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Faut-il remplacer le dollar dans les échanges internationaux ?

Sujet du mémoire :

Faut-il remplacer le dollar dans les échanges internationaux ?

 

 

 

P L A N

 

Introduction

 

Problématique

 

Objectif de l’étude

 

Choix et intérêt du sujet

 

Partie I : Les échanges internationaux

 

Chapitre I : Les Pays

 

Section 1 : Les importations

 

Section 2 : Les exportations

 

Chapitre II : Les produits

 

Section 1 : Les produits importés

 

Section 2 : Les produits exportés

 

Chapitre III : Les moyens de payement

 

Section 1 : Le Dollar

 

Section 2 : Les autres devises

 

Partie II : Les problématiques des échanges internationaux

 

Chapitre I : La place des devises dans les échanges internationaux

 

Chapitre II : Les origines de la fluctuation du Dollar

 

Chapitre III : Les différents types de problèmes liés aux échanges internationaux

 

Section 1: Les problèmes économiques et financiers

 

Section 2 : Les problèmes politiques

 

Section 3 : Les conséquences de la chute du Dollar

 

Section 4 : Le Dollar/L’Euro

 

Section 5 : Le Dollar/L’Yuen

 

Partie III : L’ avantage  de la dépreciation du billet vert

 

SYNTHESE

 

Conclusion

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Introduction

De nos jours, l’argent est indispensable au quotidien, au cœur de notre société et nous ne pouvons nous en passe. Pourtant, l’argent n’a pas toujours existé ; tout d’abord simple moyen d’échange, il est devenu le fondement de l’économie politique et plus encore un symbole de puissance. Comme principales fonctions la monnaie est un moyen d’échange commercial, une réserve de valeur et une unité de compte.

En cette période de mondialisation et de globalisation, les échanges internationaux se sont développés d’une façon exponentielle. Les raisons sont divers allant de l’évolution technologique à la pluralité des besoins de chaque pays, en passant par la mobilité géographique et l’explosion démographique dans le monde. Et avec l’émergence des pays asiatiques dont la Chine, la Thaïlande, le Singapour, pour ne citer que ces trois pays, les rapports dans les échanges internationaux ont tendance à changer pour ne pas dire être des plus perturbés. L’éclatement de l’URSS ne fait que favoriser cette situation, et un nouvel ordre économique s’établit d’une façon progressive.

Problématique

Au vu de la conjoncture actuelle, les européens à travers l’UE et les américains (des Etats-Unis) ont cherché de peser de tout leur poids dans la balance pour la maîtrise des échanges internationaux. L’enjeu dans cette situation n’est pas simplement économique, mais aussi, politique. L’ouverture dans d’autres horizons s’avère donc plus que nécessaire, aussi bien pour les pays émergents que pour les grandes puissances.

Objectif de l’étude

 

Si telle est la situation qui entoure l’économie mondiale, l’objectif de l’étude se rapporte donc sur la nécessité ou non de l’utilisation du dollar dans les échanges internationaux. Dans l’affirmatif, le moment est-il opportun pour ce faire?

 

Choix et intérêt du sujet

Le sujet est d’actualité. Toutefois, il est très technique et échappe de ce fait à bon nombre d’acteurs économiques, mais il peut servir à ces derniers  de guide pour mieux piloter leurs activités liées à l’import-export. D’où, le choix du sujet qui constitue donc un outil d’aide à la prise de décision aussi bien pour les gouvernants que pour les opérateurs économiques.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Partie I : Les échanges internationaux

Tous les pays du monde, soient-ils riches ou pauvres, développés ou en voie de développement, pratiquent et vivent même des échanges internationaux. Ils peuvent se faire entre des pays d’un même continent ou dans d’autres continents. Si auparavant, ils se font plutôt entre des pays ayant un lien historique (entre un pays colonisateur et un pays colonisé, entre pays limitrophes, entre pays parlant la même langue, etc.), actuellement, avec des nouvelles données de la géopolitique et l’évolution technologique, des concurrences féroces existent entre les pays émergents et les pays riches. Si les pays producteurs exportent du pétrole, les pays en voie de développement les matières premières vers les pays occidentaux, ces derniers, à leur tour, exportent des produits finis vers les premiers. Et les pays émergents jouent un rôle non négligeable dans ces échanges car ils commencent à exporter des produits finis, aussi bien vers les pays développés que vers les pays en voie de développement, et de surcroît, à un prix défiant toute concurrence.

A la fin de la Seconde Guerre mondiale,   les USA possèdent le plus important marché financiers au monde. C’est a partir de ce moment que la place du dollar dans la monde va considérablement croitre. La conférence de Bretton Woods instaure la convertibilité en or des monnaies, cette conférence prévoit des taux de changes fixes   et une valeur invariable de l’or, par rapport au dollar américain (35 dollars l’once).

 

En d’autres termes les pays peuvent échanger à tout moment leurs dollars contre de l’or a la réserve fédérale américaine. Le dollar est donc reconnue comme monnaie de réserve internationale, bien qu’il reste convertible en or dans les échanges entre banques centrales.

Si dans les années 1950 le système de Bretton woods porte ses fruits, ce n’est plus vraiment le cas à partir des années 1960.

 

Chapitre I : Les Pays

 

Dans les échanges internationaux, on parle de négociants qui ne sont autres que ceux qui achètent des marchandises dans un pays pour les revendre dans un autre. Autrement dit, on achète des matières premières pour vendre des produits finis qui se traduit par l’achat de matières premières dans un pays étranger (importations) et par la vente de produits finis dans un autre pays (exportations). Ce qui implique l’existence de  plusieurs zones. On peut citer par exemple l’Union européenne et les autres pays. Le commerce à l’intérieur de l’Union européenne est libre car il n’y a pas de contrôle des marchandises et aucun droit de douane. C’est une zone de libre-échange.

Section 1 : Les importations

Quand on parle d’importation, on parle de taux de pénétration à l’importation. C’est le rapport entre les importations et la demande intérieure. Ce pourcentage montre donc la dépendance commerciale d’un pays pour un produit donné. Plus le aux est élevé, plus le pays est dépendant. Pour les pays en voie de développement, ils importent pratiquement presque tous les produits finis, bien que quelques pays disposent de quelques industries de transformation, mais qui n’arrivent pas à satisfaire les besoins locaux pour des raisons diverses. Toutefois, ces dernières n’arrivent que très difficilement à vivre avec la concurrence des produits importés. D’où l’accroissement des importations malgré l’intention des gouvernants de les limiter car elles entraînent une forte hémorragie de devises, et donc, un déficit de la balance de paiement. Par contre, les pays développés importent des matières premières dont des produits pétroliers en vue de transformation de ces matières pour les exporter vers ces derniers.

 

Section 2 : Les exportations

Il est important d’exporter car si le solde de la balance commerciale, un document qui enregistre les achats et les ventes de marchandises à l’étranger, est excédentaire, cela signifie que les importations sont inférieures aux exportations. Au contraire, si le solde est déficitaire, cela signifie que les importations sont supérieures aux exportations. Aussi, l’Etat exporte-t-il par nécessité de rééquilibrer la Balance Commerciale car il est obligé d’importer le produit l’on ne trouve pas sur le territoire national et que l’on a besoin de ce produit. Il exporte aussi car le marché est saturé ou il recherche une diversification des risques.

            Chapitre II : Les produits

Plusieurs types de produits sont concernés par les échanges internationaux. Ils vont des matières premières (produits agricoles, produits miniers, etc.…) aux produits finis (cf. supra).

Section 1 : Les produits importés

Si les pays développés importent des matières premières, à leur tour, les pays en voie de développement importent des produits finis.

Marchés des matières premières

Ainsi le marché new-yorkais des matières premières est-il détruit progressivement, privé de toute autonomie) par des opérateurs qui n’ont aucun besoin pour leur activité des matières qu’ils échangent mais qui jouent sur ce marché comme d’autres joueraient au casino.

L’augmentation délirante des prix du pétrole, ou plus exactement les index des pétroles légers sur les marchés, puis sa diminution presque équivalente lors des derniers mois ne peut s’expliquer uniquement par l’évolution réelle de l’offre et de la demande.

 

D’ailleurs, il n’a jamais manqué de matières premières pétrolières et au pire moment de la spéculation, quand les cours atteignaient plus de 150 dollars le baril, pour les variétés de brut légères cotées sur les marchés, des cargaisons entières de pétrole très lourds n’arrivaient pas à trouver preneur.

La consommation des pays occidentaux et des pays émergents n’a pas diminué de manière significative entraînant une division des cours par deux, tandis que la production est plutôt restée stable voire en diminution. En réalité, les spéculateurs sur les marchés pétroliers ont tout simplement eu besoin de liquidités, ce qui les a fait vendre massivement leurs stocks virtuels et ramené le marché aux alentours d’un prix d’équilibre proche de celui défini, il y a quelques mois déjà, par l’Agence Internationale de l’Energie, soit environ 70 dollars le baril.

Section 2 : Les produits exportés

Par contre, les pays développés exportent des produits finis contre les matières premières pour les pays en voie de développement

 

 

Chapitre III : Les moyens de paiement

Il est essentiel pour les entreprises qui souhaitent réussir sur les marchés internationaux de bien comprendre les rouages du financement des exportations. Il est donc nécessaire de savoir si elles ont besoin de financement pour les opérations d’exportation. Plusieurs possibilités sont mises à la disposition des entreprises exportatrices, et dont le poids au niveau international diffère suivant la localisation géographique. On peut parler de plusieurs moyens, on va se limiter ici aux unités de comptes les plus fréquemment utilisés dans les opérations d’import-export.

 

Section 1 : Le Dollar

 

Depuis l’émergence des États-Unis comme N°1 mondial des superpuissances à la fin de la Deuxième Guerre Mondiale, l’hégémonie américaine repose sur trois principes fondamentaux :

 

1) l’écrasante supériorité militaire des États-Unis par rapport à l’ensemble de ses rivaux,

2) la supériorité des méthodes de production des États-Unis ainsi que la solidité relative de leur économie,

3) le contrôle des marchés mondiaux, avec un dollar américain jouant le rôle de monnaie de réserve au niveau planétaire.

 

Le rôle du dollar est sans doute le plus important de ces trois principes, bien que les deux autres soient également essentiels. Le dollar US est la monnaie de réserve universelle, ce qui signifie que les banques centrales du monde entier gardent en réserve d’énormes quantités de dollars ; en conséquence, aujourd’hui l’Amérique emprunte pratiquement au monde entier, sans conserver d’autres devises en réserve.

Section 2 : Les autres devises

Si auparavant plusieurs autres devises ont été utilisées, à la suite de l’adoption de l’Euro, ce dernier trouve sa place d’une façon progressive, et commence à s’imposer face au Dollar. D’ailleurs, dans la Communauté Européenne, son utilisation génère beaucoup d’avantages dont des exonérations fiscales et douanières.

Toutefois, le Dollar inquiète les investisseurs. En effet, si   la tendance actuelle se poursuit, l’énorme augmentation de la dette des USA dans la décennie à venir et au-delà va-t-elle générer l’inflation ou même mettre le pays en cessation de paiement ?

En effet, les premiers signes de faiblesse de ce système apparaissent des 1958   avec pour la première fois une balance de paiements américaine qui est déficitaire.

En 1960 le déficit de cette balance de paiement est de 3 400 millions de dollars. Ce déficit est  encore accru par les dépenses   pour   la guerre du Vietnam.

On parle alors de dévaluation du dollar ce qui entraîne fort logiquement une hausse de l’or (40 dollars l’once).

« Le Dollar est désormais considéré comme une devise à risque » MARTIN FELDSTEIN

 

Les Occidentaux ont-ils eu raison de créer des bourses de change, et de considérer ainsi les monnaies comme des marchandises ordinaires. Je n’en suis pas du tout sûr. Et même, je suis plutôt sûr du contraire, car marchander les monnaies, c’est ipso facto (Par une conséquence obligée.)

 

Le problème du yuan n’est donc pas un problème économique, mais un problème politique. Pour les É-U, en faire un problème est une façon de faire semblant de ne pas entendre que la planète entière veut éliminer le dollar de sa position abusive de monnaie mondiale. Ils ne réussiront certainement pas de cette manière à sauver le statut de leur devise.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Partie II : Les problématiques des échanges internationaux

 

Chapitre 1 : La place des devises dans les échanges internationaux

 

L’utilisation d’une devise est incontournable dans les échanges internationaux. Toutefois, le choix de ce dernier dépend de plusieurs paramètres, et dont seuls, les gouvernants et les opérateurs économiques ont le pouvoir d’en faire le choix.

 

Chapitre II : Les origines de la fluctuation du Dollar

 

Les raisons de la dépréciation du dollar, risque de bulles budgétaires mondiales et impact sur l’économie algérienne
Le dollar a été  coté  le 26 octobre 2009 à 1,5021 un euro, le 27 octobre 2009 1,4850  et le dinar algérien (26/27 octobre 2009) selon la banque d’Algérie  107,5099  dinars un euro et 72,398 dinars un dollar avec l’once d’or dépassant 1040 dollars

Quel impact sur l’économie algérienne qui a un cadre macro- -économique relativement stabilisé, une dette  tant extérieure qu’intérieure relativement faible mais une  sphère informelle dominante ? C’est l’objet de cette contribution certainement  imparfaite et qui devra être enrichie

 

PETROLE : Les prix du pétrole étaient orientés à la hausse mercredi dans les échanges électroniques en Asie, en raison de la faiblesse du dollar dont certains pays voudraient remettre en cause le rôle de référence pour les échanges d’or noir, selon des courtiers.

 

CHANGES : le roi dollar ébranlé. New York- Le dollar a reculé face à l’euro à la suite d’informations indiquant que certains pays voudraient abandonner le dollar comme référence pour les échanges pétroliers, ce qui porterait un coup à son statut de monnaie de réserve mondiale. Mais aussi après la décision de la Banque d’Australie de remonter son taux directeur ; ce qui a conforté le rôle de devise de spéculation pour le dollar australien…

 

Chapitre III : Les différents types de problèmes liés aux échanges internationaux

 

Une bonne compréhension des risques à l’exportation et une solide stratégie de gestion de ces risques seront déterminantes dans la réussite ou l’échec d’une entreprise et définiront en grande partie, de ses options de financement. Une approche bien pesée du financement de l’exportation mise sur l’ensemble des mécanismes disponibles pour faire en sorte que tout risque que pourrait poser la transaction proposée est bien géré.

 

 

 

Section 1: Les problèmes économiques et financiers

 

L’exportation comporte des risques qui peuvent aller bien au delà de ceux liés au commerce intérieur. Le risque est ce qui fait de l’exportation une entreprise lucrative pour ceux qui réussissent. L’un des aspects essentiel de la réussite dans l’exportation consiste à avoir une stratégie qui tient compte des risques importants dans le plan d’exportation. L’information est de loin l’aspect le plus crucial de la stratégie d’optimisation des risques d’exportation. Pour bien comprendre les risques d’exportation que comporte une relation ou une transaction donnée, il faut être bien informé, au moment voulu et de façon concrète. Le risque principal lié au financement de l’exportation est le risque de non-paiement ou de perte financière en raison de la transaction. La gestion des risques ou les stratégies d’optimisation des risques vise surtout à assurer le paiement au moment voulu, et à assurer un flux de trésorerie raisonnable suivant les prévisions pendant toute la durée d’une transaction d’exportation. L’évaluation du risque de financement d’une exportation comporte généralement l’évaluation du risque que pose votre partenaire commercial.

 

Voici les principaux facteurs à considérer : la solvabilité du partenaire et sa réputation commerciale, la solidité financière de l’entreprise, et le climat commercial et politique dans lequel l’acheteur évolue. Si certains de ces risques portent essentiellement sur le commerce international, plutôt que sur le financement des exportations, certaines options de financement et techniques de paiement permettent l’atténuation ou l’optimisation de tels risques. Ces risques peuvent être répartis en quatre catégories : les risques commerciaux (ou risque-acheteur), les risques politiques (ou risques-pays qu’on va traiter dans la section 2), les risques de change et les autres risques.

Il apparaît donc que les épisodes de faiblesse du dollar se produisent lorsque l’économie américaine n’est pas au mieux de sa forme. Les mouvements du taux de change agissent en fait comme un amortisseur. Lorsque la croissance aux Etats-Unis faiblit le dollar se déprécie. Cela rend les produits américains plus compétitifs et amortit dès lors la faiblesse de la croissance. Certes, cela se fait aux dépends de l’Europe.

– Risques commerciaux (ou risque-acheteur)

 

Il s’agit des risques liés à l’exécution d’un contrat commercial par un acheteur ou un fournisseur étranger. Il y a les risques associés au paiement ou à la bonne exécution du contrat commercial. Le risque-acheteur comprend donc la dévaluation possible de la devise de l’importateur. Après avoir évalué les risques liés à un acheteur étranger, on peut adopter toute une gamme de stratégies de gestion des risques. Au pire, on peut choisir de ne pas poursuivre l’affaire avec un partenaire donné.

 

Les Chinois (ou les Saoudiens ou les Indiens ou qui que ce soit d’autre en dehors de la zone euro) ont de bonnes raisons de s’inquiéter de la baisse du dollar par rapport à l’euro. Quand la baisse du dollar reprendra, le pouvoir d’achat de leur avoir en dollars sur les marchés européens baissera dans les mêmes proportions. Si l’on ne peut prédire de combien le dollar va chuter, il ne serait pas surprenant qu’il baisse de 20% au cours des prochaines années par rapport à sa valeur actuelle de 0,7 euro.

 

 Les options relatives au risque-pays vont de la décision de ne pas exporter dans une région particulière, à l’obtention d’une assurance appropriée et d’aide en vue d’atténuer le risque auprès de vos fournisseurs de services de financement à l’exportation. Les exportateurs qui concentrent leurs activités liées au commerce aux États-Unis ou en Europe de l’Est sont plus susceptibles d’être préoccupés par le risque commercial, alors que le risque-pays et politique aura tendance à être en tête des priorités des sociétés qui font du commerce dans des parties du monde qu’elles connaissent moins bien ou qui sont moins stables.

 

–         Risque de change

 

Le taux de change influence les mouvements de biens et de services, d’investissements et financiers, car il influe sur la valeur nominale de la monnaie ce qui renchérit ou baisse les prix de biens étrangers et domestiques. L’analyse économique distingue principalement deux sortes de systèmes de change : les systèmes de changes fixes (déterminés par rapport à une monnaie de référence) et les systèmes de changes flexibles (déterminés à chaque transaction par le marché des changes).

 

Ce type de risque découle de la fluctuation (parfois instable) du change dans le cours des transactions. Lorsqu’il y a fluctuation des taux de change, l’effet peut être néfaste sur les créances étrangères et peut avoir un effet sur la marge et les profits. Le risque de change a trait à la fluctuation de la valeur d’une devise par rapport à une autre. Il peut se produire en raison de divers facteurs et sur de brèves périodes. Lorsqu’une transaction est fondée sur une devise étrangère, une telle fluctuation peut représenter un risque important (ou une chance).

Trois types de risques liés au taux de change peuvent être identifiés : le risque de transaction, le risque de conversion et le risque économique.

 

Le risque de transaction a trait à l’effet de la fluctuation du taux de change sur les transactions qui ont été entamées mais qui n’ont pas encore été exécutées totalement. Ce type de risque a un effet sur le flux de trésorerie et se produit lorsque l’exportateur détient une créance en devise étrangère et constate que la devise de la créance s’est dévaluée par rapport à une autre devise.

 

Le risque de conversion : c’est l’effet de la fluctuation du taux de change sur la présentation des documents financiers en vue de la déclaration de revenus et des états financiers. Les comptes en devise étrangère peuvent être « convertis » selon un taux de change historique ou selon le taux actuel, de sorte que l’exportateur peut avoir des gains ou des pertes sur le papier.

 

Le risque économique porte sur l’effet de la conjoncture économique et le flux de trésorerie futur. L’exportateur peut être sérieusement touché par une forte appréciation de la devise par rapport aux autres devises étrangères, étant donné que le coût relatif des biens augmente sur le marché étranger. Il existe d’outils pour gérer et optimiser le risque de change dont le contrat à terme qui est un contrat conclu avec une banque commerciale par lequel l’exportateur consent à vendre un montant fixe de devises à un prix fixe, à une date future convenue.

 

– Les autres risques

 

Parmi les autres risques que peut courir l’exportateur, il faut noter celui d’être victime d’une fraude, de même que la possibilité de perte ou d’endommagement des biens exportés en transit à l’étranger. Les risques liés à la compétence juridique régissant les conditions d’un contrat d’exportation jouent un rôle très important en cas de différend ou de désaccord.

 

Mais ceux qui s’inquiètent ouvertement aux Etats-Unis de la faiblesse du dollar en font une interprétation politique : l’affaiblissement du dollar comme miroir de l’affaiblissement de l’économie américaine.

Section 2 : Les problèmes politiques (risque-pays)

La faiblesse du dollar s’inscrit en outre dans un contexte géopolitique où la Chine a décidé de s’attaquer à la suprématie du dollar comme monnaie de réserve. Concernant les bons de trésor représentant environ 45 % de la dette totale externe des Etats-Unis, ils sont concentrés surtout au niveau de la banque centrale de Chine et Japonaise.
Les pays comme la Chine et le Japon ont augmenté leur réserve de dollar pour protégé la devise (pour protéger la valeur de ses gigantesques avoirs en dollars)

 

Il s’agit des risques liés au commerce dans une région ou un pays particulier comme La Chine ou aussi Le Japon. Ceux-ci comprennent la possibilité que les permis d’importation ou d’exportation soient révoqués, qu’une guerre ou des troubles civils éclatent, ou que la libre circulation des fonds puisse être interrompue en raison de contrôles des changes, de boycotts, de moratoires de paiements internationaux.

Pour les exportateurs qui font du commerce avec l’étranger, cette catégorie inclut le risque de l’expropriation par le gouvernement. L’évaluation des risques-pays est de la plus grande importance pour les exportateurs qui font du commerce dans les pays à risques élevés. En plus de l’évaluation des risques-pays, il faudrait également considérer dans leur ensemble la stabilité politique et économique, la solidité des institutions démocratiques, les tendances protectionnistes ainsi que les facteurs économiques fondamentaux comme la croissance du PIB, l’inflation et le chômage.

Section 3 : Les conséquences de la chute du Dollar

–         Sept pays envisagent d’abandonner le dollar : conséquences

 

Il n’est pas secret que le dollar descend en vrille. Sa valeur baisse et la Réserve Fédérale ne fait pas grande chose pour l’éviter. En conséquence, un certain nombre de pays envisagent d’abandonner le dollar pour préserver leurs biens. Actuellement, sept pays étudient l’abandon du dollar, et les effets que cela aura sur sa valeur et sur l’économie US.

  1. Arabie saoudite

Le royaume est en train de prendre « des mesures appropriées » pour se protéger des problèmes entraînés par le dollar dans sa propre économie..

  1. Corée du Sud

En 2005, la Corée annonçait son intention de passer ses investissements dans des devises de pays autres que celle des USA.

  1. Chine

Présentement, la Chine brandit l’« option nucléaire » d’une énorme liquidation de dollars en réaction à d’éventuelles sanctions commerciales destinées à forcer la réévaluation du yuan.

  1. Venezuela

​​​​Le Venezuela est très volage envers le dollar. En fait, ce pays a manifesté ouvertement sa désapprobation, en choisissant de mettre sur pied des affaires de troc contre du pétrole.

  1. Soudan

Une fois de plus, le Soudan est en train de planifier la conversion de ses avoirs en dollars vers l’euro et d’autres monnaies. En outre, ce pays a recommandé aux banques commerciales, aux services gouvernementaux, et aux entreprises privées à faire de même.

  1. Iran

​​​​L’Iran est peut-être le plus probable candidat à l’abandon imminent du dollar. Récemment, l’Iran a demandé que ses expéditions vers le Japon soient échangées en yens au lieu de dollars.

  1. Russie

Les intentions russes ne sont pas un secret. Dans le passé, ils ont fait comprendre qu’ils se méfiaient de la détention de trop de réserves en dollars.

Que signifie tout ça ?

​​​​Les pays sont de plus en plus fatigués de perdre de l’argent à cause de la chute du dollar. Beaucoup d’entre eux veulent protéger leurs intérêts financiers, et un certain nombre veulent mettre fin à la surveillance US, qui accompagne l’utilisation du dollar. Bien que le nombre de ces pays voulant réellement persévérer dans l’abandon du dollar ne soit pas clair, il est évident que son statut de monnaie mondiale est en difficulté.

​​​​Manifestement, l’abandon du dollar est une mauvaise nouvelle pour la monnaie. Exposé simplement, quand la demande diminue, sa valeur chute. En outre, les revenus générés par l’utilisation du dollar vont cruellement manquer [aux USA] s’ils sont perdus. Le statut du dollar comme produit d’exportation à bas prix des USA est un élément vital de leur économie. Perdre ce statut pourrait ébranler financièrement la vie des Étasuniens et l’économie mondiale.

 

–  Flambée du pétrole, chute du dollar et baisse des stocks céréaliers mondiaux : les implications multiformes sur la situation alimentaire dans les pays pauvres

 

« Les prix élevés des denrées alimentaires et les incertitudes du marché sont devenus des préoccupations mondiales majeures et le large accès à une information mise à jour et à l’analyse devient essentiel », a précisé Henri Josserand, chef du Système mondial d’information et d’alerte rapide de la FAO (SMIAR).

 

Dans un climat alourdi par la baisse inexorable du dollar et le pétrole qui ne cesse de battre des records, des incertitudes surgissent quant à la capacité des pays pauvres à faire face à la demande de consommation de leurs populations. Le baril a atteint pour la première fois le seuil de 111 dollars en fin de séance en Europe. Autre record: l’euro est monté jusqu’à 1,5625 dollar pour la première fois depuis sa création en 1999. Pour la première fois depuis octobre 1995, le dollar est tombé sous la barre des 100 yens, victime des craintes de récession et des perspectives de baisses des taux d’intérêt aux Etats-Unis. A Londres, l’or a atteint pour la première fois le seuil psychologique de 1.000 dollars l’once.

 

– L’Europe victime du dollar faible ?

Le dollar a bien perdu de sa superbe lors de la décennie écoulée : s’il fallait 1,07 euros environ pour acheter un dollar en 2001, le billet vert est aujourd’hui accessible pour seulement 70 centimes.

Avant qu’elle n’éclate en août 2007, le dollar valait environ 73 centimes. Le billet vert n’a donc perdu que 5 pourcent de sa valeur au cours de la crise, ce qui ne représente pas vraiment un effondrement. En fait, le dollar s’est d’abord renforcé jusqu’au début 2009.

Cet engouement paradoxal des marchés pour la monnaie du pays à l’origine de la crise s’explique par le fait que les investisseurs paniqués ont cherché avant tout des placements liquides et sûrs. Les titres du gouvernement américains représentant le seul marché massif de tels titres, les investisseurs se sont rués sur ces produits, soutenant du coup la devise américaine. L’accalmie partielle des marchés, qui a depuis réduit cet engouement, explique la faiblesse du billet vert.

–        es pays en voie développement sont victimes de la crise financiere?

 

Si la crise financière frappe de plein fouet les pays industrialisés, tous plongés dans une grave récession, elle n’épargne pas les pays en développement.

 

– Le terreau des crises alimentaire et climatique

– La chute des revenus d’exportation

– La diminution des investissements Nord-Sud

– La chute des transferts des migrants

– Crise et pauvreté

Section 4 : Le Dollar/L’Euro

On estime que le dollar est utilisé dans près de la moitié des exportations mondiales, soit plus du double de la part des Etats-Unis dans le commerce international

 

Même après que l’économie américaine est devenue la plus riche du monde, il a fallu plusieurs décennies pour que le billet vert accède  au premier rang des monnaies

 

Tout compte fait, il semble donc improbable que les gains d’efficacité escomptés, même s’ils sont substantiels, suffiront pour déloger prochainement le billet vert du premier rang. Des études antérieures n’ont pas trouvé trace d’une réduction des coûts de transaction immédiatement après l’introduction de la monnaie.

 

– Pourquoi l’euro n’est pas prè de remplacer le dollar

(Alternatives économiques | L’Économie Politique)

 

Il y a quatre raisons, liées entre elles, aux médiocres perspectives de l’euro.

–  La première est l’inertie persistante qui caractérise tout comportement monétaire, et qui empêchera un basculement rapide du dollar vers l’euro.

– La deuxième est le coût des opérations en euros, qui n’a guère de chances de descendre jusqu’à un niveau significativement inférieur à celui des actuelles transactions en dollars.

– La troisième est une évidente tendance anti croissance, inhérente à l’UEM, qui aura des conséquences négatives sur les taux de rendement des capitaux en euros.

– Et la quatrième est la structure de gouvernance de l’UEM, dont le manque de clarté sème le doute et la confusion parmi les utilisateurs potentiels de la nouvelle monnaie européenne.

Même si aucun de ces obstacles n’est insurmontable, on ne voit pas de signe montrant qu’ils seront bientôt surmontés. S’il devait y avoir une menace pour le dollar, elle serait donc faible.

 

En termes politiques, l’un des avantages d’une monnaie internationale est le statut et le prestige qui vont avec la domination du marché.

« Les grandes puissances ont des monnaies fortes », a pu écrire Robert Mundell. En effet, une monnaie internationale devient un puissant symbole de primauté, sinon d’hégémonie.

 

L’indicateur le plus évident du statut international d’une monnaie est l’ampleur de son utilisation comme moyen d’échange sur le marché des devises, où, d’après les dernières données de la Banque des règlements internationaux (BRI), les mouvements journaliers moyens ont été d’environ 1 200 milliards de dollars en 2001.

 

Les monnaies les mieux classées ne sont pas achetées et vendues seulement pour une utilisation directe dans le négoce et l’investissement, mais aussi comme un intermédiaire peu coûteux – un « véhicule » – pour le commerce d’autres monnaies.

Le rôle de véhicule découle directement du volume élevé d’échanges sur le marché, qui procure des économies d’échelle substantielles.

 

En règle générale, il sera moins coûteux pour un agent sur le marché de vendre une monnaie locale et d’acheter une monnaie véhicule, puis d’utiliser cette dernière pour obtenir la devise voulue, que d’échanger directement une monnaie peu négociée contre une autre.

Et aucune monnaie n’est autant échangée sur le marché que le dollar, ce qui reflète la taille considérable de l’économie américaine et son rôle dominant dans les exportations mondiales.

Les coûts de transaction peu élevés résultant des volumes importants échangés sur le marché expliquent que le billet vert soit depuis longtemps le véhicule favori pour les transactions monétaires mondiales.

 

Le billet vert reste également le véhicule préféré pour le commerce mondial, ce qui ajoute le rôle d’unité de compte (monnaie de facturation) à celui de moyen d’échange (monnaie de règlement) pour les contrats internationaux. Globalement, on estime que le dollar est utilisé dans près de la moitié des exportations mondiales (Hartmann, 1998) – soit plus du double de la part des Etats-Unis dans le commerce international. Le DM, avant son remplacement par l’euro, était la monnaie de facturation pour 15 % des échanges, ce qui correspondait à la part de l’Allemagne dans les exportations mondiales. Cette part a été conservée par l’euro après son introduction en 1999, mais qu’elle n’a pas augmenté jusqu’ici

Section 5 : Le Dollar/Le Yuen

Peu importe où vous vous trouvez dans le monde, vous pouvez échanger facilement des dollars américains contre une autre devise, car il est convertible, comme, du reste, le huard, le yen ou la livre sterling.

 

Cependant, pour des raisons politiques, le yuan chinois, lui, ne l’est pas. Cela oblige entre autres les entreprises étrangères à réinvestir leurs profits en Chine.

De plus, aussi dynamiques soient-ils, les marchés financiers chinois ont peu d’envergure, ce qui constitue un autre frein aux ambitions de la Chine , explique Robert C. Fauver, ancien sous-secrétaire d’État américain aux affaires économiques.

 » La clé, pour être une devise de réserve, c’est le marché local, dit-il. Les acteurs financiers, y compris les banques centrales, doivent pouvoir sortir leurs actifs d’un pays rapidement sans que cela se sache, pour ne pas éventer leurs stratégies. Pour cela, il faut un marché large et liquide.  »

 

 

 

Partie III : L’avantage de la dépreciation du billet vert

L’avantage de choisir une devise de référence gérée par une organisation supranationale, c’est de limiter le risque de voir un pays accumuler une dette trop lourde envers un autre.

 

Même si des accès occasionnels de nervosité des marchés financiers mondiaux poussent le dollar à la hausse, je m’attends à ce qu’il poursuive sa baisse par rapport à l’euro, au yen japonais et même au yuan chinois. Cette baisse est nécessaire pour réduire l’énorme déficit commercial que les USA entretiennent avec le reste du monde.

 

Le président de la Réserve fédérale, Ben Bernanke, et ses collègues sont déterminés à contenir l’inflation à un niveau faible alors que l’économie redémarre. La   Fed a expliqué qu’elle vendra la grande quantité de titres hypothécaires qu’elle possède, ce qui permettra d’absorber des liquidités. Elle utilisera aussi son autorité nouvellement acquise pour verser les intérêts sur les réserves que les banques commerciales détiennent chez elle pour empêcher un excès de crédit. C’est évidemment une tâche formidable qui est sans doute à entreprendre à un moment où le Congrès s’oppose à un resserrement de la politique monétaire.

 

 

SYNTHESE

Ce recul du billet vert semble pourtant en contradiction avec les déclarations du secrétaire d’État au Trésor états-unien, Timothy Geithner, qui, hier encore, s’est prononcé « en faveur d’un dollar fort ».

 

À vrai dire, avec ces tribulations monétaires les puissants de ce monde ne font pas que jouer au poker menteur. Côté dollar d’abord, il est objectivement tiré vers le bas par l’énorme dette extérieure des États-Unis. Ces derniers sont en effet les seuls au monde à posséder une monnaie nationale qui est en même temps universelle. Ils peuvent ainsi s’endetter continuellement auprès des autres et les rembourser en… dollars. Ils font marcher la planche à billets et c’est pourquoi leur fille est muette, leur secrétaire d’État au Trésor bavard et le dollar faible.

Depuis la crise financière, plusieurs observateurs ont remis en cause la suprématie du dollar, en premier lieu les dirigeants chinois, qui réclament une nouvelle devise de réserve. Voici pourquoi cela n’arrivera pas à court terme.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

CONCLUSION

 

En bref, les prédictions d’un avenir prometteur pour l’euro commencent à sembler de plus en plus illusoires. Même dans les circonstances les plus favorables, il faudra des années, si ce n’est des décennies, pour que la nouvelle monnaie surmonte les avantages naturels de la monnaie solidement en place. Et les conditions de l’UEM sont loin d’être les meilleures. Les marchés européens pour la dette publique demeurent morcelés, ce qui empêche une réduction substantielle des coûts de transaction.

 

De même, une tendance anti croissance apparaît comme inhérente à la structure institutionnelle de l’UEM, réduisant les taux de rendement des actifs libellés en euros. Et le pire, c’est qu’ambiguïtés et faux-fuyants règnent dans la structure de gouvernance de la zone euro, entretenant le doute sur la crédibilité de l’ensemble de la construction.

La question est bien celle de la trajectoire, et non celle de la vitesse. Une deuxième monnaie mondiale n’est pas près d’apparaître.

En raison de l’importance de la monnaie, les États ont très tôt cherché à s’assurer le maximum de pouvoir monétaire, en définissant une devise officielle et en faisant de cette devise l’un de leurs symboles et une marque de leur puissance.

L’utilisation ou non du Dollar dans les échanges internationaux s’avère donc un sujet très compliqué et reste d’actualité. Les raisons en sont diverses. Mais, avec la mondialisation et la globalisation conjuguée avec l’évolution technologique et l’émergence des pays du sud-est asiatique, le débat est ouvert.

Mais toujours est-il que l’ordre économique mondial qui s’est tissé depuis des décennies et qui ont une certaine assise dans toutes les transactions internationales ne sera pas défait du jour au lendemain. Parallèlement, l’organisation des pays membres de la Communauté Européenne ne fait que durcir cette position.

D’ailleurs, il faut tenir compte que cette organisation a une certaine force en ce sens qu’elle regroupe des pays ayant une certaine stabilité économique, et donc financière par rapport au Dollar. Le taux de l’Euro dépend donc de plusieurs paramètres dont la situation économique de chaque pays membre. Ce qui retarde l’impact de la dégringolade de la situation économique et/ou financière d’un seul pays membre.

D’un autre côté, on peut conclure que les investissements en dollars ne sont pas risqués. Mais cela ne veut pas dire pas que ce sont ceux qui garantissent le meilleur rendement. Si comme c’est probable le dollar baisse encore par rapport à l’euro au cours des prochaines années, les investissements en obligations libellées en euros émises par l’Allemagne ou la France garantiront sans doute un meilleur rendement. Même si le dollar est parfaitement sûr, les investisseurs seraient bien inspirés de diversifier leur portefeuille.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

BIBLIOGRAPHIE

 

1 – LE MONDE (parution du 17/04)

2 – LES DERNIERES ACTUALITES D’ECONOMIE de Timothy Geithner

3 – ARTICLE-LE-DOLLAR–HISTOIRE-D-UNE-MONNAIE-MYTHIQUE

4 – ANALYSE-ECONOMIE-CHUTE-DOLLAR-EURO.

5 – www.lesaffaires.com › BourseNouvelles économiques

6 – www.currencytrading.net/

7 – www.diplomatie.gouv.fr

8 – www.latribune.fr/…/timgeithner-en-chine-espoir-de-reevaluation-du-yuan

9 – L’AVIS DES INTERNAUTES

 

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