a joué un rôle moins important que d’autres termes tels que « impression » ou « idée ») parce qu’elle semblait décrire les mécanismes de la sensation : les objets dans le monde informent les sens. Cependant, la sensation est totalement différente de l’information ; l’une est sensuelle, l’autre intellectuelle ; l’une est subjective, l’autre objective. Pour HUME, l’expérience sensorielle est surtout un tourbillon d’impressions coupées de tout lien avec le monde réel… En tout cas, la problématique empirique était de savoir comment l’esprit est informé par les sensations du monde. Si autrefois, le terme informer renfermait l’idée de « forme par », plus tard, le sens était devenu relatif à des rapports « reçus de ».
L’information a été de moins en moins référée à la commande interne ou la formation, puisque l’empirisme n’autorisé aucune formes intellectuelles préexistantes en dehors de la sensation elle-même. Au lieu de cela, l’information est venue de se référer au fragmentaire, fluctuant, des choses au hasard de sens. L’information, comme la vision du monde moderne, en général, est passée d’un cosmos divinement ordonné à un système régi par le mouvement des corpuscules. Pendant l’ère moderne, l’influence la plus importante sur la notion d’information est dérivée de la théorie de l’information développée par Shannon et autres. Toutefois, cette théorie, reflète une contradiction fondamentale. Ainsi, en fait deux métaphores contradictoires sont utilisées : la métaphore bien connue de l’information comme une quantité, comme l’eau dans la pipe à eau, mais c’est aussi une seconde métaphore, celle de l’information comme un choix, un choix fait par un fournisseur d’information, et un choix forcé faite par un récepteur d’informations. En fait, la deuxième métaphore implique que l’information envoyée ne soit pas nécessairement égale à l’information reçue, parce que tout choix implique une comparaison avec une liste de possibilités, c’est à dire, une liste de significations possibles. Ainsi, une grande partie de la confusion en ce qui concerne la notion d’information semble être liée à la confusion de base de métaphores dans la théorie de Shannon. Logiquement parlant, sa théorie implique l’information comme un phénomène subjectif. Mais cela avait tellement de larges impacts épistémologiques que Shannon ne semble pas réaliser pleinement ce fait logique. Par conséquent, il a continué à utiliser des métaphores sur l’information comme si elle s’agissait d’une substance objective. C’est la contradiction inhérente de base de la théorie de l’information de Shannon (QVORTRUP, 1993, p. 5)
Dans leur livres éminal « L’étude de l’information: Messages interdisciplinaires », MACHLUP et MANSFIELD (1983) ont recueillies les principales vues sur la controverse interdisciplinaire en informatique, intelligence artificielle, sciences de l’information, la linguistique, la psychologie et la physique, ainsi que dans les sciences sociales. MACHLUP (1983, p. 660) se sent en désaccord avec l’utilisation de la notion d’information dans le cadre de la transmission de signal. L’information est adressée à l’esprit humain et est reçue par l’esprit humain. Tous les autres sens, y compris son utilisation en ce qui concerne les organismes non-humains et à la société dans son ensemble, sont, selon MACHLUP, métaphorique comme dans le cas de la cybernétique, anthropomorphe. HJORLAND (2007) a décrit la différence fondamentale entre les vues subjectives et objectives de l’information et a fait valoir que le point de vue subjectif a été soutenu par d’autres auteurs comme Bateson, Yovits, Spang Hanssen, Brier, Buckland, et Goguen. Hjorland a donné l’exemple suivant :
Une pierre sur un champ pourrait contenir des informations différentes pour différentes personnes (ou d’une situation à une autre). Il n’est pas possible pour les systèmes d’information à la carte de présenter toute l’information possible de la pierre pour chaque individu. Une pierre dans un champ représente typiquement un type d’information pour le géologue, et un autre type pour l’archéologue. Les informations de la pierre peuvent être mises en correspondance avec différentes structures de connaissances collectives produites par exemple en géologie et en archéologie. L’information peut être identifiée, décrite, représentée dans les systèmes d’information pour les différents domaines de la connaissance. Effectivement, il existe beaucoup d’incertitudes et de nombreux problèmes pour déterminer si une chose est informative ou non pour un domaine. Certains domaines ont un degré élevé de consensus et des critères assez explicites de pertinence. D’autres domaines ont des paradigmes contradictoires (HJORLAND, 1997, p. 111). L’histoire de l’information est une discipline émergente liée plus largement à l’histoire des bibliothèques. Une importante introduction et un important examen ont été fais par Alistair Black (2006). Un savant prolifique dans ce domaine est aussi Toni Weller. Dans le cadre de son travail, Toni Weller a fait valoir qu’il existe des liens importants entre l’âge de l’information moderne et ses précédents historiques.
Alistair Black (2006, p445) a écrit : « Ce chapitre explore les questions de définition de la discipline et la légitimité en segmentant l’histoire de l’information dans ses différentes composantes :
– L’histoire de l’impression et de la culture écrite, associée à l’histoire des bibliothèques et de la bibliothéconomie, l’histoire du livre, l’histoire de l’édition, et l’histoire de la lecture.
– L’histoire de plusieurs disciplines et la pratique de l’information récente, c’est-à-dire, l’histoire de la gestion de l’information, systèmes d’information, et sciences de l’information.
– L’histoire de zones contiguës, comme l’histoire de la société de l’information et de l’infrastructure de l’information, enveloppant nécessairement l’histoire de la communication (y compris l’histoire des télécommunications) et l’histoire de la politique d’information.
– L’histoire de l’information avec l’histoire sociale, en mettant l’accent sur l’importance des réseaux d’information informels ».
En ce qui concerne l’histoire de la technologie de l’information, le terme est ambigu, bien que la plupart du temps soit synonyme de la technologie informatique. HAIGH (2011, pp. 432-433) a écrit : « En fait, la grande majorité des références à la technologie de l’information ont toujours été préoccupés parles ordinateurs, bien que la signification exacte a évolué au fil du temps (Kline, 2006). L’expression a reçu sa première utilisation importante dans un article de la Harvard Business Review (HAIGH, 2001b). Leavitt et Whisler (1958) visaient à promouvoir une vision technocratique pour l’avenir de la gestion des affaires. Sa définition initiale a été à la conjonction des ordinateurs, des méthodes de recherche opérationnelle et les techniques de simulation. Les technologies de l’information décrivent maintenant la convergence attendue de l’informatique, des médias, et des télécommunications (et leurs technologies), compris dans le contexte plus large d’une vague d’enthousiasme pour la révolution informatique, société postindustrielle, société de l’information (Webster, 1995), et d’autres expressions à la mode de la croyance que la nouvelle technologie électronique apportait une profonde rupture avec le passé.
Comme il se répandit largement dans les années 1980, de plus en plus l’ordinateur a révolutionné le monde de l’information. Une des caractéristiques des technologies de l’information et de la communication est qu’elles permettent à la fois d’informer et de communiquer, ce qui présente un atout fondamental dans leur utilisation. Ainsi, l’avènement des technologies de l’information et leur utilisation à long terme a donné naissance à la société de l’information.
- Histoire de la société de l’information :
Le chercheur danois Niels OLE FINNEMANN (2001) a développé une histoire générale des médias. Selon ce chercheur, «Une société dans laquelle la production et l’échange d’informations ne sont que d’une importance mineure, ne peut exister. Niels OLE FINNEMANN a suggéré la matrice d’information suivante :
– les cultures orales basées principalement sur le discours.
– les cultures alphabétisées: discours + écrit (alphabets primaires et les systèmes numériques).
– les cultures d’impression: la parole écrite + textes + impression.
– les cultures de mass-médias: la parole écrite + textes + impression+ médias analogiques électriques.
– les cultures alphabétiques de second ordre : la parole écrite + textes + impression + médias analogiques électriques + de médias numériques.
Beaucoup d’historiens de l’information scientifique citent Paul OTLET et Henri La Fontaine comme les pères des sciences de l’information avec la fondation de l’Institut International de Bibliographie (IIB) en 1895. Sur le plan institutionnel, la science de l’information a émergé dans la dernière partie du XIXe siècle. HETING Chu (2010) a classé l’histoire et le développement de la représentation de l’information et de la récupération(IRR) en quatre phases :
– L’augmentation de la demande (1940 – début des années 1950) : qui correspond à la phase de l’explosion des informations ;
– La phase de la croissance rapide (1950 – années 1980) : caractérisée par l’émergence des ordinateurs et des systèmes tels que les bases de données en ligne ;
– La phase de démystification (1980 – années 1990) : émergence des systèmes développés pour la recherche de l’utilisateur final ;
– L’ère du réseau (1990 – à nos jours) : essor des moteurs de recherche à l’exemple de Google.
- Support de l’information.
On appelle support de l’information « tout moyen matériel, quelles qu’en soient la forme ou les caractéristiques physiques, tant qu’il permet de recevoir, conserver ou restituer des informations ou des données »[8]. En d’autres termes, tout élément physique qui donne la possibilité de faire la réception, la conservation et la restitution d’une information peut être considéré comme un support de l’information. Il faut alors signaler qu’en raison de l’évolution actuelle de la technologie de l’information et de la communication, les supports de l’information tendent à être informatisés c’est à dire qu’il y a actuellement la présence de plus en plus massive de supports d’informations informatiques ou encore électroniques. Parmi ces supports d’informations électroniques et informatiques, on peut citer les supports magnétiques, les supports optiques et les supports électroniques qui peuvent se présenter de nos jours sur le marché sous diverses formes. Ils sont tous appelées des supports de l’information dès lors que ces supports permettent aux usagers de stocker de manière durables des données informatiques ou autres.
Dans ce sens, on peut alors dire que l’information est une chose immatérielle qui a besoin d’être inscrite sur un support matériel pour être accessible. Une fois que ce support contient une information immatérielle, il va donner naissance au document. L’utilisation des différents supports de l’information varie selon le type. Certains supports ne sont pas plus utilisés actuellement si de nouveaux supports apparaissent avec l’évolution des nouvelles technologies. Parmi les supports d’informations dont l’utilisation a été délaissée, il y a le papyrus, le parchemin (codex). Certains supports sont aussi de moins en moins utilisés avec le temps comme les diapositifs et les négatifs qui sont des supports d’informations photographiques et les cassettes-audio et vidéos qui sont des supports d’informations magnétiques.
Actuellement, les supports d’informations qui sont utilisés fréquemment sont très variés. Parmi ces supports, il y a ceux qui peuvent être directement lus de façon directe sur des supports papiers (livres, affiches, …) et ceux qui exigent l’intervention et l’usage d’un appareil comme un poste d’ordinateur ou un lecteur de disque pour pouvoir être lu. Dans cette dernière catégorie de supports d’informations, il y a les CD audio, CD-Rom, DVD-Rom qui sont des supports d’informations optiques et les sites internet et les réseaux sociaux qui sont des supports d’informations électroniques. Le schéma suivant présente les types de supports d’informations qui sont en général disponibles dans un centre de documentation moderne.
Il existe alors différents supports de l’information, et chaque support utilisé peut présenter des avantages et aussi des inconvénients.
- Information dans une entreprise
L’information dans une entreprise est l’un des trois principaux segments de l’industrie de l’information. Les deux autres segments sont le contenu Scientifique, Technique et Médicale (STM) et l’information de l’éducation et de la formation.
Les annonceurs dominent le segment de l’information d’entreprise. En effet, le segment de l’information d’entreprise reste largement tiré par des contenus payants, soit par souscription ou transaction (pay-per-view). Les formes principales d’information d’entreprise comprennent :
– Les nouvelles.
– L’étude de marché.
– Le crédit et de l’information financière.
– Les profils d’entreprises et dirigeants.
– Les analyses économiques d’industrie, de pays.
– La recherche de l’information.
Les formats de l’information primaire d’entreprise peuvent être répartis dans les catégories suivantes:
– Sources de référence de base telles que des guides, des bibliographies, des dictionnaires, des almanachs, des encyclopédies, des manuels, des annuaires et des ressources Internet.
– Répertoire.
– Périodiques et journaux.
– Services à feuilles mobiles.
– Renseignements et services gouvernementaux.
– Statistiques.
– Informations sur le commerce électronique.
Actuellement, l’utilisation de l’information d’entreprise est beaucoup plus répandue. En plus des marchés financiers, l’information de l’entreprise est largement utilisée pour les ventes et le marketing, la veille concurrentielle, la planification stratégique, les ressources humaines et bien d’autres fonctions stratégiques de l’entreprise. Il existe plus de 210 fournisseurs d’informations commerciales. En outre, Internet a rendu plus facile pour les éditeurs d’information d’entreprise de livrer directement du contenu à leurs utilisateurs. Comme exemple, les enregistrements sont des formes spécialisées de l’information. Essentiellement, les enregistrements sont des informations produites consciemment ou comme des sous-produits d’activités commerciales et des transactions et sont conservés en raison de leur valeur. Principalement, leur valeur est à titre de preuve des activités de l’organisation, mais ils peuvent également être retenus pour leur valeur informative. La gestion des dossiers assure que l’intégrité des documents soit conservée aussi longtemps que possible.
La norme internationale sur la gestion des documents, ISO15489, définit les enregistrements comme « l’information créée, reçue, et maintenue à titre de preuve et d’information par une organisation ou une personne, en vertu des obligations légales ou dans la conduite des affaires». Le Comité international des archives et des documents électronique sa défini un dossier comme étant « un élément d’information enregistré généré, recueillis ou reçus dans l’initiation, la conduite ou de l’achèvement d’une activité et qui comprend suffisamment de contenu, le contexte et la structure pour fournir des preuves ou d’indices de cette activité ». Les dossiers peuvent être tenus pour conserver la mémoire institutionnelle de l’organisation ou pour répondre à des exigences fiscales, ou de responsabilisations juridiques imposées à l’organisation ou à l’entreprise. WILLIS (2005) a estimé la bonne gestion des dossiers de l’entreprise et de l’information délivrée « … six exigences essentielles de la bonne gouvernance d’entreprise…la transparence, la responsabilité, une procédure régulière; conformité; répondant aux exigences législatives, et la sécurité des personnels et l’information d’entreprise ». Dans cette partie sur l’information d’entreprise, il est indispensable de parler de l’architecture de l’information d’entreprise ou EIA (Entreprise Information Architecture).
Gartner voit l’EIE comme un domaine d’une importance accrue pour l’entreprise, ce qui est de la nécessité de maximiser la valeur et l’efficacité des ressources d’information, tout en limitant l’impact des sources d’information ingérables.
Les stratégies d’affaires exigent aujourd’hui aux organisations d’être plus informées et interconnectées à l’échelle mondiale. Les entreprises doivent également faire face à un contrôle accru de la conformité ou de réglementation des mandats, qui exerce une pression accrue sur la transparence et la responsabilisation de l’information sur l’ensemble de leurs opérations. Ces tendances convergentes forcent les organisations à repenser la façon dont elles peuvent structurer et gérer le mieux les informations pour l’avantage concurrentiel et organisationnel. L’EIA remplit ces besoins et apporte une structure d’information plus complète. La nécessité d’une EIE est devenue une question déterminante, nécessitant même une discussion en réunion. Les attentes des dirigeants d’entreprises sont d’utiliser et exploiter les informations d’entreprise pour un avantage stratégique. Selon une étude de Gartner et Forbes en 2007 à partir d’enquête, la première priorité parmi les cadres a été l’utilisation de
l’information comme une arme concurrentielle.
Toutefois, il est important de souligner que l’information ne peut pas être utilisée comme une arme, sauf si un plan et une architecture sont en place pour l’exploiter et le gérer. L’EIE, en tant que composant de l’architecture d’entreprise, fournit le plan pour permettre aux organisations d’atteindre les stratégies d’entreprise par des actifs de partage de l’information avec souplesse et avec plus d’échange pour un avantage. Sans EIE, l’information rester a une responsabilité et un obstacle à la réussite : elle sera uniquement une source de dépense pour l’entreprise (par exemple, augmentation de la demande pour le stockage), la complexité (par exemple, l’intégration des systèmes) et le risque (par exemple, le respect, la transparence ou des questions juridiques) pour l’entreprise. Pour comprendre plus en détail l’EIE, les praticiens doivent comprendre la définition et l’explication des le terme.
- Une définition de l’EIE :
Gartner définit l’EIE comme une partie de l’architecture d’entreprise et un processus qui décrit à travers un ensemble d’exigences les principes et modèles le courant, l’état futur et les conseils nécessaires pour partager avec souplesse l’information et rendre l’échange d’informations plus actif. L’EIE est l’un des trois points de vue primaires de l’architecture d’entreprise (avec l’architecture d’affaires de l’entreprise et de l’architecture technique de l’entreprise). Chaque point de vue comprend plusieurs niveaux d’abstraction et de spécificité. Les niveaux minimaux d’abstraction de l’EIE sont conceptuels, logiques et mis en œuvre, ce qui influe sur la continuité des disciplines impliquées dans l’architecture, le design, la mise en œuvre et la gestion clé des actifs de l’information, ainsi que l’indépendance à d’autres disciplines. Un principe commun de l’EIE parmi les clients d’aujourd’hui est la ligne directrice de créer une version unique de données de clients à travers l’organisation. Ce serait alors conduire des évaluations par différentes équipes sur les modes de gestion des données ou des styles de mise en œuvre.
Les exemples de modèles d’EIA incluent souvent le développement de modèles de données partagées pour assurer la cohérence ou réutiliser les objectifs ou projets depuis le démarrage. Les modèles devraient également comprendre des processus d’affaires et les besoins d’information d’un niveau conceptuel par le biais de la conception logique de services et de composants. Ces modèles seraient alors influencés par des rôles tels que, l’élément ou les concepteurs d’applications ; les spécialistes de l’intégration; et les gestionnaires de flux de travail sur l’aspect physique de mise en œuvre de l’EIE. Actuellement, de nombreuses organisations adoptent des stratégies commerciales qui nécessitent un processus agile, et elles essaient de s’éloigner de systèmes isolés. Pour satisfaire ces besoins, ces entreprises font évoluer leur style d’architecture traditionnelle client/serveur à d’autres styles architecturaux. Ces styles vont nécessiter un niveau actif de cohésion, de cohérence et de transparence de l’information.
Un défi majeur pour l’EIE est que l’information numérisée existe sous des formes et structures hétérogènes et multiples, ce qui limite la possibilité de consulter, de partager et d’échanger des informations. Les architectes de l’information doivent reconnaître qu’il n’y a pas de plan ou modèle qui permettra de résoudre toutes les différences sémantiques. Toutefois, les différentes et diverses structures pour exploiter des actifs de l’information continueront à être utilisées dans un avenir proche. Les bases de données, systèmes de transaction ou applications analytiques restent particulièrement efficaces pour l’exploitation de grands volumes d’informations de transactions commerciales. Les modèles et processus de données et d’autres modèles de conception seront utilisés par les architectes, les concepteurs et seront mis en œuvre pour exploiter l’information. D’autres structures (comme les systèmes de gestion de documents, systèmes de gestion de contenu ou d’autres formats) sont tout aussi efficaces et nécessitent le développement de modèle approprié pour maximiser la valeur et de partageabilité des informations qui y sont contenues. En outre, la convergence du contenu sous forme de mashups et portails représente de nouvelles méthodes d’organisation et d’exploitation des informations. Enfin, l’utilisation croissante des XML pour l’échange de données et de modèles canoniques améliore l’intégration de l’information complète sur un large éventail de possibilités au sein de l’architecture de l’information de l’entreprise.
Il n’est pas possible pour l’EIE de définir toutes les structures d’information qui peuvent être utilisées dans l’entreprise. La plupart de ces structures sont effectivement en dehors de l’influence de l’EIE, souvent parce qu’elles sont sous le contrôle d’un fournisseur commercial extérieur. En même temps, l’EIE doit aussi se concentrer sur l’intégration, le partage et le rapprochement des informations disparates. La portée principale de l’EIE, alors est sur le partage de l’information pour améliorer la flexibilité.
La transition de l’information qui est isolée dans les applications flexibles et complètes de l’EIA nécessitera des changements dans la technologie, processus, l’organisation de la structure et de l’orientation. Les changements auront aussi un impact sur un éventail de disciplines à travers l’organisation et nécessiteront une coordination pour accroître l’efficacité et la réalisation des objectifs. Les responsables qui participeront à la volonté de l’organisation afin de maximiser la valeur et l’efficacité des éléments d’information sont les suivants :
– Architectes.
– Les concepteurs d’applications.
– Les modélisateurs de données.
– Les administrateurs de base de données.
– Les spécialistes du renseignement d’affaires.
– Les spécialistes de la gestion des données de base.
– Les spécialistes de la qualité des données.
– Les spécialistes de l’intégration de données.
– Les spécialistes de la gestion des métadonnées.
– Les analystes d’entreprise.
– Les spécialistes de la gestion de contenu.
– Les professionnels de la sécurité, la conformité, la vie privée et des disciplines connexes.
1.1.3. La communication.
Le troisième mot clé qui doit être développé dans cette première sous-partie du présent document est la notion de communication qui est utilisé de manière associative par l’entreprise étudiée avec les autres concepts clés étudiés ci-dessus en vue de constituer sa relation interne et surtout sa relation avec ses partenaires externes. Il s’agit de la notion de communication dont nous étudierons la définition, la conception par les entreprises modernes, les types de communications qui existent au sein d’une entreprise moderne et les objectifs visés par chaque entreprise en adoptant des techniques de communications.
- Définition.
De manière globale, la communication peut être définie comme « la production d’information sur le milieu interne et externe et comme la création d’interfaces »[9]. Le concept de la communication fait penser en fait la masse populaire à l’ensemble des techniques qui permettent l’émission et la réception quasi immédiate d’une information quelconque quelques soit la manière de cette transmission : audio (téléphonie,…), écrite et numérisés (télécopie, messagerie électronique, … et quelques soit le traitement de l’information reçue par le récepteur (transferts de l’information, réponse automatique, classement automatique). Pour une entité organisée, la communication peut être conçue comme l’une des ressources lui permettant d’assurer l’atteinte de son objectif et surtout lorsque celui-ci s’avère être un objectif concurrentiel. De ce fait, on peut conclure que la communication vise à donner à tous les acteurs de cette organisation l’opportunité de se partager les tâches et de correspondre continuellement en vue de faire passer le message sur l’avancement du projet et sur les problèmes rencontrés en cours de routes. En fait, le but final de l’utilisation de la communication pour un groupe de personne ou pour une entité organisée quelconque est de créer une image satisfaisante et favorable de l’organisation en vue de planifier le devenir de l’association. La construction d’une confiance mutuelle entre tous les acteurs est la voie recherchée par la communication afin qu’elle atteigne le but fixé. En d’autres termes, on peut ainsi déclarer qu’on ne peut jamais parler d’organisation ou d’entité organisée en l’absence d’une bonne stratégie de communication entre tous les acteurs voulant cette organisation. En décrivant cette communication dans toute organisation humaine, MINTZBERG (1973) parle de « contacts interpersonnels entre tous les acteurs de l’organisation à commencer par les dirigeants de l’organisation mais se terminant au plus bas de l’échelle de l’organisation »[10]. Pour cet auteur, la communication est en quelques sortes l’outil dont les responsables se servent pour diriger son équipe en vue de l’atteinte de l’objectif. Un autre auteur à savoir Monsieur BONEU (1990) parle « d’une impossibilité de cohérence dans l’action de toute organisation même composée d’un minimum d’individus sans l’utilisation de la communication »[11]. Mais bien avant 1990, la notion de communication organisationnelle apparaît déjà en 1960 dans le langage courant de chaque homme d’affaire. A cette époque, la communication organisationnelle assurait déjà trois fonctions essentielles à savoir le transport de l’information utile pour le bon fonctionnement de l’organisation, l’instrument de construction d’une société bien organisée et l’outil utilisé par les dirigeants pour contrôler et guider les pas de ses subordonnées[12]. En 1998, GIORDANIO a émis un avis qui déclare l’impossibilité de la création d’une société sans l’initiation par une communication. En ces termes, l’auteur déclare que « l’organisation se crée avant tout par la communication qui a été émise »[13]. Pour cet auteur, l’idée est que quand une personne ou un groupe de personne commence à parler d’une organisation, c’est qu’elles sont en train d’étudier ce point de vue et aussi en train de communiquer pour la réalisation de cette idée. La communication est ainsi devenue comme « un processus de construction sociale de la réalité organisationnelle » qui implique un dialogue, des délibérations, une conversation… »[14]. Cependant, il faut noter que comme WEIL (1990) l’a remarqué, même en cours de fonctionnement de la société ou de l’organisation créé, il coexiste encore une conversation interne qui constitue la communication entreprise par les acteurs en vue de la bonne marche de l’entreprise[15]. Ensuite, en 2001, MUCCHIELLI rappelle que « la communication ce n’est pas seulement l’art de faire passer et comprendre des informations. C’est aussi l’art de piloter des échanges pour amener les acteurs à rapprocher leurs points de vue et ainsi à mieux comprendre les décisions managériales »[16].
En bref, la communication dans sa globalité est définie comme étant la mise en place d’une harmonie conversationnelle entre les acteurs de l’organisation ou de la société étudiée. Il s’agit ainsi pour ces acteurs de créer une image organisationnelle ou institutionnelle par le fait de se communiquer et de se transmettre des informations. Par ailleurs, tous les auteurs dont nous venons de citer s’accordent à dire que la communication est l’approche de cohésion sociale et l’ensemble des outils utilisés par les acteurs d’une organisation pour rendre possible une conversation positive et significative pour le but de l’organisation
- Communication d’entreprise.
Par définition, une entreprise est « une organisation relativement autonome, dotées de ressources humaines, matérielles et financières, en vue d’exercer une activité économique de façon stable et structurée »[17]. Et en faisant suite à la définition de la communication présenté dans le paragraphe antérieur, la technique de communication d’une entreprise doit contenir « l’ensemble de tous les procédés mise en œuvre par une entreprise dans le but de planifier et coordonner sa relation avec ses équipes internes et avec ses clients et partenaires sur le plan externe »[18]. Ainsi, dans une entreprise, la communication peut revêtir deux figures différentes à savoir le transfert d’information entre les acteurs de l’entreprise ou entre l’entreprise et ses partenaires externes et le processus qui sert pour le dirigeant dans le but d’influencer ses salariés et de piloter ainsi les activités de ces derniers.
Rappelons alors que la technique de communication dont nous allons détailler à travers ce chapitre et tout au long du présent document est celle de la technique de communication utilisée par le service vente de chaque entreprise afin de lancer et commercialiser ses produits. On parle alors du premier type de communication d’entreprise à savoir celui du transfert d’information à l’intérieur de l’entreprise et dans sa relation avec l’extérieur. En fait, c’est cette technique de communication qui est celle qui est essentielle et substantielle pour l’existence et le bon fonctionnement de la société. Il faut ainsi signaler que de nos jours, l’adoption de la technique de communication par internet et par les réseaux sociaux constitue le plus grand atout pour toute entreprise désirant se faire connaître sur la scène internationale compte tenu de la technicité et de la rapidité de ces techniques à propager des informations et à atteindre le maximum de public cible. Le fait est que non seulement, ces outils permettent le ciblage d’un très grand nombre de personnes que les autres anciennes techniques de communication mais aussi et surtout que l’analyse des informations disponibles sur internet et les réseaux sociaux ouvre chaque entreprise à l’opportunité de se comparer aux autres entreprise de même taille qu’elle et ayant les mêmes domaines d’activités qu’elle ; de se rendre compte des résultats c’est-à-dire si elle a réussi à atteindre ces cibles d’acheteurs ou non ; d’améliorer ses campagnes publicitaires, ses produits et son site d’information en fonction de la demande de son marché.
Notons ensuite que le rôle essentiel de la fonction communication au sein de chaque entreprise moderne est de faire connaître ses produits ou services, sa marque et son entreprise. A cet effet, tout service communication d’entreprise doit travailler fort sur l’ emplacement de l’entreprise face au marché de son secteur d’activité. Pour ce faire, dans sa communication, le service doit se préoccuper principalement de trois objets tels que l’image de son entreprise face au public, la correspondance de son offre à la demande de son marché, et de la stratégie qu’elle utilisera pour gagner la confiance de son public. Pour réussir la communication de son entreprise, chaque entreprise doit ainsi savoir choisir et bien viser sa clientèle, lancer des messages simples et facilement déchiffrables en communiquant avec eux, bien définir son objectif par rapport à son activité et l’état du marché de son secteur d’activité et de bien définir les outils de communications adéquats à son cas.
Il faut alors noter que pour la satisfaction de toutes ces conditions, une entreprise moderne doit utiliser les deux types de communications qui suivent à savoir la communication média et la communication hors-média. D’un coté, pour la communication média, il est constitué de plusieurs supports comme la presse, la radio, la télévision, l’internet et les réseaux sociaux, les affichages. Généralement, ce sont les entreprises qui ont existé depuis longtemps qui restent attachés aux vieux supports comme la radio, les affichages ou la télévision mais pour les jeunes entreprises, l’internet et les réseaux sociaux sont les armes les plus utilisés car ils engendrent moins de dépenses tout en ouvrant à une possibilité de cibler le plus de clientèle et de public que possible. Mais les inconvénients pour ces communications médias subsistent dans le facteur temps dans la mesure où le pouvoir d’atteindre les consommateurs cibles reste conditionner par la décision de ces derniers de vouloir allumer leurs postes radios ou de télévisions ou de venir consulter les sites internet et de s’inscrire dans les réseaux sociaux et de se communiquer par son biais avec les entreprises.
De l’autre coté, la communication choisie par une entreprise moderne peut et doit même contenir des communications hors-média qui occupe actuellement une bonne place en la matière. La communication hors-média est constituée généralement par les promotions de ventes, le mailing ou le marketing direct, l’organisation des évènements de lancement, et les relations de presses, le sponsoring. Leurs points communs est d’être moins onéreux par rapports aux supports médias tout en permettant de cibler le plus précisément et le plus rapidement possible son client et/ou les consommateurs potentiels. Mais ils ont aussi leurs inconvénients à savoir la nécessité pour les professionnels de la communication d’être de plus en plus créatif surtout en matière d’organisation des ventes promotionnels et de lancements des produits ou des marques par des évènements attirant les cibles. En ce qui concerne le mailing, il s’agit d’un outil de communication totalement nouveau qui apparait avec la mondialisation et l’industrialisation mais il requiert en même temps des compétences particulières de la part du service communication notamment des compétences informatiques et des capacités de manipuler les appareils et matériels de haute technologie. Mais en ce qui concerne leurs avantages, on peut aussi citer que la communication hors-média permet à l’entreprise de se communiquer directement et même face à face à son public sans nulle besoin de passer par des autres supports qui servent d’intermédiaire entre elle et ses consommateurs aux risques de transformations des échanges par le support utilisé. Enfin, en ce qui concerne le sponsoring, il s’agit pour l’entreprise de participer à des activités de parrainage dans le but de viser le plus grand cible à travers l’action visée par l’évènement parrainé. Mais il faut que les responsables communication de l’entreprise aient des compétences particulières pour ne pas tomber dans l’erreur de participer à des évènements qui n’intéressent pas leurs clientèles cibles.
- Types de communication.
Actuellement, toutes les entreprises qui se veulent compétitives et performantes sur son marché ont l’obligation d’avoir deux types de communications à savoir : la communication interne et la communication externe. En effet, l’objectif que devrait viser toute entreprise dans l’adoption de sa stratégie de communication ne doit pas se limiter à son rapport avec les personnes extérieures à son entreprise mais doit à priori se concentrer sur la relation entre les personnes à l’intérieur de l’entreprise qui doit collaborer pour le bon fonctionnement de celle-ci. Le fait est que la communication interne et la communication externe de l’entreprise doit être intimement liée et élaborée par le soin d’un même groupe expérimenté et professionnel afin d’arriver à atteindre son objectif.
La communication interne est la communication qui doit exister à l’intérieur même de l’entreprise. Selon une organisation moderne de l’entreprise, le service communication interne de chaque entreprise doit être soumis sous la supériorité hiérarchique soit de la direction des ressources humaines, soit de la direction communication soit de la direction des affaires générales de l’entreprise. Mais la plus logique serait qu’il sera rattaché à la direction communication de l’entreprise car c’est dans cette direction que devrait être intégrée toutes les personnes ayant reçu une solide formation en matière de communication dans l’entreprise.
Monsieur Jean-Baptiste BRES explique que « cette communication interne se forme avant tout autour d’une nécessité d’identité. Cette identité permet à tous les employés de savoir comment se comporter au sein de son entreprise et vis-à-vis de ses partenaires de travail en vue de distinguer son entreprise d’une autre compagnie ayant les mêmes activités ou les mêmes potentialités. En d’autres termes, la communication interne régule la vie de l’entreprise pour coordonner les relations entre les différentes couches de sa hiérarchie »[19].
Par conséquent, en vue d’atteindre son objectif productif et commercial mais surtout son désir d’être compétitif et performant sur le marché, chaque entreprise moderne se retrouve devant l’obligation d’adopter une bonne politique de communication à l’intérieur d’elle-même. Le fait est que de plus en plus de moyens de communication deviennent disponibles entre les mains de chaque employé et l’entreprise se doit d’intervenir pour maitriser tous ces moyens afin de ne pas les vulgariser aux risques et périls de la notoriété de l’entreprise. La communication interne peut être faite par orale ou par écrit. En d’autres termes, toute communication interne de l’entreprise doit traiter l’ensemble des réunions, évènements internes, séminaires, entretiens collectifs ou individuels internes de chaque entreprise. Comme exemple, on pourra retenir comme outil de communication orale interne de chaque entreprise les mégaphones, les échanges verbaux entre un responsable et un employé, les paroles annoncées par les porte-paroles de l’entreprise lorsqu’il est dans le champ contextuel de l’exercice de son travail ou de sa responsabilité, …Ensuite, en ce qui concerne les communications écrites à l’intérieur de l’entreprise, elle définit tous les supports manuscrits ou informatiques ouvert à la possibilité de lecture par un ou plusieurs ou même l’ensemble des employés. Parmi eux, on peut citer le journal de l’entreprise, le livret d’accueil au sein de l’entreprise, les revues de presses, les affichages à l’intérieur de l’entreprise, les plaquettes ou brochures, la documentation via internet ou les réseaux sociaux ou les blogs de l’entreprise, les notes de services,…
Ensuite vient la communication externe de l’entreprise, c’est une fonction toute aussi importante que celui de la communication interne. Elle englobe l’ensemble des actions de communication de l’entreprise visant son rapport et ses relations avec ses publics et divers partenaires financiers, commerciales ou autres[20]. La communication externe de l’entreprise s’ouvre alors au grand public et vise à mesurer la profondeur de son partenariat avec le monde extérieur. Elle doit alors viser à s’adresser aux clients de l’entreprise, à ses fournisseurs, à ses partenaires financiers, à ses distributeurs et même au public en général. Parmi les outils de communication externe qui s’ouvre à chaque entreprise, on peut citer les relations médias de l’entreprise, les publicités médias, le lobbying, les divers évènements ouverts au public, les actions de sponsoring ou de mécénats entreprises par la société, l’ouverture et l’utilisation de site internet et de réseau social propre à l’entreprise, les diverses actions de ventes promotionnelles organisées par l’entreprise, les affiches et les spots publicitaires, les stratégies de marketing directs organisées par l’entreprise, … Pour pouvoir afficher l’image qu’elle veut faire connaitre au public en ce qui concerne son entreprise, chaque entreprise devra bien contrôler son service communication externe et devra alors engager les meilleurs employés expérimentés et professionnels pour assurer cette fonction. Le fait est que la communication externe décrit en quelques sortes l’image et la notoriété de l’entreprise dans le cœur et l’esprit des consommateurs, des fournisseurs et des partenaires de l’entreprise. C’est alors le maillon le plus essentiel pour la bonne marche, la bonne commercialisation, et la crédibilité de l’entreprise. La communication externe de l’entreprise doit aussi et essentiellement visée une bonne relation de l’entreprise avec l’extérieur dans le but de recevoir des retours de la part des consommateurs, des bénéficiaires, des fournisseurs et des autres partenaires sur leurs opinions et impressions sur les produits et les services fournis par l’entreprise à leurs profits. Ces retours inclus des critiques énervant, des critiques constructifs, des suggestions d’amélioration, des attitudes et des comportements des différents tiers externes de l’entreprise. Les stratégies de communication externe de l’entreprise doit être rédigée avec le plus grand soin car elles doivent encrer une image aussi positive que possible de l’entreprise chez les partenaires externes. Elles doivent alors inclure des politiques tendant à retracer la qualité, la disponibilité mais surtout la pérennité des produits et services vendus par l’entreprise.
Dans le contexte actuel, l’avènement de la mondialisation, de la globalisation et surtout de l’industrialisation a permis à la communication externe de chaque entreprise de s’améliorer, de se diversifier et d’atteindre le plus de cible avec un coût réduit à minimum. En effet, l’apparition de nombreux nouveaux supports électroniques et informatiques a permis l’ouverture de nombreux sites internet et de nombreux réseaux sociaux d’entreprises destinées à publier, lancer et commercialiser les produits de chaque entreprise sans devoir affecter beaucoup de budget à cette publication. De plus, ces outils de communications se trouvent actuellement au cœur d’un maximum d’utilisation par les sociétés mais aussi par les usagers particuliers, ce qui ouvre droit pour chaque entreprise à un maximum de visibilité et de publicité de leurs entreprises, de leurs marques ou de leurs produits ou services. Maintenant, grâce à internet et à la diversification et promotion des outils informatiques, chaque entreprise a la faculté de faire de son mieux pour rendre agréable et attractive sa visibilité et sa publicité sur son site internet mais a par la même occasion la possibilité de communiquer sans interruption avec son public et ses autres partenaires. Cette situation a alors fini par prouver que si une entreprise le veut, il pourra élargir considérablement son champ de vision et pourra améliorer sans limite son action auprès de son cible. Il faut quand même noter que les sites internet des entreprises sont totalement différents des sites internet de vente en ligne qui sont pour leurs parts de véritables entreprises commerciales spécialisées dans la vente commerciale de leurs produits ou services et qui travaille sur les sites internet pour faire connaître et pour faire vendre leurs produits tandis que les sites internet des entreprises sont des sites limités à faire part au public des produits disponibles au sein de l’entreprise mais la commercialisation de ces produits doivent se faire dans les magasins de l’entreprise.
En bref, les deux types de communications à savoir la communication interne et la communication externe sont de nos jours obligatoires pour toutes entreprises qui se veulent être compétitif et performant dans l’environnement de la mondialisation et de l’industrialisation actuelle.
- Objectifs.
Dans sa généralité, la technique de communication est celle qui est primordiale pour la garantie de l’accroissement du chiffre d’affaire et de la pérennité de chaque entreprise. En effet, par les techniques de communication qui sont disponibles, une entreprise moderne peut bénéficier de plusieurs avantages tels que le pouvoir de faire connaître son activité, ses produits et ses services à tous les lecteurs, internautes et clientèles cibles ; l’aptitude à faire participer les cibles sans les faire déplacer dans le but de faire des partages d’expériences bénéfiques ; la faculté de communiquer à double sens avec son public ; la possibilité de recruter les bons employés par des moyens simples mais fiables. Selon Arnaud MEUNIER (2005), la notoriété est pour un responsable communication, un des indicateurs qui évaluent l’efficacité d’une stratégie de communication. Effectivement, une bonne politique de communication peut conduire à un développement de la notoriété d’une entreprise mais l’inverse est aussi vrai dans le sens où on peut mesurer le succès de la fonction communication d’une entreprise par le développement de sa notoriété. En pratique, une entreprise qui œuvre dans un secteur d’activité donné peut dire qu’elle a de la notoriété quand au cours d’une étude, dès qu’elle pose des questions sur les outils et matériels informatiques, l’interlocuteur parle de son nom en premier lieu. Ceci veut dire que l’entreprise qui a la notoriété doit être celle chez laquelle le public fait référence quand il veut s’approprier du type de chose qu’elle produit. Et il est alors évident de conclure que l’acquisition de la notoriété est importante pour chaque entreprise car dès lors que son produit ou sa marque est inscrit dans l’esprit de ses cibles, la probabilité de commercialisation de son produit augmente en même temps. Mais pour voir le développement de sa notoriété possible, il faut que l’entreprise passe par une production de ses produits avec la meilleure qualité possible et par l’adoption d’une bonne stratégie de communication. En d’autres mots, plus la visibilité de la marque sur les outils de communications modernes est structurée, organisée et cohérente, plus la notoriété d’une entreprise augmentera. Mais il faudra bien faire attention car avoir une bonne visibilité sur internet et avoir une notoriété ne signifie pas automatiquement une augmentation du chiffre d’affaire de l’entreprise ; c’est pourquoi, même après avoir acquis de la notoriété, il est encore indispensable pour une entreprise de construire un bon plan de lancement de chaque nouveau produit et d’y allouer une partie de budget afin de le faire connaître pour le public surtout quand le produit est conçu pour créer un besoin chez les consommateurs ou les acheteurs, c’est ce qu’on appelle mettre en place une bonne stratégie de communication à long terme. De ce fait, en matière d’entreprise, la notoriété est une des conditions nécessaires et indispensables pour la création de l’image et pour la commercialisation d’un produit ou d’une marque et elle sera acquise par l’adoption d’une bonne stratégie de communication.
En l’espèce, la principale responsabilité qui incombe aux professionnels de la communication de chaque entreprise est ainsi de faire une promotion de la marque, du produit et de l’entreprise elle-même auprès de son public cible. Cela signifie que les professionnels de la communication doivent faire de leurs mieux pour communiquer le produit ou la marque, pour le faire connaître tant en quantité qu’en qualité, et on peut dire que la fonction communication a achevé une partie de son travail quand le taux de connaissance du produit ou de la marque auprès du public est suffisamment haut pour que l’entreprise puisse avoir sa place sur le marché de son secteur. Selon la réussite de la fonction communication de l’entreprise, la notoriété acquise par la marque peut être une « notoriété sectorielle » qui démarque le produit ou la marque des autres produits ou marques concurrents ou une « notoriété générale » qui rend compte du taux de connaissance de la marque ou du produit sans l’associer à son secteur d’activité.
En somme, parmi les principales sources d’acquisition de la notoriété s’inscrit la communication de la marque ou du produit qui relève principalement de la responsabilité du service de communication de l’entreprise. Cette communication de la marque ou du produit se matérialise sous diverses formes telles que les publicités médias, les ventes promotionnels, les sponsorings, les mailings, la favorisation des échanges de « bouche à oreille ». Mais il faut que ces différents outils de communication utilisés par l’entreprise soient bien cohérents pour ne pas fausser la stratégie marketing de celle-ci. En fait, créer la notoriété d’une entreprise par l’adoption d’une bonne stratégie de communication requiert beaucoup de temps, de moyens financiers et des compétences commerciaux de la part de l’entreprise. Il s’agit donc d’un objectif à long terme qui doit se concrétiser par l’adoption d’activités ponctuelles c’est-à-dire suivant l’évolution de la technologie et permanentes c’est-à-dire aussi longtemps que l’entreprise veut préserver sa place au sein du marché de son secteur d’activité. Mais la notoriété acquise par le biais d’une bonne stratégie de communication constitue finalement pour une entreprise un grand support pour le moral et la culture de son personnel et un grand moyen pour marquer sa crédibilité auprès de l’Etat et de ses partenaires financiers et commerciaux.
- Les commerces électroniques et les médias électroniques.
Pour terminer cette première sous-partie, il est aussi important de parler d’un quatrième concept clé notamment celui du commerce électronique qui gagne beaucoup de terrain de nos jours et qui rassemblent en lui les trois éléments clés que nous venons de détailler dans les trois sous-parties précédentes à savoir la technologie, l’information et la communication. En parallèle, il ne faudra pas non plus que nous oublions de parler des médias électroniques qui sont les supports efficaces pour rendre possible le commerce électronique.
Au sens strict, on appelle « commerce électronique » ou plus communément appelé le « e-commerce » l’ensemble des transactions commerciales réalisées par l’intermédiaire d’un support ou d’un média électronique comme par exemple Internet, Téléphonie mobile, …. En général, le commerce électronique concerne la vente d’un produit ou d’un service à travers l’usage du réseau internet en utilisant divers support (comme l’ordinateur, le Smartphone, ou les consoles i Pad) même s’il englobe aussi quelques fois d’autres opérations commerciales qui se réalisent à travers d’autres médias électroniques. On appelle « les cyberconsommateurs » tous les clients qui effectuent leurs achats via internet ou les autres médias électroniques actuellement disponibles. Parmi les autres opérations commerciales qui peuvent faire l’objet d’un commerce électronique, on pourra citer comme exemple la réalisation de divers devis en ligne, la fourniture de conseils en ligne au profit de la clientèle, la mise à disposition de la clientèle du catalogue électronique de chaque entreprise, la gestion de stocks de chaque produit toujours par le réseau internet, le paiement des achats et le suivi en ligne des livraisons, la réalisation des divers services après-ventes en ligne. Pour la plupart des cyberconsommateurs, ils optent pour le commerce électronique en raison de la rapidité voire même l’instantanéité et de la disponibilité à temps plein des produits et des services ainsi que des responsables des magasins.
Selon la définition proposée par l’OCDE, le commerce électronique est « l’ensemble des ventes ou achats de biens ou de services, effectués par une entreprise, un particulier, une administration ou toute autre entité publique ou privée, et réalisé au moyen d’un réseau électronique »[21]. L’OCDE fait alors une distinction entre plusieurs types d’échanges dans le commerce électronique et cite quelques natures telles que l’échange électronique B2B qui se font entre entreprises, l’échange électronique B2C qui se réalisent entre entreprises et Consommateurs directs, l’échange électronique C2C qui s’opèrent entre consommateurs particuliers, et l’échange électronique B2G qui se réalisent entre les entreprises privées et le gouvernement d’Etat ou B2A qui se font entre les entreprises privées et l’administration publique en général. Il faut aussi noter que la majorité voire même l’intégralité des biens et des services disponibles sur le marché réel peuvent faire l’objet d’un commerce électronique étant donné l’évolution inégalée de la technologie de l’information et de la communication. Parmi ces biens, on peut retrouver les biens culturels (les livres, les CD, les DVD, …), les matériels et services informatiques, les biens et les services à usage touristiques, les divertissements, les biens de consommations courantes (meubles, vêtements, électroménagers, …), et les produits de Premières nécessités (les aliments, l’eau, le courant électrique,…). Mais en dehors de ces transactions et ventes commerciales, l’OCDE précise et admet aussi l’existence de la fourniture de services en ligne comme les services bancaires en ligne, les assurances en ligne, la presse en ligne, …
En raison du grand développement de ce commerce électronique, plusieurs Etats et Organisations Internationales ont pris l’initiative d’adopter des règles matérielles c’est-à-dire des lois destinées à règlementer la pratique de ce type de commerce et de transaction commerciale. C’est ainsi que le Conseil de l’Europe a commencé à s’intéresser légalement à ce commerce par une recommandation en date du 11 Décembre 1981 qui exigeait des Etats membres une initiative législative en la matière avant de se décider en 2001 de renforcer la recommandation de 1981 par une « convention sur le cybercriminalité » qui tend à sanctionner les pratiques illégales du commerce électronique. L’exception pour cette convention est qu’en plus de lier tous les Etats membres du conseil de l’Europe, la convention sur la cybercriminalité de 2001 engage aussi le Japon et les Etats-Unis qui ont signé de leur plein gré cette convention internationale. Pour l’Organisation des Nations Unies, la première initiative pris par cette entité pour ce genre de commerce date du 11 Novembre 1985. Il s’agissait d’une recommandation fourni par la Commission des nations unies pour le droit du commerce international ou CNUDCI et il visait principalement à encourager la prise en considération des documents informatisés au cours des transactions commerciales d’envergures internationales. Par la suite, toujours au niveau de l’ONU, la CNUDCI a adopté respectivement le 16 Décembre 1996 et le 05 Juillet 2001 deux lois types dont la première concerne une norme de fait en matière de commerce électronique qui n’a aucune force contraignante du coté juridique et la deuxième était plus juridique car il s’agit d’une règle de bonne conduite en matière de vérification obligatoire de la fiabilité du système informatique utilisé dans toutes transactions commerciales électroniques. Mais l’Union Européenne qui est l’une des plus grandes organisations internationales stables du monde n’a pas omis de signer son rôle sur ce commerce électronique. A cet effet, deux dispositifs fondamentaux ont été adopté au niveau Européenne pour le règlementer : il s’agit de la directive du 13 Décembre 1999 qui met en place un cadre juridique unifié en matière de signature électronique dans le territoire Européen et de la directive du 08 Juin 2000 encadrant le commerce électronique Européenne. Par la directive de 1999, la signature électronique est reconnu valable dans tout le territoire Européen et les organismes de prestations de services de certification ont été informé pour prendre les dispositions nécessaires pour la validité d’une telle signature. Mais depuis la directive de 2000, un cadre juridique a été régulièrement établi au sein de l’Union européenne pour règlementer le commerce électronique en vue de garantir la parfaite sécurité des transactions commerciales via les médias et les supports électroniques. Enfin, pour la république française, trois lois sur le commerce électronique ont été promulguées respectivement le 03 Mars 2000, le 21 Juin 2004 et le 06 Août 2004. La première loi concerne la preuve électronique, la troisième loi tend à mettre en place la confiance dans l’économie numérique, et la troisième loi règlemente la protection des personnes physiques à l’égard des traitements des données à caractères personnels.
Pour conclure, le commerce électronique commence de nos jours à gagner de plus en plus de terrain dans la vie quotidienne et la vie sociale de toute société moderne. Mais la réalisation de ce nouveau type d’opérations et de transactions commerciales ne peut être garantit que par l’usage des supports électroniques et principalement des divers sortes de médias électroniques. En fait, ces médias électroniques sont actuellement les nouveaux supports de la communication interpersonnelle et inter sociétale car ils permettent d’assurer le développement d’une nouvelle démocratie fondée sur l’échange et la confiance mutuelle renforcée par la rapidité et la disponibilité des produits utiles et des services nécessaires en vue de la prolifération de tout échange entre individus et entre civilisations. En d’autres termes, les consommateurs préfèrent opter pour le commerce électronique utilisant des médias électroniques comme support car ces médias tendent à mettre à leurs disponibilités des forums et des renseignements virtuels où chaque consommateur et chaque entreprise peut se communiquer, s’exprimer librement et se partager des expériences bénéfiques pour le développement de l’activité. Mais il faut alors conclure que le commerce électronique n’est pas une nouvelle technologie isolée mais un ensemble de techniques et de médias électroniques diversifiés qui œuvrent ensemble pour l’atteinte d’un but unique qui est la réalisation d’une transaction commerciale simplifiée mais complète. Le commerce électronique renforce aussi la coopération entre les acteurs de la vie économique mondiale car il ne peut pas être réalisé par une seule entreprise ou un particulier agissant isolément mais il s’agit d’un business qui nécessite une liaison et une cohésion sociale entre tous ces acteurs. Le but du commerce électronique est de réaliser un élargissement des marchés et une satisfaction des besoins des clients et une augmentation de la productivité de chaque entité organisationnelle tout en arrivant à minimiser les frais de réalisation.
1.2. Les caractéristiques essentielles de l’élément de l’information et de la communication.
L’élément information et communication qui se développe actuellement à grande vitesse avec l’émergence des outils de la Nouvelle Technologie de l’Information et de la Communication présente plusieurs caractéristiques particuliers qui peuvent être primordiales pour le développement et l’atteinte de l’objectif économique de l’entreprise. Notons que ces caractéristiques qui vont faire l’objet d’une énumération ci-dessous engloberont en une seule fois les caractéristiques de l’élément information et communication sur la relation interne entre les acteurs de la vie de l’entreprise et sur sa relation avec ses partenaires externes. Ces caractéristiques peuvent se résumer en quelques points à savoir :
– L’entreprise n’est pas une entreprise si elle ne tient pas pour objectif celui de rester performant face à ses concurrents à l’échelle nationale, régionale et mondiale. Cette exigence est due à l’internationalisation croissante de toutes les informations disponibles sur tous les secteurs d’activités.
– Toute information détenue par une entreprise doit être partagée entre tous les éléments humains de la société puisque la concurrence inter-entreprise se base principalement sur la compétence de ses ressources humaines.
– Le développement de la technologie de l’information et de la communication constitue la base du développement réel de toute entreprise parce qu’elle permet pour cette entité de gagner en matière temporelle et en matière de déplacement.
-Le développement de la technologie de l’information et de la communication assure pour l’entreprise une ouverture large à la concurrence car elle lui permet de minimiser le prix de vente en raison de la possibilité de minimisation de couts de revient et du temps perdu pour la fabrication du produit à vendre. Il s’agit alors d’un avantage concurrentiel pour toute entreprise moderne qui partage l’élément information et communication par ce biais.
-Pour l’économie mondiale en générale, l’élément information et communication partagée par la nouvelle technologie fournit un avantage dans le sens où il permet la production et la transformation rapide et à moindre coût des matières premières en produits finis d’où un gain en matière de vitesse de propagation de l’industrie et de l’avancement des recherches scientifiques.
-L’utilisation des outils de la nouvelle technologie de l’information et de la communication permet à chaque entreprise de partager plus rapidement les informations entraînant une nette amélioration du travail d’équipe et fournissant ainsi une optimisation du rendement de chaque société.
-La plus grande disponibilité des informations sur le marché par l’intermédiaire de la nouvelle technologie de l’information et de la communication favorise au profit de chaque entreprise le suivi de la politique concurrentielle de ses adversaires sur le marché.
– L’apparition de la nouvelle technologie de l’information et de la communication permet aux consommateurs d’accéder à des produits diversifiés et à des libertés de choix avant tout acte d’achat.
-L’utilisation et l’approfondissement de la Nouvelle Technologie de l’information et de la Communication constitue pour chaque entreprise un accès à des nouvelles compétences et à des nouvelles expériences positives pour l’amélioration de sa production.
– L’accessibilité à la nouvelle technologie de l’information et de la communication conduit les individus à réussir des autoformations qui sont rendu possible depuis l’émergence des flux d’informations par les supports de la nouvelle technologie.
– Le développement de la nouvelle technologie de l’information et de la communication ouvre la voie du développement et de l’enrichissement à l’endroit de chaque individu à la seule condition que celui-ci arrive à décrocher un emploi stable, moderne et surtout compétitif.
– Le développement de la nouvelle technologie de l’information et de la communication signifie que les entreprises ont une possibilité de dépasser les outils traditionnels de communication et de partage d’information pour garantir une meilleure échange garantissant une meilleure répartition des informations et une meilleure circulation de la communication entre les acteurs de la bonne marche de lé vie de l’entreprise.
1.3. L’importance du système d’informations.
Par définition, un système d’information est « un ensemble structuré et organisé de ressources humaines, matérielles, technologiques et informationnelles qui permet à une entreprise d’acquérir, de stocker, de traiter et de communiquer des informations »[22]. De ce fait, il y a dans la majeure partie des cas la coexistence de plusieurs systèmes d’informations toutes aussi importantes les unes que les autres dans une entreprise de grande taille ou de taille moyenne. Parmi ces systèmes d’informations, on peut citer les activités des ressources humaines de l’entreprise ; le système de traitement des transactions commerciales de l’entreprise, le système de communication interne de l’entreprise ; les supports de contrôles des activités de chaque ressource humain et matériel ; les outils de mesures de la performance de chaque activité ; …
La fonction du système d’information tient effectivement une grande place pour le bon fonctionnement de l’entreprise. Plusieurs chercheurs pensent alors que l’efficacité u système d’information au sein d’une entreprise dépend catégoriquement du degré d’implantation de celle-ci dans l’ordre de fonctionnement de l’entreprise. Ce degré d’implantation dépend souvent du nombre d’utilisateur du système et de sa portée pour ses utilisateurs. Ce système d’information peut alors être utilisée par un groupe de personne en vue de contrôler et d’hiérarchiser les activités de ce groupe ; elle peut aussi être utilisée selon une forme d’intégration verticale qui permet aux dirigeants de mieux coordonner les activités de ses subordonnés. Ce système peut aussi être orienté vers la demande du marché et des clients de l’entreprise pour garantir une image et une valeur de l’entreprise vis-à-vis de ce marché et de ces clients. Mais le système d’information le plus utilisé pour les entreprises d’envergures internationales modernes est celui étudiée par monsieur B. KONSYNSKI qui est un système usant des nouvelles technologies de l’information et qui s’étale en trois étapes telles que l’acquisition de l’information par les outils de la nouvelle technologie ; la communication de ces informations toujours par le biais des outils de la nouvelle technologie ; et la coordination des activités conformément à ces informations communiquées toujours par le biais des outils de la nouvelle technologie de l’information et de la communication.
En somme, l’introduction des outils de la nouvelle technologie de l’information et de la communication a introduit des nouveautés au sein du système d’information de chaque entreprise moderne et leur a permis de se détacher petit à petit des systèmes d’informations traditionnels qui sont de nos jours moins efficaces pour la rétention de la compétitivité. Actuellement, le système d’information est généralement centralisé et partagé à partir des dirigeants vers les subordonnés, ce qui permet un large contrôle de toutes les activités de chaque personnel de l’entreprise. De plus, le système d’information moderne permet une rapidité et une disponibilité gratuite de toutes les informations nécessaires pour le développement de l’activité de tous des services de l’entreprise, ce qui permet aux entreprises modernes de personnaliser les offres qu’elles proposent à ces clients dans l’objectif de leurs fidéliser.
1.4. Evolution des moyens de communication.
Pour rendre compte de l’évolution des moyens de communication, on ne peut en aucun cas se différer du terme de la « Nouvelle Technologie de l’Information et de la Communication » plus communément connue sous le sigle « NTIC ». Ce terme a été premièrement utilisé dans le langage francophone au cours des années 1990 même s’il n’a été utilisé par le public qu’aux alentours des années 2000 où il a été utilisé pour caractériser des outils informatiques et électroniques qui apparaissent pour la première fois sur le marché. Jusqu’à nos jours, il n’y a pas encore une définition précise des NTIC qui s’identifient cependant à la définition des TIC ou « Technologie de l’Information et de la Communication ». Selon le dictionnaire LAROUSSE, les TIC englobent « l’ensemble des techniques et des équipements informatiques permettant de communiquer à distance par voie électronique »[23]. Certains auteurs critiquent alors cette définition qui se limite à la prise en charge de l’informatique et de la télécommunication mais qui ne tient pas compte des outils multimédias et de l’audiovisuel. Ainsi, le grand Dictionnaire de l’OQLF a redéfinit le terme en précisant qu’il s’agit de l’ « ensemble des technologies issues de la convergence de l’informatique et des techniques évoluées du multimédia et des télécommunications, qui ont permis l’émergence de moyens de communication plus efficaces, en améliorant le traitement, la mise en mémoire, la diffusion et l’échange de l’information »[24]. Pour cette sous-partie, nous allons mettre e exergue l’importance de l’introduction de cette NTIC dans la vie de chaque entreprise moderne et les problèmes que peuvent rencontrer les entreprises dans leurs mises en place.
1.4.1. NTIC : outil d’information/de communication et de relation client.
Aux yeux de chaque entreprise moderne, les outils de communication et spécialement les médias de presses, internet et les réseaux sociaux peuvent constituer à la fois un outil de discussion pour garder et raffiner ses relations avec ses partenaires externes et un outil de publication des informations qui concernent l’entreprise et qui ont besoin d’être développée et publiée aux yeux du public.
D’un coté, les outils de communications qui sont actuellement disponibles au grand public et qui sont aptes à assurer une bonne relation d’échanges entre les clients, les consommateurs, les partenaires et les entreprises sont les forums, les blogs, les systèmes de messageries instantanées,… Ce sont des outils de discussions qui permettent aux différentes parties de la vente commerciale (entreprise, partenaire et clients) de se communiquer, d’engager des conversations en lignes (c’est-à-dire sans devoir faire des efforts de déplacement) et d’émettre librement des avis, des suggestions, des renseignements, des critiques et des débats concernant un sujet ou un secteur d’activité qui intéresse les deux parties à un même moment passager ou durable. De l’autre coté, les outils de communications qui sont actuellement disponibles au grand public sont aussi conçus comme des outils de publications disponibles entre les mains des entreprises qui sont en phase de lancement d’un nouveau produit ou d’une nouvelle marque. Le fait est que depuis quelques années, tout le monde à travers le monde a l’opportunité et la possibilité de consulter internet grâce aux diverses nouvelles technologies de l’informatique et de la communication qui deviennent de plus en plus accessible sans besoin d’avoir des connaissances techniques et spécifiques en la matière. Actuellement, plusieurs sites internet viennent renforcer mais à moindre prix les medias de presses comme les journaux de parution, les télévisions, les affichages publicitaires et les stations radios dans la publication des informations et des publicités des entreprises. Aussi, le lancement d’un produit ou d’une marque pour une entreprise via les réseaux sociaux et les sites internet constitue pour eux une grande opportunité de développer en quelques sortes la notoriété des personnages responsables de la création et/ou de la direction de la société dans la mesure où dans le monde professionnel où il vit, il sera connu par le secteur de son activité et sera alors ouvert à une plus grande opportunité de pouvoir rencontrer de nouveaux partenaires et de nouvelles opportunités d’affaires. Selon Martin et al. (2009), les médias sociaux, notamment via le développement de la marque employeur, peuvent permettre aux professionnels des Ressources Humaines de contribuer à la stratégie de communication tendant à contrôler et à améliorer la réputation de l’entreprise.
Puis, les consommateurs et les clients sont les raisons d’êtres et les objectifs ou cibles principaux dans les décisions de chaque entreprise de se lancer dans des publicités via les réseaux sociaux, internet et même les médias de presses. En fait, dans le contexte entrepreneurial actuel, le lancement de publicité en ligne c’est-à-dire via la création de site internet ou d’intégration dans un réseau social constitue le meilleur moyen pour une entreprise d’atteindre le plus grand nombre de consommateurs ou d’acheteurs potentiels afin de les convaincre de choisir une marque ou un produit s’il veut opérer un achat. En effet, une étude soutient que plus de la moitié des internautes en Europe consultent les réseaux sociaux ou les sites internet avant de décider d’acheter ou non un produit d’une marque quelconque dans les magasins physiques[25]. Cette étude a été réalisée auprès de quatre mille personnes âgées de 16 à 64 ans résidant en France, Grande-Bretagne, Allemagne et Italie. Une autre étude du même genre a aussi été menée aux Etats-Unis auprès de deux mille six cent internautes Américains et qui ont révélé « une corrélation entre l’exposition d’un consommateur à des publications commerciales et son comportement d’achat sur Internet »[26]. Cette étude a alors abouti à un taux de 95% de consultation des sites de marques avant tout achat des consommateurs de marques. Il apparait également qu’une étude menée par DELOITTE révèle que 21% des consommateurs utilisent principalement les réseaux sociaux et les sites internet des entreprises comme un support d’informations (localisation des magasins, comparateurs de prix, informations sur le produit, etc.). L’étude démontre également que « les médias sociaux font partie intégrante du processus d’achat car les consommateurs y pratiquent des recherches de réductions et d’idées de cadeaux »[27].
D’un autre point de vue, l’ouverture d’une entreprise aux réseaux sociaux constitue une arme indéniable de fidélisation de la clientèle. Selon Fred CAVAZZA[28] : « pour traiter avec la fidélisation, il faut traiter avec la satisfaction. En effet, le caractère public et à prix accessible des réseaux sociaux et des sites internet donne beaucoup d’importance aux insatisfactions, mais aussi aux témoignages de satisfaction. Cette méthode permet aux entreprises de s’assurer que les clients sont satisfaits, qu’ils vont être fidèles et recommander la marque à leurs proches. Il explique également que lorsque les entreprises communiquent directement sur les réseaux sociaux, ce système a un impact extrêmement fort sur le taux de fidélisation des clients » [29].
En conclusion, à l’heure actuelle, lancer de nouveaux produits ou une nouvelle marque via les réseaux sociaux et internet constitue un moyen efficace pour la fidélisation et l’entretien d’une bonne relation entre l’entreprise moderne et ses clients fidélisés et/ou potentiels. Mais il reste à mettre en garde les dirigeants sociaux qu’ils devront doubler de vigilance pour contrôler les informations à divulguer dans ces sites publics.
1.4.2. Moyen d’augmenter les ventes.
Les nouvelles opportunités apportées par les outils de la nouvelle technologie de l’information et de la communication doivent correspondre à des avantages qui s’ouvrent à l’entreprise grâce à l’adoption de telle ou telle stratégie de communication.
D’une manière générale, les réseaux sociaux et les sites internet sont les techniques de communication qui sont les plus utilisés par les entreprises modernes à cet effet. En fait, depuis l’émergence des nouvelles technologies de l’informatique et de la communication, les entreprises modernes se sont focalisées sur les sites internet et les réseaux sociaux pour faire publier et commercialiser leurs produits ou services disponibles. Mais le fait est que ces sites internet et réseaux sociaux attraient de plus en plus d’internautes d’autant plus qu’actuellement, les outils pour se connecter à ses réseaux sociaux et à ses sites internet sont devenues de plus en plus disponible avec des coûts de plus en plus réduits au profit de la masse populaire d’où une facilitation de l’accès de la population aux activités de chaque entreprise et une meilleure possibilité de connexion et de collaboration entre les entreprises qui fournissent les sites internet et les consommateurs qui accèdent plus facilement à des informations sur les produits ou services qui les intéressent via ces sites internet et ses réseaux sociaux. Force est aussi de constater que les entreprises et les consommateurs peuvent collaborer facilement sans besoin de se déplacer car les outils de communication internet et via les réseaux sociaux sont actuellement disponibles dans presque toutes les familles et les ménages modernes actuelles. En plus, depuis quelques années, les techniciens informatiques et électroniques ne cessent d’innover le champ de cette nouvelle technologie de l’informatique et de la communication en inventant des systèmes de communication ne nécessitant pas des connaissances particulières chez les internautes et le public en général.
Actuellement, les réseaux sociaux ainsi que les sites internet sont en quelques sortes des vitrines virtuelles exposant au maximum les biens et les services disponibles sur le marché de chaque domaine d’activité du monde et qui occasionne pour chaque entreprise une opportunité de faire des publicités en ligne et de pouvoir augmenter ou même doubler et tripler leurs possibilités et leurs réalités de ventes commerciales. Le fait est que quand une entreprise ouvre un réseau social public et qu’un internaute s’y inscrit, toutes les informations voulues et demandées de part et d’autres des deux parties deviennent alors consultable du fait que le réseau social recueille à la fois de la part des deux parties les demandes, les avis, les impressions, les passions personnelles et/ou professionnelles de chaque partie et les envoient à l’autre partie pour recevoir des réponses satisfaisants et favorables. En d’autres termes, les sites internet et les réseaux sociaux visent à servir d’intermédiaire efficace, rapide et à bon marché entre les entreprises, son marché et les clients de ce marché.
Par conséquent, plusieurs études sur le thème ont abouti à une même conclusion[30] : en l’absence des nouvelles techniques de communication notamment les réseaux sociaux et les sites internet, les entreprises modernes n’ont jamais pu aboutir à leurs performances d’aujourd’hui. En d’autres termes, les entreprises modernes n’ont pas pu augmenter son chiffre de vente et d’affaire et exploiter leurs avantages sans avoir utiliser les techniques de communications externes par les médias électroniques et surtout l’internet. Effectivement, en faisant des publicités par l’intermédiaire de ces sites internet et des réseaux sociaux, les entreprises ont pu vendre et commercialiser leurs produits aussi facilement, améliorer leurs images sans aucun investissement financière important, se communiquer de manière directe avec ses clients et donc pouvoir proposer les meilleures offres. Cette situation se poursuit logiquement par une meilleure vente des produits donc un meilleur bénéfice et une augmentation du chiffre d’affaire.
Cependant, on peut noter quelques différences de résultats entre les entreprises dans la mesure où certaines études publiées à ce propos ont rapporté que l’augmentation du chiffre d’affaire par l’adoption d’une bonne technique de communication n’a pas eu les résultats escomptés. Le fait est qu’un dirigeant social qui a subi une enquête à propos des impacts des réseaux sociaux sur les résultats financiers de son entreprise déclare avoir été très satisfait de ce résultat : « l’impact direct des médias sociaux sur le chiffre d’affaires se développe donc plus vite qu’attendu »[31]. Ce dirigeant social accepte ainsi que les réseaux sociaux et les sites internet appuyés par les autres outils de communications externes traditionnels jouent des rôles importants sur la vie économique et financière de chaque entreprise et arrivent toujours à augmenter le chiffre d’affaire de l’entreprise selon l’espérance de chaque dirigeant. Pour cette société étudiée, les ventes directes engendrées par l’utilisation des outils de communication externe via les médias électroniques génèrent une grande partie de son revenu. Parmi ces importants apports, on peut citer la méthode marketing qui génère plus de trente et sept pourcent du chiffre de ventes de la société ; l’e-mailing qui rapporte une augmentation de l’ordre de dix sept pourcent de son chiffre de ventes ; et les apports en chiffres de ventes des réseaux sociaux est limité à trois pourcent pour l’année 2011[32].
1.4.3. Les freins de développement des NTIC en entreprise.
Toutefois, malgré les nouvelles opportunités qui s’ouvrent à l’entreprise lorsqu’elle est capable d’adopter une bonne stratégie de communication telle les avantages sur l’augmentation des possibilités de vente, les opportunités d’augmenter le chiffre d’affaire et l’ouverture à de nombreux nouveaux postes, il persiste encore sur ces entreprises des grands menaces qui sont liées à leurs grandes ouvertures au monde extérieur comme le risque pesant sur l’image de l’entreprise, le risque d’accroissement incontrôlable des dépenses de l’entreprise et le risques d’inadaptation des règlements de cette stratégie de communication aux règlementation en vigueur sur l’entreprise. A l’unanimité, tous ces risques sont des réelles menaces qui pèsent constamment sur toute entreprise moderne vivant sous le seuil de la mondialisation et de l’industrialisation.
Principalement, ce risque doit être considéré par les entreprises qui décident d’inclure dans sa stratégie de communication les publicités et publications de son entreprise à travers plusieurs moyens de communications électroniques et surtout les communications via les sites internet et les réseaux sociaux alors qu’actuellement, force est de constater que chaque entreprise qui se veulent rester compétitif et performant sur le marché mondial actuel doit forcément inclure ce type de stratégie de communication dans sa politique. Ainsi, nous avons pu voir dans un paragraphe antérieur les caractéristiques de ces systèmes d’informations. Pour ces types de communication, le plus important est de toujours embellir et rénover sa visibilité sur internet et sur les réseaux sociaux afin que tous les internautes même ceux qui ne sont pas auparavant intéressés par le secteur d’activité de son entreprise puissent s’y intéresser par l’attraction et la visibilité de celle-ci sur internet d’autant plus que le nombre d’internautes qui consultent de manière périodique les réseaux sociaux ou du moins les sites internet ne cessent d’augmenter de jour en jour. En effet, c’est cet essor rapide de l’utilisation des réseaux sociaux et des sites internet qui posent le plus grand problème dans le sens où de nos jours, à cause de la liberté de choix pour l’utilisation de ce type de communication, presque tout le monde telle que les particuliers et les professionnels utilisent en même temps ces types de communications pour garder une relation stable et mise à jour avec les consommateurs et les clientèles cibles. Malheureusement, le risque qui pèse sur l’image de l’entreprise augmente chaque fois que les personnes qui travaillent pour cette entreprise et qui utilisent les réseaux sociaux à des fins personnelles augmentent. Le fait est qu’au fur et à la mesure que les internautes vivent avec l’utilisation de ce nouveau moyen de communication, les risques de confusion entre la sphère de vie privée et la sphère de vie professionnelle des entrepreneurs et des salariés risquent d’accroître au détriment de l’image future de l’entreprise. Rappelons que l’image que le public aura sur une entreprise suite à l’adoption par cette dernière d’une stratégie de communication tendant à faire connaître au public son existence, à informer son public de son secteur d’activité et de ses produits, à commercialiser ses ventes, peut être une image positive, neutre et/ou négative. Ainsi, dès lors que la vie privée de son dirigeant sera associé par défaut par le public à la notoriété de l’entreprise, le risque sera grand que l’image de l’entreprise soit faussée par les mauvais comportements ou les problèmes personnels des dirigeants. D’après un communiqué de presse publié en 2012, « Près de sept consommateurs sur dix sont prêts à condamner une marque ou un produit dont le marketing via les médias sociaux les ont agacé ou un mauvais comportement des responsables de l’entreprise fabricant l’a blessé»[33]. Il faut cependant remarquer que le bannissement d’un produit ou d’une marque par un seul de ses clients peut engendrer d’énormes pertes pour une entreprise quelques soit son secteur d’activité étant donné l’importance et l’efficacité non négligeable de la fonction communication de bouche à oreille réconforté par la facilité actuelle de répandre des informations via internet. En plus, une entreprise qui est boycotté par un client ou un groupe de client ouvre automatiquement la voie à de nouvelles opportunités de ventes au profit de ses concurrents d’où une possibilité pour ces dernières de se développer en améliorant leurs chiffres d’affaires au détriment de l’entreprise boycotté. De surcroît, selon une étude publiée[34] par un réseau social en automne 2012, seule 26% des internautes décident d’un achat sur l’influence des informations disponibles sur les médias sociaux. Par contre, pour 85% des personnes interrogées, elles préfèrent recueillir l’avis de ses amis et la recommandation par ces derniers leurs font toujours des effets dans la mesure où leurs décisions d’acheter un tel produit ayant une telle marque et produit par une telle entreprise sont essentiellement l’œuvre de ces recommandations. En plus, cinquante pourcent des personnes interrogées ont confiés que l’envoi des messages marketing non sollicitées par les entreprises à leurs profits constitue pour eux une forte dégradation de l’image de l’entreprise qu’ils considèrent comme une entreprise n’ayant aucune notoriété. Selon toujours cette étude, les 65% des interlocuteurs ont déclaré avoir cessé toute relation avec les entreprises qui leurs ont blessés ou agacés une seule fois via leurs comportements sur les sites internet et sur les médias sociaux.
Aussi, en matière de réseaux sociaux, on pourra remarquer que la disponibilité des informations est trop grande que la situation risque d’occasionner de nombreuses fuites des informations personnelles de chaque dirigeant social. Quoiqu’il en soit, selon une étude publiée par l’entreprise CLEARSWIF en 2013, « 42% des employés ayant entre 18 et 29 ans abordent des sujets relatifs à leur travail sur des réseaux sociaux ou des blogs qu’ils utilisent à des fins personnels»[35]. Il faut alors noter que ce chiffre publié par cette entreprise ne constitue pas un chiffre issu de son entreprise mais selon une étude générale qu’il a mené auprès des employés en général qui communique personnellement via les sites internet et les réseaux sociaux. En Bref, une utilisation mal dominée des outils de la nouvelle technologie de l’information et de la communication par les entreprises modernes peuvent engendrer à leurs profits des pertes inestimables à commencer par une immense dégradation de son image aux yeux de son public, de son client et de ses partenaires commerciaux ou financiers.
Ensuite, grâce aux immenses rôles incombés sur les moyens de communications via les NTIC, absolument toutes les entreprises performantes et compétitives actuelles utilisent ces communications dans le but d’entretenir des relations avec ses partenaires et son public externe à son organisation entrepreneurial. Il faut cependant remarquer que la décision d’adopter ces types de stratégies de communications doit être prise avec le plus grand soin par l’entreprise pour plusieurs raisons dont la première doit être une raison financière et économique. En l’espèce, pour pouvoir se lancer dans une communication via les médias électroniques, une entreprise doit y allouer un certain budget de fonctionnement vu que ce type de fonction doit incomber à une direction ou à un service spécialisé et expérimenté dans le domaine. Et le budget de fonctionnement alloué à cette fonction communication de l’entreprise doit être défini selon une considération de l’objectif de l’entreprise dans le lancement de cette opération de publicité et de marketing mais sans pour autant négliger la possibilité pour l’entreprise de supporter ce type de dépense. En l’occurrence, il faut aussi que l’entreprise qui décide de se lancer doit aussi prendre connaissance de l’état du marché dans ce type de communication c’est-à-dire des budgets alloués par les entreprises concurrentes sur cette communication avant de prendre la décision pour éviter toute déception payant sur l’avenir financière de l’entreprise. En effet, toute insuffisance de budget peut constituer un risque de perte mais il faut aussi savoir que tout excès de budget n’en est pas moins. La solution est alors qu’avant d’opter pour un si grand communication tendant à construire l’image de l’entreprise, celle-ci doit engager les meilleurs techniciens financiers afin de faire une étude approfondie. En fait, le fait de bien définir la politique adoptée par chaque entreprise concurrente avant de définir sa politique à adopter est essentielle c’est pourquoi une étude marketing d’une entreprise doit être faite par des spécialistes en marketing et doit inclure des études du marché concurrentiel.
De plus, actuellement, l’utilisation des médias électroniques par les entreprises modernes se trouvent très limitées vu les difficultés liées à sa mise en œuvre. Cependant, on peut noter une grande émergence de l’utilisation des réseaux sociaux et des sites internet par les entreprises à des fins de communication et de marketing. Mais cette émergence s’accroît de jour en jour aux risques et périls des entreprises qui se doivent d’intervenir auprès de leurs employés pour limiter leurs agissements, leurs comportements et leurs publications personnelles dans ces sites internet et réseaux sociaux afin de pouvoir gérer le domaine professionnel de ces derniers et de conserver une image positive de l’entreprise aux yeux du public. Aujourd’hui, 69% des entreprises déclarent devoir opérer un contrôle sur le compte personnel de leurs employés sur les réseaux sociaux afin de pouvoir garantir la préservation de l’image de l’entreprise, le contrôle pouvant varier d’un simple limitation d’accès vers même des mesures de blocages de ces comptes à chaque risque qui se présente[36].
Cependant, selon DELOITTE (2010), 58% des dirigeants approuvent l’existence d’un risque de réputation lié aux réseaux sociaux, mais 15% d’entre eux seulement semblent vouloir prendre des mesures concrètes par peur de détruire les relations professionnelles avec ses meilleurs employés et par peur de détruire l’environnement interne de son entreprise. Ainsi, une nouvelle tendance entrepreneuriale tend à mettre en œuvre de nouvelles politiques règlementaires ayant pour but de limiter et/ou de contrôler l’utilisation des réseaux sociaux par les employés à des fins personnels. Dans ce nouveau type de règlementation, les entreprises modernes rédigent par le soin de leurs responsables juridiques, des sortes de documents appelées « des guides de bonne pratique des réseaux sociaux »qui contiennent des indications et des informations sur l’étendu et les limites dans les pouvoirs d’utilisation des réseaux sociaux par les employés à des fins personnels et/ou non professionnels. En l’espèce, selon une enquête publiée récemment[37], 61% des employés utilisent leurs comptes Facebook sur leurs lieux de travail à des fins professionnels contre 9% qui utilisent Viadéo dans ces mêmes lieux, et 6% qui utilisent d’autres réseaux sociaux à des fins professionnels. Par cette même étude, ces employés qui utilisent les réseaux sociaux dans leurs lieux de travail à des fins personnels déclarent les utiliser dans le but d’accroître et d’entretenir leurs relations avec ses amis et aussi d’obtenir une assurance professionnelle dans la perspective où ils se verront dans la situation de devoir quitter son entreprise actuelle.
En bref, les dirigeants d’entreprises ne peuvent plus actuellement se passer de l’utilisation des réseaux sociaux et des sites internet par ses employés vu que ce droit fait partie de la vie privée de ces derniers. Cependant, ces dirigeants sociaux se doivent d’intervenir afin de règlementer cette situation afin d’éviter les interactions négatives de cette utilisation personnelle sur l’avenir professionnel de l’ensemble de l’entreprise. A cet effet, le moyen le plus efficace serait celui d’opérer un remaniement sur la règlementation de l’entreprise en ayant recours à l’introduction d’une charte limitant et contrôlant cette utilisation des réseaux sociaux par les employés des entreprises dans le règlement intérieur de l’entreprise ou même dans le contrat de travail de chaque employé nouvellement recruté.
1.5. Les outils NTIC pour le développement de la communication.
De nos jours, en parlant de médias électroniques, trois outils sont spécialement connus et utilisés par tous en vue de communiquer avec les autres. Même les entreprises modernes utilisent aussi fréquemment ces outils en vue d’entretenir des relations communicatives avec ses employés mais aussi avec ses partenaires et clients externes. Ces outils sont notamment le courrier électronique, les blogs et internet.
- Le courrier électronique.
Par définition, le courrier électronique est le système qui permet à tout internaute d’envoyer des messages à un plusieurs destinataires qui sont aussi des internautes. Il a été pour la première fois inventé par un certain Monsieur Ray TOMILSON vers l’année 1972. Il s’agit actuellement d’un service internet qui est la plus utilisée dans le monde. En France, à partir de l’année 2003 où il y avait la parution dans le journal officiel de la république en date du 20 Juin 2003 d’une requalification du courrier électronique en nouvelle dénomination à savoir « le Courriel ». Depuis cette époque, le courriel est en langue française le terme qui définit et délimite la notion de courrier électronique. En d’autres mots, le courrier électronique connu sous le nom de courriel est un service de transmission électronique de messages écrits et d’autres documents qui seront envoyés par un émetteur vers la boîte aux lettres électroniques d’un ou de plusieurs destinataires choisis par cet émetteur. En l’espèce, pour pouvoir recevoir un courrier électronique, un destinataire doit avoir une adresse électronique. Ensuite, le principe s’identifie au principe classique de l’envoi des courriers postaux traditionnels. Il suffit alors pour l’émetteur de prendre connaissance de l’adresse électronique de son destinataire avant de pouvoir lui envoyer un message. A cet effet, trois principaux avantages diffèrent les courriers postaux ordinaires des courriers électroniques. Il s’agit en premier lieu de la rapidité voire même de l’instantanéité de l’arrivée des courriers électroniques à destination face à la nécessité d’un certain lapse de temps pour l’arrivée des courriers postaux. En deuxième lieu, il y a la réduction considérable du coût de l’envoi dont les courriers électroniques se résument au coût global de la connexion au réseau informatique et principalement au réseau internet alors qu’il s’agit d’un frais de déplacement vers la poste plus un frais d’expédition du courrier pour l’envoi des courriers postaux ordinaires. En dernier lieu, on peut citer la possibilité pour l’utilisateur du courrier électronique d’envoyer simultanément un même message à plusieurs destinataires alors que pour les courriers postaux traditionnels, un message ne peut être envoyé qu’à un seul destinataire et que si l’émetteur veut faire parvenir le message à plusieurs destinataires, il doit faire plusieurs copies du message et les envoyer un à un à chaque destinataire.
Ainsi donc, pour recevoir un courrier électronique, il faut que l’émetteur et le destinataire ont tous les deux une adresse électronique. Une adresse électronique est caractérisée par deux couples de caractère séparés par un arobase connu sous le sigle « @ ». Cette arobase est alors un caractère obligatoirement présent dans toute adresse électronique. Dans la pratique universelle, une adresse électronique se présente comme suit : prénom. nom@ fournisseur. domaine ; le prénom et le nom est généralement celui du titulaire de l’adresse électronique.
- Les blogs.
Contrairement aux courriers électroniques, les blogs sont aussi des documents envoyés sur des réseaux informatiques comme l’internet mais qui ne sont pas destinés à des personnes déterminées. En fait, ce sont des sites internet appartenant à une personne ou à un groupe de personne déterminée et qui permet à cet internaute ou à ce groupe de publier de manière très simple des articles ou des informations concernant un sujet ou un thème donné. Dans sa généralité, les informations lancées par les blogs prennent la forme d’un article ou d’un journal. D’une autre manière, le blog est donc une page internet qui peut être librement gérer et modifier par son propriétaire et à travers laquelle ce dernier peut publier autant d’informations qu’il veut sur le thème qu’il choisit ou qui l’intéresse particulièrement pour diverses raisons. Principalement, les blogs contiennent les actualités sur le thème et est mise à jour régulièrement par son auteur ainsi que les fans du blog. Un blog se présente toujours de manière chronologique c’est-à-dire que les informations les plus récentes se trouvent toujours en haut de la page et sera suivie par les messages les plus anciens. Ce qui rend un blog particulier par rapport à tout autre site web c’est que vers la fin de la publication, le blogueur c’est-à-dire la personne titulaire de celui-ci laisse une place pour que les lecteurs renvoient des commentaires par rapport à la publication. En d’autres mots, le blog offre alors aux lecteurs la possibilité de réagir par rapport à l’article et à l’information nouvellement publiée ; ce qui rend don contenu assez varié et assez riche. Ce caractère interactif et conversationnel du blog l’investit en quelques sortes de la confiance du lecteur qui dispose d’une large possibilité de contredire l’information fausse et de confirmer les informations bien fondées. En France, les blogs sont aussi parfois appelés les « cybers carnets » ou les « blocs notes ». Il faut aussi noter qu’en dehors de la possibilité d’émettre des avis et des commentaires au sein même de la page du blog, le lecteur qui trouve intérêt peut même contacter le blogueur par courrier électronique envoyé à son adresse électronique qui est toujours disponible sur le blog consulté. De nos jours, les blogueurs essaient au mieux de régulariser la publication de ses blogs en y écrivant de manière périodique (tous les jours, tous les mois, toutes les semaines, …). De ce fait, les lecteurs et le blogueur peuvent entretenir de fait une relation de confiance dans la publication des actualités qui concernent le thème de chaque blog que le lecteur visite. Le blog se présente ainsi souvent comme un intermédiaire entre la page personnelle de l’auteur et un forum de discussion de tout le monde.
Dans l’actualité, les entreprises modernes ont pris l’habitude de créer des blogs d’entreprises qu’ils consacrent à la publication des actualités sur l’entreprise, ses produits et ses marques. Ces blogs d’entreprise permettent en quelques sortes une communication plus ou moins officielle entre les consommateurs et l’entreprise et permet ainsi une réactivité en temps réel des consommateurs.
1.5.3. Internet.
L’apparition du premier réseau internet découle du projet APARNET qui a vu le jour en 1967. En fait, ce projet avait à l’époque pour objectif de mettre en place un système de liaison solide qui lierait tous les universités et les instituts de recherches Américains qui travaillaient en étroite collaboration avec le ministère de la défense des Etats-Unis. Le projet s’est ensuite étendu vers la recherche d’un réseau unique et solide qui lierait ces universités et instituts de recherches avec les entreprises américaines qui travaillaient pour l’armée fédérale. C’était ce réseau qui servait d’initiation à ce qu’on appelle actuellement le « réseau internet ». De nos jours, on peut définir l’internet comme l’ensemble de réseaux d’ordinateurs ouverts qui sont reliés entre eux même s’ils se trouvent dans divers lieux différentes à la seule condition qu’ils se situent sur l’échelle de la planète terre. En l’espèce, ces ordinateurs sont reliés entre eux par l’intermédiaire d’un réseau unique qui fonctionne sur la base de logiciels particuliers permettant à tout utilisateur du réseau de communiquer entre-eux et de faire des échanges d’informations en vue de les partager à d’autres.
Le mot « internet » est acquis par l’assemblage de deux mots à savoir « inter » qui est le diminutif du mot « interconnexion » et du mot anglais « network » qui signifie « réseau ». Depuis son apparition, l’internet a été toujours et reste jusqu’à aujourd’hui le plus grand réseau électronique de connexion informatique qui est utilisé à travers le monde entier et on parle alors d’un réseau mondial. A vrai dire, internet a deux composantes dont la première est matérielle et la seconde est immatérielle. Sa composante matérielle est constituée par l’ensemble de tous les innombrables ordinateurs qui sont reliés entre-eux par le réseau internet tandis que sa composante immatérielle est formée par les multiples logiciels qui stockent tous les données partagées par les internautes et qui leur permettent d’ailleurs de voyager à travers le monde sans aucune limite géographique ni temporelle par le simple geste de clic du souris de son ordinateur. De part cet exceptionnel rôle d’internet, « toute entreprise moderne quelques soit sa taille et son secteur d’activité doit être en mesure d’intégrer ce nouveau système de communication et d’information et aussi de pouvoir en suivre l’évolution technologique et pratique afin qu’elle puisse rester en compétition sur le marché national, régional et international »[38]. Selon les professionnels du métier, Internet apportera plusieurs révolutions sur le monde entrepreneurial moderne. Il s’agit de « la réduction du coût de transmission de l’information, la possibilité d’interconnexion en temps réels des acteurs de la vie commerciale (les vendeurs, les acheteurs et les intermédiaires de commerce), la réduction du coût de l’étude de marché de chaque projet, l’omniprésence des entreprises dans la vie quotidienne des consommateurs, la facilité pour chaque entreprise moderne de créer des valeurs et des images notoires vis-à-vis du monde entier »[39].
PARTIE 2 : LE DEVELOPPEMENT DE LA COMMUNICATION AU SEIN D’UNE ENTREPRISE EN LANCEMENT : CAS DE LA BOULANGERIE.
En quelques sortes, cette deuxième partie sera une partie pratique ou empirique qui étudiera pratiquement le cas particulier de l’entreprise familiale de boulangerie qui est une entreprise en voie de lancement sur le marché et qui utilise les outils de la nouvelle technologie de l’information et de la communication pour publier ses œuvres sur le marché de son secteur d’activité. Dans cette seconde partie du document, il y aura trois sous-parties à savoir une présentation de l’entreprise (2.1), une analyse de l’environnement de l’entreprise (2.2) et une brève synthèse de la réalité sur cette entreprise (2.3).
2.1. Présentation de l’entreprise.
Pour la présentation de cette entreprise familiale de boulangerie, deux sous-parties vont se succéder à savoir le but/ objectif métier de l’entreprise (2.1.1) et son historique (2.1.2).
2.1.1. But/objectif métier.
Le métier de boulanger est un métier artisanal (qui peut être actuellement industrialisé), qui a pour but la fabrication et la commercialisation des produits fabriqués. En fait, être boulanger suppose que la personne fabrique avec son équipe des pains et des viennoiseries de toutes sortes, que ces produits soient salées ou sucrées. Dans la majorité des cas, le boulanger exerce son activité auprès d’un atelier ou d’un magasin de boulangerie.
D’une manière générale, le boulanger est celui qui vend du pain après en avoir fabriqué. Parmi ces pains, on peut voir des pains ordinaires comme par exemple des baguettes de pain et des pains spéciaux à l’exemple des pains complets ou des pains aux seigles,… Mais dans certains cas, le boulanger peut aussi produire et vendre des produits de viennoiserie comme des croissants et des brioches et même de pâtisseries courantes ou des produits traiteurs tels que les pizzas ou les quiches.
Pour pouvoir prendre le nom de boulanger, une personne doit avoir obligatoirement suivi un parcours de formation professionnelle et obtenu un diplôme le qualifiant de boulanger professionnel. La raison en est que pour pouvoir connaître et maîtriser les technicités et les étapes de la fabrication du pain, le boulanger doit avant tout suivre une formation solide et suffisamment suffisante pour être en mesure de produire du pain conforme aux exigences du marché, à la demande des clients et aux normes de santés exigées par la loi. En effet, pour respecter les normes, la fabrication d’un pain doit respecter minutieusement les nombreuses étapes de préparation avant la touche finale. Il s’agit pour le boulanger de bien respecter les différents gestes et temps de pause respectivement requises pour chaque type de pain. Toutefois, la fabrication de toutes sortes de pains requiert toujours le passage par le pétrissage de la pâte, la fermentation de celle-ci, le façonnage, l’enfournement, la cuisson et le défournement. Notons alors que pour chacun de ces étapes, la fabrication d’un pain correspond à un temps particulier selon l’objectif attendu.
De nos jours, l’activité et le métier de boulanger connaît des notables évolutions liées étroitement au développement et à la modernisation des outils et matériels utilisés pour la fabrication du pain, le but pour tout boulanger étant de produire des meilleurs pains suivant la demande et le besoin de la clientèle mondiale en plus de les commercialiser dans des magasins de plus en plus proche et accessible à chaque catégorie de clientèle. De ce fait, tous les étapes de la fabrication du pain connaît des améliorations à commencer par l’apparition des outils plus modernisés pour le pétrissage des pâtes pour se terminer par le développement des matériels de défournement des pains et la mécanisation des magasins de ventes des produits boulangers. Les produits offerts par les boulangers sur le marché tendent actuellement à se diversifier de plus en plus en vue de répondre de manière correcte et précise aux attentes de la clientèle d’où une exigence pour chaque boulanger ou chaque entreprise boulangère de s’imprégner de ces évolutions et de les appliquer en vue de pouvoir faire face à la concurrence qui se multiplient de jour en jour sur la marché national et international et aussi en vue de rester performant et compétitif pour atteindre l’objectif financier, économique et autres mis en place par chaque entreprise. En d’autres termes, le boulanger qui s’attache à son travail doit être en mesure de suivre les tendances de la consommation actuelle et en mesure de pouvoir bien organiser son travail pour atteindre son objectif. Comme toute entreprise opérant dans le commerce de produits frais, les entreprises boulangères doivent aussi se soucier fortement des communications de bouches à oreilles de ces clientèles qui constitueraient la majeure partie de sa communication externe et de la construction de son image et de sa notoriété.
2.1.2. Historique.
L’entreprise de boulangerie qui fera l’objet de notre étude pour le présent document est une entreprise familiale de taille moyenne qui a vu le jour pour la première fois vers les années 1990. En l’espèce, le dirigeant fondateur de l’entreprise était un ancien ouvrier qui travaillait comme ouvrier au sein d’une entreprise boulangère après avoir obtenu son diplôme de « boulanger professionnel » vers 1982. En travaillant pour cinq années au sein de son entreprise d’accueil, ce dirigeant a pu acquérir toutes les compétences nécessaires et les qualifications requises pur devenir un dirigeant de son propre entreprise vu que dans cette première et seul entreprise où il travaillait comme salarié, il commençait par être un simple ouvrier avant de rencontrer plusieurs promotions inhérentes à sa compétence et à sa qualité personnelle et qui le propulsait au moment de sa sortie vers le poste de chef d’équipe.
En 1990, ce dirigeant décide alors de fonder une très petite entreprise artisanale de fabrication de pain ordinaire qu’il entend produire et commercialiser avec l’aide de son conjoint, de son frère et de la femme de son frère. La fondation de l’entreprise se réalisait alors par l’ouverture d’un petit magasin qui servait à la fois d’atelier pour la fabrication du pain et de vente des produits, avec un partenariat financier et commercial des deux couples en question. Au fur et à mesure de son succès sur le marché, l’entreprise se développait et intègre de plus en plus de personnes pour le développement et l’augmentation de la production de l’entreprise. Cependant, malgré ce large développement, les co-fondateurs de l’entreprise préfère jusqu’à nos jours ne recruter que des membres de leurs familles qu’ils forment au sein même de l’entreprise et qu’ils recrutent au fur et à mesure des besoins de leurs affaires et de la demande du marché et de la clientèle. Tout au long de son parcours, l’entreprise de boulangère en question ne cesse pas de rencontrer des problèmes financiers et autres inhérents à l’évolution technologique et pratique de son métier et de son secteur d’activité. C’est la raison pour laquelle l’entreprise qui n’a jamais cessé de requérir de plus en plus de financement pour atteindre et satisfaire les besoins du marché a décidé récemment (en 2010) d’allouer une certaine partie de son budget de fonctionnement à la formation des employés de l’entreprise dans des établissements de formations professionnelles divers en vue de les faire acquérir les connaissances et les compétences nécessaires dan l’exercice de leurs fonctions. En l’espèce, les dirigeants co-fondateurs de l’entreprise qui sont actuellement les principaux initiateurs de toutes les décisions en son sein, ont décidé de procéder de la sorte en raison de leurs constatations que l’entreprise ne peut pas affronter la concurrence et la compétitivité sur le marché que si elle détienne les ressources humaines compétentes et nécessaires pour arriver à suivre l’évolution de la technologie en matière de fabrication boulangère. De surcroît, l’entreprise s’efforce aussi de nos jours d’allouer une certaine somme de son budget de fonctionnement dans le but d’acquérir et de multiplier les outils et matériels de la nouvelle technologie qui sont nécessaires pour la fabrication, la vente et la communication des produits sur le marché vu que les dirigeants se rendent compte qu’il s’agit de la seule manière pour garantir l’amélioration et l’efficacité de la productivité et de la commercialisation de l’entreprise.
Actuellement, l’entreprise étudiée reste toujours fermée à toute personne étrangère et est alors exclusive aux membres de la famille des dirigeants co-fondateur. Elle emploie au total quarante-six personnes qualifiées et diplômées en boulangerie, en communication, en ressources humaines, en marketing, en informatique, en technique industrielle, en administration, … en plus de quelques coursiers qui sont responsables de la livraison et de la régularisation des petites courses relatives au bon fonctionnement de l’entreprise. Dans la majorité des cas, le recrutement se fait selon les besoins de l’entreprise et selon la compétence requise par chaque membre de la famille plus ou moins élargi. Ainsi, la création d’une nouvelle poste est décidée par les dirigeants lorsque ce poste est requis pour le bon développement de l’affaire. Pour terminer, il faut noter que les dirigeants co-fondateurs qui commençaient à diriger l’entreprise depuis quelques dizaines d’années commencent actuellement à penser à leurs retraites et commencent à penser à remettre la direction de l’entreprise entre les mains de leurs prédécesseurs qui travaillent déjà pour l’entreprise depuis quelques années. Les dirigeants actuels procèdent personnellement à la formation pratique de ces successeurs lorsque ces derniers ont acquis les diplômes requis et les connaissances théoriques suffisantes pour pouvoir tenir le poste et continuer les œuvres de leurs parents. La question qui se pose est actuellement : est-ce que ces prédécesseurs seront-ils suffisamment compétents pour pouvoir continuer les œuvres de leurs parents en vue de développer davantage l’entreprise et de la faire fructifier plus ?
2.2. Analyse de l’environnement.
Toutes personnes maîtrisant le cours de marketing connaît ce qu’on appelle le SWOT. Le terme est une abréviation dérivé de la langue anglaise qui signifie « Strengths, Weaknesses, Opportunities, Threats ». En français, le terme signifie Forces, Faiblesses, Opportunités et Menaces. En marketing, la réalisation de ce SWOT est indispensable pendant la phase de l’étude de marché d’une entreprise parce qu’il peut servir d’axe entre l’analyse et la prise d’une décision marketing. L’étude de l’environnement de l’entreprise doit démontrer des faits externes et des faits internes entourant la possibilité de réussite du projet. Les faits internes doivent être conçus comme des forces ou des faiblesses du projet tandis que les faits externes seront analysés comme des opportunités ou des menaces pour l’entreprise. Ce qui importe est que l’analyse SWOT doit permettre à toutes personnes intéressées d’avoir une vision claire de l’ensemble de la situation du projet. Pour l’entreprise familiale de boulangerie présentement étudiée, l’analyse de son SWOT donne le résultat suivant :
2.2.1. Environnement externe.
OPPORTUNITES | MENACES |
– En matière géographique, les clients fidèles de l’entreprise habitent généralement aux alentours du magasin qui se situent dans un quartier aisé. On peut ainsi déduire que les produits de l’entreprise détiennent une notoriété très distinguée dans sa localisation, une notoriété difficilement combattable par des nouveaux concurrents. | – On a dit que les clients de l’entreprise sont surtout des clients privilégiés et fidèles. Ce qui veut dire que la commercialisation des produits est liée à une certaine confiance longtemps valorisé et entretenu par les deux parties. Le risque se situe alors sur la capacité des nouveaux dirigeants à atteindre ce niveau de confiance voulu par les clients. |
– Les pains produits par l’entreprise sont des pains d’une marque originale. En plus, comme il s’agit d’une entreprise familiale, les clients fidèles de l’entreprise reconnaissent ses produits par l’impossibilité d’une contrefaçon vu que l’entreprise est fermée à toute personne étrangère. Ce qui offre une certaine stabilité pour la commercialisation des produits du fait de la stabilité matérielle des produits. | – Un éventuel échec dans le choix de la stratégie marketing choisi pour la commercialisation des produits dans le futur serait difficilement réparable vu la fidélité et l’unicité des clients de l’entreprise et la pérennité de la relation qui existe entre-eux et les anciens dirigeants.
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– L’ensemble de la clientèle de l’entreprise est un ensemble solide c’est-à-dire que ces clients ne trahiront pas l’entreprise pour une simple campagne publicitaire des autres marques concurrentes vu les plusieurs années de confiance qui ont été établies entre-eux. | – Face à l’émergence de nombreuses entreprises concurrentes et à l’évolution incessante des matériels et outils nécessaires pour la fabrication et la commercialisation des produits frais dans le marché interne et international, l’entreprise peut se retrouver dans des grandes difficultés financiers et techniques si le problème de l’irremplaçabilité de la personne des dirigeants co-fondateur se présenterait au moment de leurs départs en retraites qui est dans un futur proche.
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– L’originalité des produits de l’entreprise associée à un bon effort de formation des personnels et d’achat de matériels et outils performants peut engendrer des coups de cœurs chez certaines catégories de personnes citadines et aisées qui n’étaient pas auparavant attirés par l’entreprise. | |
– Dans le marché de son secteur d’activité, les pains et divers produits de l’entreprise détient une situation commode et pratique. En fait, elle se situe au centre de ce qui est luxueux et présentable et de ce qui est à bon prix et à la portée de tous.
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– La clientèle des produits de l’entreprise est surtout une clientèle fidèle. Les dirigeants co-fondateur de l’entreprise ont surtout su montrer aux consommateurs son originalité en inscrivant sa création dans une optique de longévité et de durabilité. |
2.2.2. Environnement interne.
FORCES | FAIBLESSES |
– Actuellement, l’entreprise conserve l’exclusivité dans la fabrication et la vente de ses produits originaux. Ainsi, elle arrive à exercer un contrôle très étroit sur la qualité des produits fabriqués et vendus pour atteindre la préservation de l’exclusivité de ses produits et de sa marque.
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– Dans le marché de son secteur d’activité, on retrouve l’émergence de plusieurs autres produits boulangers qui se développent rapidement.
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– Le changement de main en matière de direction de l’entreprise se prépare depuis plusieurs années dans l’optique de préparer le meilleur futur gérant et de conserver l’authenticité des produits et de la manière de les commercialiser. Vu les formations et les compétences acquises par le futur dirigeant en plus de ses expériences acquises lors de ses quelques années de formations pratiques, la nouvelle nomination propulserait sans doute l’entreprise au sommet vu le soif de gloire et les bonnes motivations de cette nouvelle personnalité. | – La présence de ces nouveaux concurrents menace fortement le chiffre de vente et donc la pérennité et le développement de l’entreprise, ces produits risquent alors de se démoder par rapport aux nouvelles productions du vingt et unième siècle.
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– L’apparition de plusieurs nouveaux postes techniques et stratégiques tenus par des professionnels qualifiées et diplômées assurerait un développement inégalé de l’entreprise vu qu’elle reste toujours fermée à toutes personnes étrangères, ce qui signifie l’existence constante d’une même ambiance de travail entre toutes les équipes qui sont toutes issues d’une même grande famille. | – Les autorisations de licences et de franchises au profit d’autres nouvelles entreprises dans le but de développer le commerce et de rendre international les produits boulangers ont conduit à la banalisation et à la perte de prestige de celle-ci.
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– Depuis sa création, le chiffre d’affaire de l’entreprise a connue une hausse apparente principalement dans le secteur de la vente au détail. En fait, pendant le second semestre de l’année 2004, ce chiffre d’affaire a même été doublé.
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– Après le départ en retraite des dirigeants fondateurs de l’entreprise, leurs successeurs risquent d’être trop orgueilleux pour se consacrer au prestige en oubliant de s’assurer de la continuité de l’originalité de la création de la maison ou de se montrer trop timide pour défendre les produits de l’entreprise de tous ses concurrents directs et indirects. La conséquence serait un déficit budgétaire de l’entreprise.
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– L’entreprise procède actuellement à l’étude du marché international en vue de la réalisation d’un projet de fusion avec une autre chaine de boulangerie d’envergure internationale. Avec l’étude minutieuse menée par certaines personnes qualifiées et compétentes de l’entreprises, cette fusion ouvrira l’entreprise à certaines nouvelles opportunités qui lui permettraient de rejoindre une place et une grande notoriété dans le marché international.
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– L’image de marque des produits de l’entreprise se trouverait fortement détérioré par l’absence des mains de fée des dirigeants fondateurs. Alors, même en présence d’une reprise de performance suite à la prise de pouvoir par de nouvelles mains, cette reprise doit être croissante au cours des années à venir pour atteindre le but principal de l’entreprise qui est celui de préserver et de continuer les œuvres des dirigeants fondateurs de l’entreprise.
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– Les produits fabriqués par l’entreprise sont des produits complets capables d’assouvir toutes les demandes du marché de son secteur d’activité et de toutes ses clientèles acquises et à conquérir vu que la production est aussi associée au dynamisme et à la détermination des dirigeants fondateurs. En plus des pains ordinaires, elle produit actuellement toutes sortes de pains ordinaires et particuliers, toutes sortes de viennoiseries, des pâtisseries ainsi que des produits traiteurs…
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– Le mauvais choix d’une stratégie marketing face à l’émergence des outils de la nouvelle technologie de l’information et de la communication risque de banaliser et de vulgariser les produits. Des efforts marketing et des recrutements de professionnels en la matière sont alors fortement conseillés pour la pérennité de l’entreprise. |
– L’entreprise commence actuellement à entrer dans des activités de mécénat lui offrant une certaine notoriété. Aussi, le mécénat est une action de conciliation de la création artistique et de la relation avec la clientèle, elle engendrera sans doute une certaine confiance des consommateurs en la marque de l’entreprise. |
PARTIE 3 : PRESENTATION DES RECOMMANDATIONS ET PERSPECTIVES POUR L’ENTREPRISE.
Pour pouvoir donner conseil aux dirigeants de cette entreprise, j’ai choisi de partir de la situation de constatation pratique lors de mon stage et proposer des recommandations en fonction des outils de la nouvelle technologie auxquelles l’entreprise peut facilement accéder et dont l’utilisation peut lui être très bénéfique. A cet effet, les perspectives et les recommandations parlera successivement de l’avènement du Web 2.0 (3.1) ; des réseaux sociaux (3.2) ; de la stratégie digitale et numérique de l’entreprise (3.3) ; et du marketing viral de l’entreprise (3.4).
3.1. L’avènement du web 2.0.
Dans cette première sous-partie, on mettra en évidence l’historique et la définition du Web 2.O (3.1.1) ; de l’utilisation de cet outil par cette entreprise (3.1.2) et de l’intérêt que cet outil peut présenter pour l’atteinte de l’objectif de l’entreprise (3.1.3).
- Historique et définition.
L’expression « web 2.0 » est une expression qui désigne « l’ensemble des techniques, des fonctionnalités et des usages du World Wide Web qui ont suivi la forme originelle du web »[40]. Essentiellement, l’expression parle des connexions qui permettent aux internautes qui ont une connaissance technique très limitée du monde informatique de s’imprégner et d’utiliser les nouvelles fonctionnalités du Web. En d’autres termes, depuis l’apparition du Web 2.0 sur le monde de l’informatique et de la nouvelle technologie, ce monde est devenu accessible aux utilisateurs qui n’ont pas assez de connaissances techniques et de compétences en la matière. Il s’agit en quelques sortes d’un outil de facilitation d’accès du public aux outils at aux fonctionnalités de la nouvelle technologie de l’information et de la communication. Le Web 2.0 est une évolution contraignante du web qui initie toute internaute à la possibilité de créer des pages de relations sur un thème donné, de prendre part à des pages ouvertes par des autres personnes et de faire des échanges d’informations, voire même de discuter sur des sujets aussi variés que possible et sur des thèmes intéressants chacun des internautes concernés. Ainsi, grâce aux fonctionnalités de Web 2.0, toute internaute peut devenir une personne active sur internet et une personne qui prend part à chaque discussion qui s’initie vu que les connaissances techniques et informatiques ne sont plus obligatoires pour pouvoir y participer.
L’expression a été médiatisée pour la première fois par Dale DOUGHERTY en Août 2004 par l’intermédiaire de la société O’REILLY Média dirigée par monsieur Tim O’REILLY. A travers cette médiatisation, Dale DOUGHERTY parle de renaissance et de nouvelle mutation du Web lorsqu’il parle du Web 2.0. Mais le terme s’est réellement imposé dans le monde des médias électroniques à partir de l’année 2007 où il avait fait l’objet d’une exposé de position lors d’une conférence intitulée « What is Web 2.0 ? ». Cette conférence présentait alors cinq principes clés pour l’application des nouvelles fonctionnalités du web 2.0, ce sont :
- Le Web est la plate-forme génératrice de la renaissance.
- Les données disponibles à travers Web 2.0 sont des données reçus comme des connaissances implicites.
- Le réseau qui partage 2.0 est conçu comme une architecture de participation, d’innovation et d’assemblage de plusieurs sites indépendants mais qui se rassemblent pour former un tout cohérent et exploitable.
- Le Web 2.0 favorise le modèle d’une entreprise qui se développe grâce à la syndication des contenus et des services contenus dans cette entreprise.
- Il n’y aura pas de fin pour l’adoption du cycle d’adoption de logiciels tendant au développement de Web 2.0.
- Utilisation.
Pour se servir de Web 2.0, il faut toujours la présence de cinq éléments tels que des logiciels de serveur, la syndication de leurs contenus, l’existence d’un protocole de messagerie, la présence d’un standard de navigation et l’application de diverses clientes qui donnent naissance et vie à l’application. Ainsi, le Web 2.0 détient une nature complexe mais facile à manipuler qui donnent un effet de complémentarité en son sein en raison de son capacité de stockage de toutes les informations, de création et de diffusion de toutes sortes d’informations, et de rapidité ainsi que de sécurité du transfert de toutes les données. Un site qui relève du Web 2.0 utilise par conséquent et de manière obligatoire et privilégiée toutes les techniques suivantes : des balisages sémantiquement valides, des techniques d’applications très riches, des syndications et des agrégations de contenu, des catégorisations par étiquetage, des utilisations appropriées d’URL, et des architectures conformes à son site d’application. De ce fait, chaque site Web 2.0 doit être défini par son contenu particulier.
- Intérêt.
De nos jours, les nouvelles opportunités apportées par le nouveau média électronique issu du Web 2.0 a permis un enrichissement rapide et inattendu de plusieurs entreprises modernes s’y intégrant. Il s’agit des entreprises d’envergure internationale qui se présentait comme des spécialistes et qui utilisait cette technique pour communiquer à travers des consommateurs mondiaux. Tous comme ces entreprises, l’entreprise familiale de boulangerie dont nous avons présenté dans la partie précédente peut aussi de manière libre accéder à cette nouvelle technique de communication qui lui ouvrirait la voix vers une notoriété internationale c’est-à-dire une publicité en vue d’une commercialisation de ses produits sur le marché international de son secteur d’activité. De cette façon, il nous convient de conseiller aux dirigeants et futurs dirigeants de cette société de prendre part à la formation des employés de la société en vue de pouvoir maitriser cette nouvelle technique de communication innovante et bénéfique pour son affaire. A ce stade, il faudra signaler que même si l’utilisation de cette nouvelle technique de communication n’exige pas l’imprégnation d’une connaissance technique et informatique singulière pour l’internaute particulier, il serait différent pour le cas d’une entreprise qui a pourtant besoin d’une personne qualifiée et imprégner de toutes les hautes techniques de la communication via ce moyen vu que la notoriété de l’entreprise y sera mis en jeu et que l’entreprise aura alors besoin de surveiller toutes les informations et les données qui y circulent en vue de ne pas perdre le contrôle de la notoriété et de l’image de celle-ci sur la scène internationale. Le fait est que le Web 2.0 est une technique qui n’est pas réservée aux seuls techniciens, ce qui explique le grand enjeu de cette technique pour les entreprises qui veut en profiter pour gagner de la notoriété positive.
- Utilisation des réseaux sociaux.
Dans cette seconde sous-partie, nous consacrerons à l’étude des trois types de réseaux sociaux utilisés par l’entreprise. A cet effet, on étudiera son utilisation de Facebook (3.2.1) ; son utilisation de Twitter (3.2.2) et son utilisation de Youtube (3.2.3).
Facebook est un réseau social en ligne c’est-à-dire un média électronique à travers lequel les internautes sont permis de partager, de publier, d’échanger et de lire ainsi que de discuter de toutes les informations et les données disponibles. Il s’agit du deuxième site web le plus visité au monde d’où sa capacité à transmettre de manière très rapide et inégalée des informations actuelles et présentes sur un thème donné. De nos jours, le fondateur de ce site a déclaré la présence de plus d’un milliards d’utilisateurs de ce site dans le monde entier. C’était un site qui a vu le jour au sein de l’université de Harvard en 2004. Au début, il était réservé aux étudiants de cette université et était conçu dans le but de facilité le transfert et le partage d’informations interne ainsi que l’échange de données et d’expérience entre toute la population de cet établissement. Il a été ensuite ouvert à toutes les universités Américaine de l’époque en vue d’élargir le champ de transfert et d’échanges d’informations, de connaissances et d’expériences entre tous les universitaires Américains, le but étant d’améliorer les compétences et les savoirs des étudiants américains. En 2005, le site a été ouvert à l’adhésion des étudiants du secondaire. Vers le mois de Septembre 2006, l’adhésion à ce site a été rendu possible pour toute personne âgée au minimum de treize ans et possédant une adresse électronique valide. A cette condition, toute personne peut avoir ainsi un compte Facebook et participer au développement de ce réseau. Depuis, ce réseau social permet à tout membre d’y introduire toutes sortes d’informations personnelles et professionnelles et de discuter de n’importe quel thème avec les autres membres. A partir de cette date, les comptes Facebook devenaient des lieux d’échanges et de discussion entre les personnes ayant les mêmes centres d’intérêts ou les mêmes centres d’activités.
Il serait ainsi judicieux pour l’entreprise de boulangerie présentement étudiée d’ouvrir un compte Facebook et d’y lancer des informations et des données concernant leurs produits et l’entreprise elle-même, l’avantage étant de pouvoir faire de la publicité mais aussi de pouvoir partager avec les professionnels et les amateurs du secteur de toutes les expériences et les compétences nécessaires pour le bon développement et la pérennité de l’entreprise. Ce compte permettrait aussi pour l’entreprise d’initier et de développer des relations de partenariat avec ses partenaires et ses clients ainsi que les consommateurs potentiels en raison de la possibilité de suivre les pages sur des thèmes précis qui intéresse l’entreprise par l’inscription au mention « J’aime » disponible sur le réseau.
Twitter est un nouvel outil de micro-blogage c’est-à-dire une sorte de mini-blog qui est conçu pour être géré par l’entreprise Twitter-Inc. A travers cet outil, tout utilisateur peut lancer des messages très bref appelés les Tweets sur le site internet. Ces messages sont des messageries instantanées qui sont limités à cent quarante caractères. Depuis sa création en Juin 2006, le service devient très rapidement populaire et atteint en février 2012 le cœur de plus de six cent millions d’utilisateurs. Les messages sont en fait transmis de manière instantanée par les diverses serveurs informatiques de l’entreprise Twitter Inc.
Twitter serait alors un outil efficace qui peut être mis à la disposition des employés de l’entreprise de boulangerie, des consommateurs ainsi que des partenaires externes de la société en vue de partager des informations rapides mais obligatoires en vue d’une amélioration de sa relation avec ses clients internes et externes. Il serait alors conseillé pour les responsables de cette entreprise de s’imprégner de cette nouvelle technique et d’apprendre pour le maitriser en vue de la faire profiter à la société.
Youtube est un site internet qui se spécialise dans l’hébergement des vidéos intéressant une personne, une entreprise ou un groupe social quelconque et sur lequel tout utilisateur peut envoyer, regarder et partager des vidéos. Il a été créé en 2005 pour être ensuite racheté par Google en Octobre 2006. Vers l’année 2009, on a pu recenser plus de trois cent cinquante millions de visiteurs de ce site tous les mois. Il s’agit alors d’un site très visité par les internautes modernes d’où l’intérêt pour chaque entreprise d’entrer dans cette relation d’hébergement de photo en vue de pouvoir communiquer tous les vidéos intéressant en vue de la publicité de son entreprise et de ses produits. A travers Youtube, l’entreprise de boulangerie peut créer une image notoire par l’envoi des vidéos intéressant en vue de retracer son histoire, de publier l’originalité de sa production, de mettre en exergue la qualité de ses fidèles clients en vue d’attirer les autres consommateurs du monde de s’attacher à ses produits et de nouer des partenariats durables avec l’entreprise. En somme, l’intégration à Youtube est vivement conseillée pour cette entreprise afin de pouvoir faire de la publicité visuelle via les médias électroniques et d’appuyer ainsi les méthodes de publicités visuelles traditionnelles via la télévision et les outils journalistiques traditionnels qui sont actuellement fortement limité par le temps.
- La stratégie digitale et numérique.
On appelle stratégie digitale toute stratégie de communication et de publicité utilisée par toute entreprise et usant des outils de la nouvelle technologie de l’information et de la communication. La stratégie digitale est alors l’ensemble de tous les éléments de communication utilisée par une entreprise dans le but d’atteindre ses objectifs commerciaux et financiers compte tenu de la rudesse de la concurrence actuelle et de l’existence de la contrainte en matière temporelle, humain, technique et budgétaire. Le Web est l’outil le plus utilisé par les entreprises modernes et qui constitue le plus grand élément de leurs stratégies digitales. D’après notre développement des parties et sous-parties précédentes, nous avons pu noter que l’entreprise de boulangerie étudiée commence petit à petit à se tourner de la stratégie de communication traditionnelle pour entrer dans l’univers de la stratégie digitale. Selon notre étude, l’avancement vers cette nouvelle stratégie assurera une pérennité et une longue vie à cette entreprise qui se trouve actuellement en phase de lancement sur la scène internationale. Ainsi, il nous importe de préciser que pour pouvoir remplir les objectifs attendus, il faudrait que les dirigeants de l’entreprise procèdent fondamentalement à la restructuration de sa stratégie de communication et aussi à la mise en place de tous les structures de communications conformes à la stratégie digitale et numérique en vue de proliférer la publicité et d’améliorer l’image de l’entreprise mais surtout d’entretenir une relation durable et constante avec ses clients et ses partenaires externes.
3.4. Le marketing viral.
Dans l’optique de promouvoir ses produits dans le marché international, le marketing viral est une technique qui tient pour but de promouvoir les produits et les services d’une entreprise à travers un message persuasif qui sera diffusé d’une personne à une autre. Comme son nom l’indique, la diffusion de ce message se fait suivant le modèle de la transmission d’un virus. Cette stratégie de communication utilisée par les entreprises s’est largement développée suite au développement exceptionnel du réseau internet de haut débit. Il s’agit ainsi pour l’entreprise de faire des promotions d’une offre commerciale quelconque vers quelques destinataires qui feront à leurs tours une promotion de la marque, du produit ou du bien à leur entourage en diffusant le message. La spécificité et l’intérêt de cette stratégie marketing est que les consommateurs deviennent les principaux acteurs de la communication externe de l’entreprise et de la promotion des produits de l’entreprise. Dans le cas de l’entreprise de boulangerie étudiée, le marketing viral peut être une stratégie efficace qui doit être initié de la part des clients fidèles de l’entreprise et dont ces derniers seront les promoteurs des produits à travers le monde en diffusant des messages publicitaires persuasifs émanant du responsable communication de l’entreprise, arrivant aux mains des fidèles consommateurs des produits pour enfin se terminer entre les mains de toutes les connaissances de ses clients. Il faut enfin noter que la diffusion d’un message suivant la stratégie viral se fait par l’intermédiaire du réseau internet d’où un net gain de temps et de finance pour l’entreprise de boulangerie si elle s’approprie de cette méthode.
CONCLUSION.
Le présent document est sous-tendu par le thème sous-jacent à savoir l’importance de la communication par les nouvelles technologies de l’information et de la communication pour une entreprise familiale de boulangerie. Pour apporter une bonne réponse satisfaisante tant en matière de qualité qu’en matière de quantité, le document se partage en trois grandes parties telles qu’une première partie parlant de la délimitation du domaine de l’étude dans laquelle nous avons pu exposer les divers points clés sur les concepts clés de la technologie de l’information et de la communication et de la généralité. Ensuite, le document s’enchaine avec une seconde partie qui décrit l’environnement professionnel de notre stage. La présentation de l’entreprise familiale de boulangerie a dominé cette partie. En effectuant le stage professionnel auprès de cette entreprise, nous avons pu constater que même si la société œuvre pour la production et la promotion de pains d’une variété divers, la société dispose d’une technique de communication solide sur lequel il fonde toutes les opérations de commercialisation de ses produits. En effet, pour pouvoir rester compétitif et performant, une société doit s’assurer de construire, conserver et améliorer une forte notoriété et une bonne image de sa marque ainsi qu’une assurance dans la qualité des produits qu’elle fabrique. Mais pour avoir cette notoriété, il faut qu’elle détienne une bonne stratégie marketing persuasif et attrayant d’où le rôle primordial des médias électroniques sur l’augmentation des opportunités de commercialisation et des bénéfices des entreprises. C’est d’ailleurs l’objet de la troisième partie qui tend à proposer des perspectives et des recommandations pour l’amélioration des techniques de communication de l’entreprise. En l’espèce, aussi bien les communications externes que les communications internes de l’entreprise sont importantes pour ce développement de la notoriété mais les conséquences des diverses stratégies de communications sont des fois positifs mais quelques fois négatifs pour l’image, la notoriété et le développement de l’entreprise dans la mesure où elle occasionne de nouvelles opportunités mais aussi de grands risques pour les sociétés. Mais force est de constater que quelques soit le domaine d’activité chez lequel une entreprise travaille, le bon choix par ses responsables communications et informations des moyens de communications à utiliser s’inscrit parmi les outils de développement de la notoriété de celle-ci.
Nous avons décidé de terminer le présent document par l’apport de quelques suggestions de bases pour une amélioration de la stratégie de communication entre l’entreprise familiale de boulangerie étudiée et ses clients ainsi que ses partenaires. La dernière question que nous aimerons poser actuellement et dont nous requérons une réponse de la part des futurs étudiants chercheurs du secteur marketing, commerce ou communication est la suivantes : les techniques de communications modernes ont-ils un avenir dans la gestion de la relation entre l’entreprise et ses clients ou sont-ils condamnés à rester de simples outils de communication neutre et lucide ?
[1] Morin.E, 1980
[2] Gilbert SIMONDON, « L’Invention dans les techniques », Seuil, Paris, 2005.
[3] Jean Hugues BARTHELEMY, « Penser la connaissance et la technique après Simondon », L’Harmattan, Paris, 2005.
[4] Jacob BIGELOW, « Elements of Technology », The North American review, vol. 30, 67, 1830.
[5] Jacques ELLUL, « Le Système technicien », CALMAN-LEVY, Paris, 1977.
[6] Idem.
[7] Idem.
[8] Source : Instruction générale interministérielle sur la protection du secret et des informations concernant la défense nationale et la sûreté de l’État n° 1300/SGDN/ PSE/SSD du 25 août 2003 – Voir : Arrêté du 23 juillet 2010 portant approbation de l’instruction générale interministérielle sur la protection du secret de la défense nationale – NOR: PRMD1019225A
[9] Marie- Hélène WESPHALLEN, « Communication : le guide la communication d’entreprise », DUNOD, 1997, page 09.
[10] H. MINTZBERG, “The nature of managerial work”, Harper & Row, 1973.
[11] F. BONEU, « L’entreprise communicante, démarches et méthodes de communication interne », Liaisons, 30 mai 1990.
[12] A. GIDDENS, “The Constitution of Society”, University of California Press, 1984.
[13] Y. GIORDANO, » Communications et organisations : une reconsidération par la théorie de la structuration « , Revue de Gestion des Ressources Humaines, n°26-27, Mai – Juin 1998, p. 20-35.
[14] [14] Y. GIORDANO, » Communications et organisations : une reconsidération par la théorie de la structuration « , Revue de Gestion des Ressources Humaines, n°26-27, Mai – Juin 1998, p. 20-35.
[15] P. WEIL, « Communication oblige, communication institutionnelle et de management », les Editions d’Organisation, 1990.
[16] A. MUCCHIELLI, « La communication interne, les clés d’un renouvellement », Armand Colin, Paris, 2001.
[17] Edouard STACKE: Coaching d’entreprise, Editions d’organisations, 1996, pages 85 / 86.
[18] Selon une étude de ComScore.com en 2011
[19] Jean-Baptiste BRES, « La communication interne de l’entreprise », Mémoire de fin d’Etudes en vue de l’obtention d’un diplôme de Master II, Paris, 2002
[20] D’après definitions-marketing.com (2012)
[21] Michelle et Philippe JEAN-BAPTISTE, « Marketing on line Guide juridique et pratique », Editions EYROLLES, 2008.
[22] Michelle JEAN-BAPTISTE, « Créer et exploiter un commerce électronique », Editions LITEC, 1998.
[23] Dictionnaire LAROUSSE, édition 2000.
[24] Le Grand Dictionnaire de l’OQLF ou Office Québécoise de la Langue Française, édition 2004.
[25] Selon une étude menée par IBM avec Ipsos MORI sur le « SMARTER COMMERCE », 2009.
[26] Selon une étude menée par le Cabinet KANTAR MEDIA COMPETE à l’occasion d’un exposé de plus de sept cent TWEETS commerciaux.
[27] Selon une étude menée par DELOITTE en Avril 2011.
[28] Conférence tenue lors de la CCI de Normandie en Mai 2012.
[29] Conférence tenue lors de la CCI de Normandie en Mai 2012.
[30] Une étude de COMSCORE en 2011
[31] Christophe CLAUDEL, Président et Co-fondateur de ITELIOS, 2013.
[32] Christophe CLAUDEL, Président et Co-fondateur de ITELIOS, 2013.
[33] Communiqué de presse publiée par PITNEY Bowes Software en 2012.
[34] Selon llllitl.fr (2012)
[35] Notons que l’entreprise CLEARSWIF est une entreprise spécialisée dans la sécurisation de données.
[36] Selon une enquête menée dans 19 pays et auprès de 120 sociétés par PROSKAUSER en 2011.
[37] Selon une enquête menée par l’Observatoire CEGOS en 2011.
[38] Il s’agit d’un avis de Monsieur Bill GATES, Président Directeur Général de Microsoft lors d’une conférence de presse que son entreprise a organisé en Avril 1997.
[39] A. ARIS, « Les autoroutes de l’information », Presses Universitaires de France, Paris, 1997.
[40] « Le Monde Informatique”, no 1139.
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