La Crise des Subprimes et ses Conséquences : Politique Monétaire, Paradoxes et Leçons
INTRODUCTION
La crise financière des subprimes, qui a éclaté en août 2007, est loin d’être achevée un an après. Elle soulève des interrogations sur les avantages et les inconvénients de la « titrisation », sur le rôle des innovations financières dans le transfert des risques et donc leur traçabilité, sur le contrôle interne des risques et l’organisation même des systèmes de contrôle prudentiel et de supervision bancaire. Quelle est, donc, la relation entre la politique et la stabilité financière ? pour y répondre, on analysera le Paradoxe de la crédibilité et le Paradoxe de la tranquillité (II) après avoir vu la politique monétaire en théorie et les évolutions (I). Enfin, la politique monétaire face à la crise 2008 sera étudiée (III).
- La politique monétaire en théorie et les évolutions
Tout d’abord, on parlera de la notion de cindyniques et ensuite des grands principes.
- Les Grands Principes
La norme qui a déchaîné le plus les passions est l’IAS 39[1] intitulé « Instruments financiers: comptabilisation et évaluation », avec l’IAS 32, intitulé « Instruments financiers : présentation ».
Dès le début, ces deux normes ont connu des difficultés de mise en application et ont été retardées dans leur application et leur lecture par rapport au bloc constitué par les autres normes. L’IAS 39 a été modifiée en dernier lieu en octobre 2008, pour répondre à la crise financière et permettre à de nombreuses banques d’atténuer les pertes. Ce sont aussi ces deux normes qui traitent des instruments financiers. Enfin, c’est aussi par rapport à ces deux normes que les banques, banques centrales en tête, ont le plus réagi. Dans ces normes il est important d’harmoniser, d’avoir une transparence et de renforcer le contrôle des les banques.
Le premier des quatre principes fondamentaux est celui de la juste valeur. Même si l’usage du coût historique persiste dans certains cas, la notion de valeur marchande devient le mode d’évaluation de référence pour les instruments financiers. La norme impose l’adoption de la juste valeur pour certains instruments, elle l’autorise pour la plupart des autres. La juste valeur doit être considérée comme fiable. Si la banque décide de pratiquer la juste valeur, elle doit le faire dès l’enregistrement initial de l’instrument, et, dernier point, ce choix est irrévocable.
Le deuxième principe est celui de l’abandon du principe de prudence, qui est une règle traditionnelle en comptabilité. Avant les normes, le principe de prudence imposait le traitement uniquement des moins-values latentes, les plus-values latentes étant ignorées. Au contraire, aujourd’hui, plus et moins-values sont traitées de la même manière.
Le troisième point à souligner est que les normes inventent la comptabilité d’intention. Ce n’est pas tant la nature de l’instrument financier qui est pris en compte mais ce sont les objectifs de sa détention ou encore de son émission qui va déterminer le traitement comptable.
Enfin, les normes imposent la comptabilité de tous les dérivés, quelle que soit leur nature ou l’objectif d’intention. Cela dit, on distinguera les dérivés de transaction qui font ressortir un risque de marché, comme n’importe quelle position de marché, et les opérations de couverture dans lesquels on prend en compte les variations de la position couverte et de l’instrument de couverture. Cela suppose une identification du cash et du dérivé correspondant, pour former une sorte d’entité économique. Si la couverture est efficace, le résultat global de l’unité ainsi créée doit être nul, les pertes compensant les gains et vice versa. La couverture se justifie par un haut degré de probabilité. Enfin, l’efficacité de la couverture doit présenter un caractère fiable et non aléatoire.
- LA NOTION DE CINDYNIQUES
Les cindyniques, du grec kindunos, danger, sont les sciences qui étudient les risques, on les appelle aussi les sciences du danger[2]. Elles s’intéressent aux risques majeurs, au départ dans le monde industriel avec souvent des applications informatiques. La notion de cindyniques, au pluriel, lancée en 1987 lors d’un colloque inter-industries se revendique de la transversalité, du fait de la complexité des situations périlleuses. En 1991, après divers évènements, l’Institut Européen des cindyniques fut créé. Bien sur, les auteurs n’on cesser d’étayer cette science. Le regard sur le danger fait appel à cinq dimensions, que l’on retrouve dans les éléments fondamentaux des cindyniques et tout au long des écrits en la matière.
- La phénoménologie et la cindynique
La première dimension est celle de la phénoménologie. Penser le danger comme un phénomène suppose qu’une partie de la réalité qui est complexe nous échappe.
Ce danger et les risques qui l’accompagnent sont abordés de manière différente selon l’angle où l’on se place au moment de la crise. C’est la relation extérieur/intérieur. Les financiers, les banques et leurs représentants vont essayer de nous faire croire que le danger une fois qu’il est verbalisé, est en partie résolu. Une autre dimension abordée par G-Y. Kervern concerne la relation de la nature à la culture. Est-ce que tout danger est naturel, puisque nous parlons de catastrophes naturelles. Ou encore s’il y a des catastrophes naturelles, d’autres ne seraient pas naturelles ? La qualification du danger et du risque est importante. La finance, la titrisation sont-elles naturellement risquées ? A contrario, ce ne sont peut-être que des dérives de notre culture. Pire, la nature se vengerait de nous, parce que nous avons dévié le système.
- L’ontologie cindynique
L’ontologie permet de savoir d’où vient le danger, qu’elle en est la cible et quelle en est la nature. Une des premières questions qui s’est posée par rapport à la crise financière était : d’où est venu le danger ? Les réponses ont fusé avec par ordre : la juste valeur, les règles prudentielles, la titrisation… « La propension du danger à se matérialiser est une fonction de la situation cindynique ». Et comme le souligne Kervern, face au danger, les processus d’accusation, de disculpation se mettent en place rapidement.
La cible doit se présenter sous une forme collective avec trois aspects : valeurs, normes et finalités. La cible en l’occurrence est le système financier mondial, les banques qui se trouvent dans l’espace du capitalisme.
Concernant le danger vécu, elle est d’ordre systémique. Par exemple, le système financier a été menacé, dans sa cohérence absolue, de disparaître pour en plus faire place, non pas au vide, mais à l’inconnu, ce qui est encore pire en matière de danger.
- L’épistémologie cindynique[3]
L’auteur Kervern évoque l’ambiguïté, les déficits et les dissonances. La notion d’ambiguïté est le point où la science n’arrive pas à entrer dans le domaine de la certitude. Et cette incapacité ouvre la porte au principe de précaution. C’est la quête du risque zéro.
Le déficit s’entend comme une lacune par rapport à un benchmark qui serait un idéal. Quant aux dissonances, ce sont les divergences qui vont apparaître entre les différents réseaux d’acteurs, voire à l’intérieur des réseaux. La juste valeur et son amendement vont être source de dissonances non seulement au sein de la communauté comptable et financière, mais aussi au sein des chercheurs. Dans le cas où l’on se trompe sur le rôle de la comptabilité, on va forcément courir un danger, dû à une mauvaise information et à des risques mal maîtrisés.
Le regard sur le danger pour kervern (1995) présente cinq dimensions. La première dimension est celle des faits de mémoire ou mnésique, de l’histoire et des statistiques : ce sont en fait les banques de données et en matière financière, on ne manque pas de statistiques. La deuxième dimension est celle des représentations et des modèles élaborés à partir des faits : la connaissance que nous avons, nous permet d’analyser, comprendre, expliquer. Cela vaut pour toutes les disciplines. Cette dimension est qualifiée d’espace épistémique. La troisième dimension est la dimension des objectifs. Au titre du pilier 2 des accords de Bâle, par exemple, les banques doivent avoir une stratégie. On parle ici d’espace téléologique. La quatrième dimension est la dimension des normes, lois règles, obligatoires ou libres. C’est aussi le respect des règles pour créer un espace déontologique. Enfin, la dernière dimension est celle des systèmes de valeur. Le système bancaire mondial a été, et est peut-être encore en danger, la volatilité accrue augmente les risques et les faillites bancaires peuvent mettre en péril une économie par exemple avec des conséquences financières certes, mais aussi sociales et humaines. Cette dimension prend le nom d’espace axiologique.
- Le Paradoxe de la crédibilité et le Paradoxe de la tranquillité
Un paradoxe contient une contradiction en lui. Afin de bien cerner cette notion, on parlera tout d’abord du paradoxe de la tranquillité. Ensuite, l’analyse se portera sur le paradoxe de la crédibilité et sécurité.
- Le paradoxe de la tranquillité
Le « paradoxe de la tranquillité » (Minsky 1975) porte bien en lui une contradiction qui va impliquer la réaction d’un esprit critique qui entraîne, à son tour, une réflexion sur le sujet.
Minsky impose une réflexion sur ce qu’on appelle en anglais The Minsky Moment. Quand l’économie est en période de croissance, les agents économiques sont confiants et font des anticipations positives quant à l’avenir. Ils vont donc s’endetter et l’investissement va connaître un phénomène d’accélération qui sera forcément porteur de conséquences à la hausse sur la croissance. C’est là qu’intervient le paradoxe, car on pourrait croire que la croissance ne va jamais s’arrêter et on va alors oublier le danger qui menace: ne pas pouvoir rembourser les dettes, si la conjoncture économique vient à changer. Un endettement trop élevé allié à une insouciance financière va provoquer une tension qui va obliger les agents économiques à vendre des actifs pour pouvoir honorer leurs engagements. Si les ventes arrivent de manière simultanée et se superposent à la très keynésienne expression des « esprits animaux », le prix des actifs peut s’effondrer de manière spectaculaire.
- Le paradoxe de la crédibilité
Lorsque la notion de paradoxe est porteuse de contradictions, cela aboutira, selon Minsky, au « paradoxe de la crédibilité » (Borio et Lowe 2002), crédibilité des banques centrales. La crédibilité est une arme à double tranchant (Mésonier 2004). L’antagonisme réside dans le fait que le sérieux de la politique monétaire peut avoir pour conséquence une fragilisation de la structure financière de l’économie.
La crédibilité des banques centrales trouve son origine même dans la capacité de ces institutions à résister aux poussées inflationnistes (Goodfriend 1993). La lutte contre l’inflation entre dans le cadre global pour améliorer la performance macroéconomique. Comme l’a démontré Goodfriend grâce à une étude historico-empirique la lutte contre la hausse des prix est rude et difficile. Le problème des banques centrales, que ce soit celle américaine ou encore plus la Banque Centrale Européenne, c’est d’arriver à atteindre et à maintenir la crédibilité en tant que véritable allégeance anti-inflationniste.
Dans un article, Borio et alii en 2003 essayent de comprendre les défis auxquels sont confrontées les autorités monétaires et en premier lieu les banques centrales cibles du paradoxe. L’environnement général des sociétés et des banques a profondément changé avec la globalisation, la dérégulation des marchés et les progrès technologiques désormais de plus en plus rapides. Il y a alors deux façons de voir l’action réglementaire : soit on considère que la lutte contre l’inflation est la priorité encore et toujours, et les chocs rencontrés ne sont que des secousses, qui finalement ne seront pas destinées à se reproduire ; ou les autorités intègrent complètement cette nouvelle donne et vont au-delà de la simple lutte anti-inflation. Comme il n’y a pas de politique préventive, si on continue le raisonnement, le fait que les pressions soient moins visibles qu’une simple donnée statistique de l’inflation, les banques centrales seront d’autant plus longues à prendre les bonnes mesures pour enrayer les déraillements. Un environnement mouvant ne facilite pas la tâche des autorités, mais demande un ajustement et non une révolution dans les objectifs.
- La politique monétaire face à la crise 2008
En premier lieu, les causes seront étudiées. En second lieu, les conséquences seront analysées.
- Les causes
La crise des subprimes[4] s’explique par la conjonction de trois phénomènes : des déséquilibres macroéconomiques, des dysfonctionnements microéconomiques et des pratiques financières à haut risque.
En premier lieu, on parlera des déséquilibres macroéconomiques. La crise financière[5] est à due proportion de la situation de fragilité qu’avait développée l’économie mondiale. Une fragilité masquée par ses succès. C’est le « paradoxe de la tranquillité ». Les crises de surendettement[6] se préparent lorsque tout va bien et que les agents profitent de la croissance et des taux d’intérêt bas pour emprunter parfois au-delà du raisonnable. Mais lorsque les taux d’intérêt se retournent à la hausse, en particulier du fait du resserrement monétaire, l’endettement qui paraissait soutenable devient insupportable et vire au surendettement. Pour la crise financière qui débute en 2007, le « paradoxe de la tranquillité » se double d’un « paradoxe de la crédibilité » dans lequel la lutte contre l’inflation ayant donné des résultats très favorables, la crédibilité des banques centrales et des autorités monétaires s’est trouvée renforcée.
En second lieu, les dysfonctionnements microéconomiques seront analysés. Après la chute des valeurs boursières à partir de 2000, les intermédiaires financiers ont dû, pour satisfaire leurs clients, trouver d’autres placements offrant une rentabilité élevée. Lorsque les marchés d’actions sont en berne, les investisseurs se tournent traditionnellement vers les marchés obligataires (flight to quality). Toutefois, les taux actuariels étaient très bas. Pour faire face à cette exigence de rentabilité les banques ont adoptés deux types de stratégie : elles ont à la fois augmenté leur volume d’activité en relâchant les conditions d’attribution des prêts et innové. Le comportement des banques en matière d’attribution des prêts est traditionnellement procyclique : souplesse lorsque la conjoncture est favorable et durcissement en cas de retournement. Dans le cas de la crise des crédits subprimes, cet effet a joué pleinement. Normalement, l’augmentation du volume de crédits aurait dû s’accompagner d’une augmentation des besoins en fonds propres des banques. Mais ces dernières années ce mécanisme stabilisateur n’a pas pleinement joué. Les institutions financières se sont très bien adaptées à cette contrainte en innovant, en particulier en élaborant de nouveaux véhicules de titrisation.
La troisième cause de la crise des subprimes réside dans les pratiques financières à risque. Il existe un large consensus parmi les économistes pour reconnaître les bienfaits de l’innovation financière. Ces dernières permettent, en effet, une baisse des coûts de transaction et une plus grande souplesse dans les opérations financières. Elles sont censées également améliorer le processus de découverte des prix, et permettre une meilleure allocation des risques. D’ailleurs, même aujourd’hui, si tout le monde reconnaît que la titrisation a joué un rôle essentiel de la crise des subprimes, cette pratique n’est pas remise en cause. La titrisation est une opération financière qui consiste à transformer des prêts bancaires illiquides en titres aisément négociables sur des marchés, par l’intermédiaire d’une entité juridique ad hoc. Les investisseurs qui achètent ces titres perçoivent en contrepartie les revenus (intérêts et remboursement du principal) issus des prêts. La titrisation permet aux banques de transférer le risque de crédit. En pratique, l’originateur ne gardant plus ses risques devient moins strict dans l’analyse des risques (screening) et dans leur suivi (monitoring). En conséquence, la quantité de crédits dans le système monte, leur qualité moyenne se dégrade, les fonds propres bancaires qui les garantissent sont de plus en plus faibles, et le risque pris par l’acheteur du papier augmente. Pour limiter les risques de comportement opportuniste du cédant, la solution consiste, en théorie, à scinder le portefeuille de prêts en plusieurs tranches plus ou moins risquées, le cédant conservant la plus risquée, i.e. la tranche equity (ou First Loss Position).
Lorsque le système financier fonctionne correctement, les risques sont certes alloués de manière optimale vers ceux qui acceptent d’en supporter les conséquences. Mais ceci ne préjuge pas de leur capacité à supporter effectivement les risques. La traçabilité des flux financiers est enfin impossible et la concentration des risques est susceptible d’alimenter le risque de système.
- Les conséquences
Les effets à cour terme sont nombreux. Cela a été une conséquence assez inattendue, au départ, de la crise financière : la liquidité a disparu du marché interbancaire, alors que la liquidité macroéconomique globale continuait à croître. La hausse des défauts des emprunteurs immobiliers (surtout aux États-Unis), combinée à la crise de liquidité a fortement affecté les résultats des banques. La crise provoque également une réduction massive du levier d’endettement. De manière générale, les hedge funds souffrent, comme les autres, d’un tarissement des sources de financement et de la situation dégradée des marchés financiers.La crise a aussi, évidemment, des conséquences négatives sur la consommation et l’emploi. Pour le FMI, en avril 2008, la France (comme pour l’Allemagne) en 2008, aura un croissance attendue de 1,4 %.
Les effets à long terme de la crise sur la politique monétaire fut totale. En effet, les autorités publiques ont dû intervenir pour endiguer la crise. Ces actions peuvent être classées en trois catégories : venir en aide aux ménages pour limiter l’augmentation des défauts de paiement, assouplir la politique monétaire en injectant des liquidités et, éventuellement, en jouant sur les taux d’intérêt, intervenir en tant que prêteur en dernier ressort, voire en tant qu’acheteur en dernier ressort. De plus, depuis le début de la crise en août 2007, les banques centrales ont fait preuve d’une grande réactivité[7]. Elles ont agi à la fois pour éviter une crise bancaire systémique et pour limiter les effets sur la croissance, en dissociant, dans la mesure du possible, ces deux objectifs. Les banques se financent traditionnellement en empruntant à court terme sur le marché interbancaire. Mais, la crise financière qui débute en 2007 se caractérise par une grande défiance des banques les unes vis-à-vis des autres, ce qui conduit à une hausse des taux à trois mois. Depuis le début de la crise, les banques centrales sont donc massivement intervenues pour accorder des liquidités. La politique monétaire se caractérise aussi par un allongement de la durée des emprunts, un élargissement des collatéraux et la possibilité pour de nouveaux acteurs de la finance de se refinancer auprès de la banque centrale. La BCE, par exemple n’a pas baissé ses taux directeurs ; elle a toutefois renoncé à les augmenter jusqu’en juin 2008.
La crise non achevée des subprimes dégage déjà plusieurs leçons qui constituent, dans un certain nombre de cas, des recommandations pour les politiques publiques comme : exiger des agences de notation qu’elles soient transparentes sur leurs modèles et leurs méthodologies, créer un label européen des agences de notation, à l’image du label américain NRSRO. Ce label pourrait être attribué par le CESR (Committee of European Securities Regulators).
Surtout au niveau européen, À court terme, faire évoluer et renforcer les comités de niveau du processus Lamfalussy 3 (le CESR pour les régulateurs financiers, le CEBS pour les Banques, le CEIOPS pour les assurances). À moyen terme, il faudra créer un système européen de superviseurs bancaires calqué sur le système européen des banques centrales.
CONCLUSION
Pour conclure, on peut dire que la notion de paradoxe a évolué. Cette évolution s’est faite aussi sur fond de risque et de danger, voire de refoulement cindynique, puisque on n’a pas toujours voulu voir le danger. Le Paradoxe de la crédibilité et le Paradoxe de la tranquillité sont deux notions interdépendants impossible a dissocier. Puisque la politique monétaire en théorie et les évolutions établit les bases d’une économie développée, la politique monétaire face à la crise 2008 devra être adaptée a la situation économique présente.
BIBLIOGRAPHIE
- Analyses Economiques, la crise des subprimes, N° 6/2008
- Bucquet-Lederman, Véronique, Paradoxe, cyndinique et crise financière : Bâle II, juste valeur et efficience des marchés, thèse de doctorat en sciences de gestion
- Bucquet-Lederman Véronique, Du paradoxe de la sécurité à la cindynique financière
- Capelle-Blancard Gunther, La crise financière,
- Garba Ali & Kebbab Karima & Lemoine Eric & Verdy Maxime, les théories du surendettement de Finsher et Minsky, 28 mars 2007
- Musard-Gies, Marie, Banques centrales : de leur mission traditionnelle à la gestion de la crise des subprimes, université du sud Toulon Var,
[1] IASB a publié l’amendement à l’IAS 39 le 13/10/2008, repris au niveau européen CE n°1004 /2008 du 15/10/2008.
[2] Bucquet-Lederman, Véronique, Paradoxe, cyndinique et crise financière : Bâle II, juste valeur et efficience des marchés, thèse de doctorat en sciences de gestion
[3] Lederman Véronique, Du paradoxe de la sécurité à la cindynique financière
[4] Analyses Economiques, la crise des subprimes, N° 6/2008
[5] Capelle-Blancard Gunther, La crise financière
[6] Garba Ali & Kebbab Karima & Lemoine Eric & Verdy Maxime, les théories du surendettement de Finsher et Minsky, 28 mars 2007
[7] Musard-Gies, Marie, Banques centrales : de leur mission traditionnelle à la gestion de la crise des subprimes, université du sud Toulon Var,
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