Valorisation et Évaluation des Start-ups en Capital-Risque : Entre Incertitude et Juste Valorisation
PLAN
INTRODUCTION
- CONCEPTUALISATION
- Description du Capital-risque
1.1. Définition et état des lieux
1.1.1. Contexte
1.1.2. Etat des lieux en France
1.2. Les enjeux
1.3. Tendances et investissements
- Méthodes de valorisation
2.1. Evaluation et valorisation d’une start-up
2.1.1. Le concept de la valorisation de l’entreprise
2.1.2. Les méthodes
2.1.3. Les critères de prise de décisions
2.2. Application en capital risque
2.2.1. Moyens
2.2.2. Analyse de la création de valeur
2.3. Notion de valorisation financière
- Relation Entrepreneur/Porteur de Projet et Capital-risqueur/Investisseur
3.1. Les fondements de la relation capital-risqueur/entrepreneur
3.1.1. Le caractère polymorphe du risque
3.1.2. Gouvernance de la relation et création de valeur
3.2. Participation active et conflits entre actionnaires
- CONTEXTUALISATION
- Méthodologie et échantillons
- Etudes de cas
- Résultats et analyse
- Discussion
CONCLUSION
EXECUTIVE SUMMARY
BIBLIOGRAPHIE
INTRODUCTION
Le capital-risque est constitué par le financement d’un capital financier à fort potentiel, selon un risque détecté à un stade précoce, garantissant la croissance des entreprises en start-up. Généralement, en termes de fonds, le capital-risque gagne de l’argent via l’équité dans les sociétés dans lesquelles elle investit, qui ont habituellement recours à la nouvelle technologie et les industries de haute technologie en s’assurant de toujours « expédier » les trésoreries excédentaires. Le capital-risque semble être fait pour les nouvelles entreprises ayant des antécédents d’exploitation limités, étant trop petits pour la levée des capitaux sur le marché public et ne sont pas en mesure d’obtenir un prêt bancaire ou une offre de financement quelconque. En échange du risque que les investisseurs prennent en investissant dans des entreprises plus petites et moins matures, les capital-risqueurs obtiennent habituellement un contrôle important sur les décisions des entreprises, en plus d’une partie importante de la propriété de la société (et donc la valeur).
En termes de mode de financement et d’innovation, la spécificité du capital-risque réside sur l’incertitude à laquelle capital-risqueurs et dirigeants de start-up sont confrontés : en effet, ils n’ont plus la possibilité de faire appel aux outils d’évaluation du risque, et aux impassibles probabilités nécessaire au traitement. Dans ce sens d’ailleurs, et selon la littérature concernant le capital-risque, l’analyse relative à la question du traitement de l’incertitude par les capital-risqueurs n’existe pas. Selon les données économétriques, l’incertitude sur la qualité de la jeune entreprise innovante est directement liée au mode de financement partagé par les deux parties en relation, pas particulièrement stratégique, en relation à une certaine opportunité économique. Pour la jeune entreprise innovante, l’évaluation porte sur un caractère objectif, l’outil analytique le plus adapté étant les options réelles avérées. Si le capital-risqueur est non compétent, son évaluation est intersubjective. L’activité du capital-risque dans son ensemble peut, ainsi, être affectée par le mode d’évaluation du capital-risqueur.
Il s’agit alors pour nous d’essayer d’aborder le sujet délicat qu’est la valorisation/évaluation d’une jeune société innovante/start-up en Capital Risque. Comment arriver à une juste valorisation afin qu’elle soit satisfaisante pour chaque partie à savoir l’entrepreneur et le capital-risqueur?
Pour ce faire, notre travail sera divisé en deux parties, une première partie de conceptualisation, afin de cerner les thèmes en relation avec notre problématique, et une deuxième partie de contextualisation, qui nous permettra de confronter la théorie à la réalité sur le terrain.
- CONCEPTUALISATION
La première partie de notre étude consiste particulièrement à distinguer les descriptions, pour nous accommoder les idées liées à notre sujet et notre hypothèse : par quel moyen peut-on parvenir à une valorisation correcte pour qu’elle satisfasse chaque côté tel que l’entrepreneur et l’opérateur de capital-risque ?
- Description du capital-risque[1]
Les petites et moyennes entreprises (PME) constituent désormais une composante essentielle du marché économique mondiale. Cependant, ces dernières peinent à s’insérer dans le système financier classique, les conduisant, souvent, dans la souffrance d’une sous-capitalisation, constatées et étudiées bon nombre de fois (rapport Delorozoy et Dautresme). Afin d’agir dans l’assurance du développement de ces entreprises. Progressivement, il a été mis en place de nouvelles formes de financement. Dans ce sens, l’apparition et la croissance du capital-risque français s’inscrit dans ce cadre, le but étant de trouver une réponse aux besoins de financement en fonds propres des PME.
C’est aux Etats-Unis, vers les années 1945, que le capital-risque contemporain s’est développé. Depuis, un véritable essor à partir a été constaté depuis 1950 sous le nom de « venture capital », au moment où l’industrie électronique a submergé le monde de ses nouvelles productions (semi-conducteurs, ordinateurs, instrumentation…).
Le capital risque a émergé comme une nouvelle méthode financière de financement au cours du 20ème siècle. Le capital risque constitue le capital fourni par les professionnels qui investissent dans la gestion des jeunes entreprises, en croissance rapide ou en mutation qui ont un potentiel de croissance élevé. Le capital risque est une forme de financement par capitaux propres, spécialement conçu pour les financeurs de projets à forte rentabilité et risque. Il y a une perception commune selon laquelle le capital risque est un moyen de financement de projets de haute technologie. Toutefois, le capital risque est un investissement, en termes de financement, à long terme fait pour:
- les entreprises promues et techniquement ou professionnellement qualifiées, non prouvées par les entrepreneurs,
- les entreprises qui cherchent à exploiter commercialement sans grand moyen technologique,
- les entreprises à haut risque.
Le terme capital risque représente donc l’investissement financier dans un projet très risqué, dont l’objectif est d’obtenir un taux élevé dans le retour sur investissement. Les sociétés de capital risque fournissent le capital risque nécessaire pour les entrepreneurs afin de répondre aux promoteurs en termes de contribution selon les besoins, par les institutions financières. Outre l’apport de capitaux, ces sociétés de capital-risque possèdent un intérêt actif pour guider les entreprises aidées.
Une jeune entreprise de haute technologie qui est à un stade précoce de financement et n’est pas encore prêt à faire une offre de titres au public peut demander un capital-risque. Un tel financement à haut risque est assuré par un financement de capital-risque sous forme de financement par capitaux propres à long terme avec l’espoir de gagner un taux de rendement élevé, principalement sous forme de gain en capital. En fait, le capital-risqueur agit en partenariat avec l’entrepreneur.
Ainsi, une société de capital risque peut fournir le capital d’amorçage sur des projets non approuvés, des produits orientés de la technologie ou dans le démarrage d’entreprises. Les capital-risqueurs peuvent également investir dans une entreprise qui est incapable de recueillir des fonds par les moyens conventionnels.
1.1. Définition et état des lieux
Les personnes investissant dans une opération financière (appelés « capital-risqueurs » ou venture-capitalistes) procurent du fonds, avec leurs ensembles et savoirs à la réalisation et aux premières parties d’expansions de sociétés innovatrices ou de sciences techniques estimées en tant que puissance de croissance et de reprise sur placement. Le mot « risque » employé en France ne possède constamment pas de similaire dans les autres nations par lesquelles on utilise parfois le mot d’occasion (venture capital) [2].
Un capital d’opération financière doit produire un immense bénéfice (comme les emprunts des sociétés près des banques). Le ministère de ce genre de capital est constitué de stratégies échouant et de stratégies rassemblant et équilibrant ainsi les précédentes ruines effectuées. Le succès dépend de la nouvelle vente de l’entreprise sponsorisée.
Ainsi, on appréhende que le classement des projets (sponsoriser les bons et éloigner les stratégies aux aspects moins encourageants) s’avérât crucial dans ce domaine de travail. Cette phase doit nécessairement passer par le contrôle du projet de croissance de la société (appelé business plan). Généralement, les typiques sont distribuées par les investisseurs qu’ils emploient pour déterminer des stratégies financières.
En France, l’explication du capital-risque introduit souvent par erreur les LBO (leverage buy out) qui se révèlent par des affaires de remboursement entrainant une réaction barre (ou suivies d’une importante parcelle de prêt selon l’investissement en fonds propres), tandis que le venture capital américain n’introduit pas ce type d’affaires. La limite du fonds-croissance (placement minoritaires au fonds de PME) est par contre plus imprécise.
La particularité du capital-risque est représentée par une plus immense constituante technique et une plus importante aptitude de financement des ruines pour privilégier l’évolution de cette technique. Ses secteurs de complaisance restent les techniques de communiqué et de la transmission et les biotechniques. Néanmoins depuis un certain temps (l’an 2004 en Californie et l’an 2007 en France), les responsables de fonds de capital-risque se livrent davantage aux techniques de la croissance stable, en investissant surtout sur les forces renouvelables.
En dépit de la variété des méthodes, trois tirets importants permettant de définir l’opération financière capital-risque par rapport à l’image américaine peuvent être déduits :
- l’opération financière caractérise un rendement en capitaux propres dans une société moyenne nouvelle ou en évolution, exposant des éventualités de développement.
- La fonction de l’investisseur ne se réduit pas à un rendement primitif, il joue également un rôle de suggestion en étant un collaborateur efficace et prend part dans l’administration de l’activité, il est obligé de tenir un comportement hands on.
- l’affaire de la société converge vers une stratégie promotrice, le modèle de la Silicon Valley[3] se révèle dans ce sens le plus représentatif et l’investisseur s’applique davantage à des références décisives qualitatives que quantitatives.
L’investisseur en fonds de capital-risque doit se présenter en un vrai collaborateur de la société répartissant les aléas de départ, l’évolution et les bénéfices, en cas de victoire ; au contraire du banquier ordinaire inspectant des cautions exactes et contrôlant la liquidité de ses investissements pendant les termes de ses paiements.
L’image américaine se caractérise par un fonds capital-risque efficace en opposition avec le milieu des procédés de la France.
1.1.1. Contexte
Le fonds capital-risque est un genre de subvention spécifique des sociétés, surtout les sociétés moyennes. Depuis toujours, il est un objet de ravissement et nous conduit à considérer la capacité fabuleuse des sociétés inédites sur des ouvertures à proportion de développement élevée : par exemple les biotechniques, le traitement sur ordinateur, les techniques de transmission récentes,… Le fonds capital-risque, encore appelé venture capital, expose constamment une nature hermétique, s’accrochant aux spécificités de cette affaire. Le rôle des capital-risqueurs est de participer dans des sociétés se distinguant par une forte puissance dans l’éventualité de les rétrocéder après en effectuant une plus-value importante[4]. Ces nouveaux liens entre la trésorerie et la société s’illustrent par des disciplines, des buts, des cohérences, des attitudes, contraires à ceux de la trésorerie ordinaire. Le venture capital français se définit passablement par un travail de placement en capitaux propres ou, intégré dans des sociétés non évaluées, se répand parfois aux projets de communication de société. Cette explication propose des intervalles d’idée avec le capital-risque anglo-saxon, généralement rattaché aux placements à capacité et à aléas considérables (technique supérieure) avec une caution efficace des entreprises de venture capital au sein de ces sociétés. Les capital-risqueurs, étant orateur moyen de médiation et par la représentation personnelle du lien avec le dirigeant de société, ont choisi des approches de partenariat modernes. L’investisseur financier, à travers sa contribution au fonds, se transforme en maître d’une fraction de la propriété de la société, et répartit indirectement les priorités de la société pendant une durée presque longue (3 à 4 ans en France)[5].
Une probabilité de paiement n’est faisable que si leurs statuts de caractéristique cèdent, vers une « sortie », avec une plus-value engendrée par des apports précédemment rassemblés par la société (moins-value en cas de perte, même ruine générale ou inachevée de la contribution au cas où la société est vendue). A cause de leur attitude plus efficace, les entreprises de venture capital s’engagent plus dans le travail et dans l’administration de la société, garantissent le contrôle régulier de leur contribution financière et se charge de la vérification. Cette manière de s’ingérer ne provoque pas constamment l’exaltation des chefs, notamment au sein des sociétés à fonds familiaux ou des sociétés moyennes dans lesquelles le chef-créateur est celui qui possède la majorité des actions. Le venture capital s’avère certainement une méthode financière exceptionnelle, mais aussi une association partenariale favorisée nécessitant toujours une remise en question des comportements et du savoir entrepreneurial, aussi bien des dirigeants de Sociétés que des banquiers eux-mêmes.
Le venture capital procure des moyens de subvention à des nouvelles sociétés. Effectivement, ces sociétés rencontrent des problèmes, primo, à déceler des crédits bancaires étant donné que leur futur est très douteux, deuxièmement, à se sponsoriser par capitaux propres à cause de leur petite dimension, de leur nouveauté et des aléas associés à leur travail. Les capitaux propres approvisionnés par l’opérateur de capital-risque représentent une caution et la société sera après facilement susceptible de faire un prêt bancaire. En outre, au contraire d’une entreprise chiffrée, la société sponsorisée par le venture capital ne possède pas de devoir de transmissions; elle est donc susceptible de tenir confidentielles des transmissions indispensables au bénéfice de sa création.
Le capital-risque est une source importante de financement pour les start-up et d’autres entreprises qui avoir un historique d’exploitation limité et n’ont pas accès aux marchés de capitaux. Le capital-risqueur n’est pas nécessairement juste un riche financier. La plupart des venture-capitalistes se limitent aux partenariats qui ont un fonds de placement avec lesquels ils investissent dans un certain nombre d’entreprises. Les financements varient selon la taille des entreprises qui gèrent d’importants investissements à capital-risque, susceptibles de gagner beaucoup plus. Les venture-capitalistes peuvent être un petit groupe d’investisseurs, d’une filiale ou d’une succursale, d’une grande banque commerciale, d’une banque d’investissement, ou de l’assurance entreprise qui effectue des investissements sur les clients au nom de la société mère ou des investisseurs externes. En tout cas, le capital-risqueur se doit d’utiliser sa connaissance de l’entreprise, l’expérience et expertise de financement et de soutien des entreprises qui donneront un retour substantiel sur l’investissement du capital-risque, généralement dans les trois à sept ans.
1.1.2. Etat des lieux en France
A contrario de l’Amérique par lequel le venture capital s’est évolué par le groupe d’investisseurs privés, celui de la France doit son développement au mouvement des autorités publiques. Cela arrivant trop tard car il fallait patienter vers l’entrée des années 70 afin que le milieu initial juridique du venture capital français soit établi. Actuellement, l’affaire du fond capital-risque est caractérisée par la diversité des participants et la variété des fonctions.
Quant aux capital-risqueurs, la tentation fondamentale des nouvelles sociétés demeure dans le projet de plus-values extraordinaires, de l’organisation de celles fondées par les initiaux possesseurs des actions : Apple, Oracle, Cisco Systems, Paypal ou Yahoo! Depuis peu de temps, YouTube a donc été rétrocédé, un an et plus après son invention, à Google pour une valeur de 1,65 milliards de dollars, accordant au capital californien Sequoia Capital, qui placait11,5 M de dollars, de ressaisir son investissement 43 fois. La Silicon Valley, détenant en majorité les participants américains du secteur[6], de plus-values pareilles sont prodigieuses, néanmoins elles préservent l’histoire d’un venture capital comparé à un assaut vers la richesse qui la plaçait à la disposition des découvreurs de filons[7], dans le cas présent toute « start-up » ayant une cotation au moins dix fois plus grand en l’espace de 5 ans. Est-ce que le venture capital en France possède les mêmes exploits ?
Le venture capital français n’est pas quelque chose de moderne. Etant un mode de subvention français il y a 40 ans, il a rencontré plusieurs richesses rattachées aux risques du contexte et à l’ajustement d’un exemple américain à la notion de la France. De sorte que les expériences primitives datent de l’après guerre, les Etats n’ont constaté la nécessité du venture capital au niveau de la subvention de l’invention et de la fondation de sociétés qu’à partir de 1970 et à la fondation en 1978 de l’ANVAR (ou Agence Nationale pour la Valorisation de la Recherche), et en 1972 des SFI (sociétés financières d’innovation). Toutefois, le venture capital en France ne correspond pas, au temps, de façon raisonnable aux exigences de subvention des sociétés. Après un détachement en 1980, le venture capital, renommé Capital Investissement, s’est heurté à un ralentissement et même une décadence négligeable vers l’entrée de 1990. C’est seulement à partir de l’année 1997 qu’il apparait en France, s’apparentant davantage à l’exemple anglo-saxon. Soulevé par des règles fiscales propices, l’action d’internationaliser et de professionnaliser les capitaux, et aussi par la récupération économique et l’augmenter de la vitesse de l’évolution des techniques inédites, le capital- risque a sévèrement évolué[8].
Le Capital Investissement est avant tout un placement d’actif élevé, autrement dit c’est une contribution de capitaux propres au contraire du prêt qui est un placement d’actif faible. L’opérateur de l’investissement place sur une plus-value pendant son lancement du fonds. Signification française « venture-capital » des Etats-Unis, le mot capital investissement surgit pour succéder le financement capital-risque étant une expression appartenant au genre du travail. Effectivement, le venture capital s’est étendu en France en se divisant, et le fonds de capital-risque ne rassemble que certaines occupations du financement capital investissement. Le placement capital-risque indique à présent les phases les plus importantes de la subvention de société : le décollage (« seed » stage), la fondation de la société (« start-up ») et la post fondation, donc le venture capital rassemble aussi le financement capital développement (deuxième rotation de table), le financement capital diffusion, les LBO (« Leverage Buy Out »), le MBO (« Management Buy Out »),… Dynastie misérable du financement capital investissement, le financement capital-risque ramasse seulement les 20% de la totalité des placements, et en dépit des années cette valeur demeure toutefois stable. Cette valeur a juste connu une augmentation surprenante jusqu’à 25% lors du cru 2000. La majorité des totales misées aboutissent vers le Leverage Buy Out ou le financement capital diffusion qui se révèlent comme étant des affaires moins compromises et plus rentables.
Néanmoins, les opérateurs de capital-risque se focalisent sur les domaines des techniques inédites et accordent en partie le financement de l’invention française. Avec sa participation active dans la croissance des sociétés, en les laissant profiter des entrelacements et de pratique au niveau des domaines en question, le travail du capital investissement est beaucoup plus qu’une contribution de capital primaire. Au sein d’un échange en pleine évolution, à l’écart de la maturité, le travail progresse considérablement.
- Position du venture capital dans la subvention des nouvelles sociétés
On évalue 13 507 « start-up » c’est-à-dire 4,2% fondées dans des domaines techniquement nouvelles, sur les 321 478 jeunes sociétés énumérées par l’INSEE[9] vers l’année 2007, et que l’on constate trois quarts dans les secteurs informatiques. Dans cette même période, l’AFIC (Association Française des Investisseurs en Capital) a relevé 416 placements en cours « amorçage et création » pour une valeur de 677 M€[10], indiquant seulement 3,1% du débit des jeunes sociétés par an et juste 0,1% de la totalité annuelle des sociétés fondées. C’est évoquer que les capital-risqueurs français sont tellement sélectifs, ce qui révèle des perspectives identiques à celles de leurs concordants de la Silicon Valley dans un sens de reprise sur placement. La dernière description de la création, publiée par le Ministère de l’Économie, de l’Industrie et de l’Emploi[11], recense 96 capital-risqueurs. Ce taux compte le total de groupes de venture capital affiliés de l’AFIC proclamant miser en stade de décollage et de fondation. Globalement, en France, il existe ainsi plus de 100 individus environ qui exercent le placement au fonds des nouvelles sociétés. Cette affaire est secondaire, étant donné qu’en 2007 les 677M d’Euros placés en décollage et fondation n’illustrent que 5% des placements d’actif élevé. Ce qui est important dans les 12,6 milliards d’Euros placés en private equity en 2007 a effectivement regardé les activités de financement capital-développement, de diffusion ou de Leverage Buy Out.
- Des potentiels financiers détonnés
Le potentiel financier d’un capital de venture capital est évalué par la valeur ordinaire de revenu intérieur. Cette valeur illustre le revenu d’un ministère de venture capital par an, lors de la cession des diverses contributions. Les capitaux les plus efficaces inscrivent des potentiels supérieurs à 30% cependant les moins bénéfiques possèdent un mauvais TRI, découlant d’activités accomplies à déficit, non pondérées par d’autres plus-values de dévolution. Pour uniformiser les différences circonstancielles, les capital-investisseurs recensent le TRI de leur métier sur un certain nombre d’années, surtout sur une décennie. Dans sa recherche sur la potentialité du venture capital français en 2007, régie sur un aperçu de 159 capitaux, l’AFIC indique un TRI exact de -0,8% pour le venture capital à une dizaine d’année, en opposition à +13,9% pour la totalité des capital-investisseurs. Les acteurs d’investissement en étape LBO produisent jusqu’à 20,8% de TRI exact, ce qui est élevé. Les distances de potentialité entre les divers capitaux sont effectivement très considérables. Pour la totalité du venture capital, le quartile initial du métier produit 33,3% de TRI exact sur une décennie, lorsque le quartile ultime montre un mauvais potentiel de -11,2%[12].
- Financement capital-risque et venture capital : position du financement capital-risque en France[13]
Le financement capital-risque s’interpose en amont de l’existence des sociétés. Néanmoins, il survient à la suite des intercessions de deux placements et n’est pas susceptible de les alterner.
En outre, la seconde représentation ci-après permet de voir clairement que les capitaux de venture capital misent notamment dans les sociétés quand elles sont assez étendues et ont justifié leur succès :
Le sujet sur les affaires Angels illustre que le financement du décollage des jeunes sociétés fondées en France fait fortement défaut. Il parait que ce n’est pas le cas du venture capital. En vérité, l’accord initial se révèle qu’il parait sans importance de miser beaucoup de liquides dans le financement capital-risque ou de sa séquence financement capital-développement. Primo, car il n’est pas bénéfique et que son capital mise généralement un taux supérieur 2 millions d’euros. Puis, deuxièmement, il ne parait pas que la France soit victime d’un manque considérable de tels fonds, et vis-à-vis de la Grande-Bretagne le décalage ne dépasse pas le 1/3 (poursuivre partie ci-après). En outre, le financement capital risque se répand au sein des extrémités et les faiblesses de la France sont plutôt engendrées par le défaut de bonnes spéculations à sponsoriser que par l’insuffisance de capitaux : le défaut de bonnes spéculations résultant en direct de la presque éloignement d’Affaires Angels en France qui s’avèrent nécessaires lors de la première étape. L’insuffisance de nos Affaires Angels (en comparaison des Affaires Angels dans d’autres nations) entraine la limitation de la quantité de programmes touchant la ligne du financement capital-risque.
Le financement capital-risque appartient au venture capital. Dès lors, tout financement capital-risque peut être considéré comme un venture capital, par contre ce qui est venture capital ne peut être jugé en tant que financement capital-risque.
En outre, cela engendre une dissipation des capitaux de venture capital qui se dispersent sur plusieurs spéculations en tentant d’alterner l’insuffisance d’Affaires Angels. Ainsi, surinvestir le venture capital ne parait pas capable de procurer n’importe quelle amélioration. Les données de l’AFIC et d’Ernst & Young, de l’année 2009, sur le potentiel exact du venture capital français permet d’en justifier, exposant clairement que la capacité accumulée à long terme du financement capital-risque / early stage est égale à -2,7% en année 2009. D’ailleurs, les placements en FCPI et FIP possèdent en moyenne -3,2% de recrudescence négative sur une décennie, exposant que l’intercession du gouvernement au profit de ces placements n’a pas donné le résultat attendu et plus encore, cela a dissocié les marchés[14].
- Affaires Angels et venture capital français
En France, les clôtures de gestion à l’innovation de sociétés ont été considérablement délestées pendant les temps passés. Afin que cette diplomatie produise du succès dans le domaine de la création, il faut que la qualité du placement soit irréversible.
Elle accorde surtout l’orientation des capacités singulières vers la création, parfois sollicitées actuellement vers la société puissante ou l’activité du peuple. L’enchainement de la subvention des « jeunes pousses » nécessite surtout des Affaires Angels, individus étrangers du secteur privé (proche, connaissance,…), ayant une espace financière assez large pour miser des placements à aléa considérable et revenu élevé. Leur support financier garantit à ceux qui entreprennent une valeur minimum de rendement pendant les 2 à 3 ans indispensables à l’amorçage d’une idée d’innovation. En Amérique, ces acteurs d’investissement « amorcent » tous les ans environ 10 000 programmes avec des revenus de 100 000 à 200 000 dollars en moyenne. Plus au-delà de cet enchainement sélectif de la subvention, les capitaux de venture capital continuent la tâche, avec une totalité supérieure à un million de dollars, pour escorter la croissance des 3 000 à 4 000 programmes performants. Encore au delà, la reprise ou le prix accordent à valoriser les sociétés adultes et compétentes. Aucun de la France et de l’Europe continentale ne peuvent disposer d’un enchainement de subvention de cette ampleur. Les Affaires Angels sont peu et ils surgissent sur des valeurs moyennes de 40 000 euros. Au lancement, l’échange des taux de développement reste divisé et peu liquide[15].
Tableau 1 : La fondation de sociétés par domaine en France
en % | ||||
Secteurs | 2010 | 2011 | ||
Total des business start-ups | Start-ups sans « auto-entrepreneurs » | Total des business start-ups | Start-ups sans « auto-entrepreneurs » | |
Industrie manufacturière, les industries d’extraction | 5,1 | 6,2 | 4,9 | 4,7 |
Industrie manufacturière comprise | 3,8 | 3,6 | 4,1 | 3,5 |
Construction | 14,8 | 15,9 | 14,9 | 16,2 |
Gros, détail, transports et restauration | 27,0 | 32,1 | 27,5 | 31,4 |
Commerce et réparation d’automobiles et de motocycles | 21,0 | 22,4 | 21,0 | 21,3 |
Transports et entreposage | 1,6 | 2,6 | 1,7 | 2,7 |
Accommodation et restauration | 4,4 | 7,1 | 4,7 | 7,0 |
Information et communication | 4,8 | 3,6 | 4,8 | 3,8 |
Activités financières et d’assurance | 2,1 | 4,2 | 2,4 | 4,4 |
Activités immobilières | 2,9 | 5,7 | 3,4 | 6,3 |
Activités scientifiques et techniques spécialisées, administratives et de soutien | 22,0 | 18,0 | 21,3 | 18,4 |
Enseignement, santé humaine et action sociale | 9,0 | 8,8 | 9,9 | 9,8 |
Autres services d’activités | 12,3 | 5,5 | 11,0 | 5,2 |
Total des business start-ups (en nombre) | 622 036 | 263 448 | 549 788 | 258 067 |
Source: Insee, REE (Répertoire des Entreprises et des Établissements – Sirene).
Le venture capital se développe considérablement en France[16]. Son amorçage remonte vers 1997. Il a été escorté par les fonctions publiques qui l’ont finalement procurée des outils fiscaux encourageants. Si on estime les informations de l’AFIC, vers l’année 2001, les capitaux perçus ont été augmentés 8 fois plus relativement aux valeurs de l’année 1997. Si les nombres rencontrent une diminution vers l’année 2001, c’est notamment à cause d’une année 2000 prodigieuse au lieu d’un détachement. En réalité, comme les établissements bancaires s’avèrent être les acteurs fondamentaux d’actif élevé, d’autres genres de services sont apparu.
En revanche, de toutes les opérations du venture capital, le financement capital-risque demeure la dynastie misérable puisqu’il ne procure pas beaucoup d’assurances. Une énorme volatilité, et le montant de faillite élevé de fondation de sociétés influencent les opérateurs d’investissement à tourner vers des entreprises en pérennité. Il n’en perdure pas peu que le financement capital-risque demeure intéressant (plus de 20% de TRI) par contre nécessite une investigation énorme pour le contrôle régulier et des groupes favorables partant du début pour restaurer les éventualités d’existence de la société et le potentiel de croissance[17].
En dépit de l’importance des notions mentionnées ci-dessus, la réussite dépend tout d’abord de la qualité des spéculations et des groupes. Le triage des spéculations est tactique et demande une activité fortement considérable.
Graphique 3 : Investissements en capital-risque en Europe
1.2. Les enjeux
Alors que l’économie mondiale entre dans le 21ème siècle, les grandes entreprises continuent de dominer dans la recherche et développement, et sont sans doute généralement plus fortes et plus susceptibles de survivre et de prospérer que les petites et moyennes entreprises (PME). Pourtant, les sociétés ne peuvent pas se fonder uniquement sur ce qui a été établi dans le passé. De nouveaux produits doivent être développés. Le changement organisationnel et l’esprit d’entreprise devraient être embrassés. Des efforts plus importants sont nécessaires de sorte à éliminer les obstacles à l’expérimentation et du risque à prendre dans l’économie. Ceci s’applique en particulier en ce qui concerne les premières étapes de la création d’entreprises et la commercialisation de nouveaux produits. Le type de financement le plus souvent mis en évidence dans ce contexte est le capital-risque, nécessaire au renouvellement des entreprises et la croissance économique. Le capital-risque n’est pas le seul type de financement qui est important dans ce contexte, cependant. Les financements formel et informel jouent un rôle distinct dans les premiers stades, et les institutions gouvernementales et les marchés influencent ce qui peut-être réalisé par différents types d’acteurs. Il est important d’examiner et de connaître les stratégies du capital-risque. Répondant à ce besoin, un rapport a été rédigé pour des mesures répondant aux questions que nous associons au développement des marchés du capital-risque. Selon ce rapport :
- L’industrie du venture capital réside dans une perspective globale et se doit d’examiner et de comparer les tendances politiques et du marché sur un certain nombre d’années.
- Le rôle de venture capital est connecté à d’autres acteurs qui sont très pertinents pour l’innovation, y compris les entrepreneurs et souligne le rôle des initiatives politiques visant à assurer une interaction saine à cet égard.
- Le rôle de l’intervention publique considère la façon de gérer le risque lorsque le secteur public favoriser le développement technologique[18].
L’introduction de venture capital dans une société peut se faire à n’importe quel instant de son existence. Il est naturel de distinguer l’étape d’intercession des services de venture capital selon l’arc d’existence de la société :
- Le premier stade de réalisation est caractérisée par la subvention de graines, le « seed financing » des Anglo-saxons (« seed money »). Le capital-risqueur mise donc sur un programme, un groupe, c’est dans cette étape que l’aléa est invariablement le plus important.
- Le stade d’apparition est conforme à la subvention de fondation, le « start-up », qui va de l’établissement de la création jusqu’à la vente et l’échange.
- S’il y a réussite, le stade d’évolution vient après, la société rencontre ainsi une nécessité fondamentale de capitaux propres afin de sponsoriser sa croissance.
- L’amorçage se rapporte parfois à l’ultime accroissement de fonds avant l’entrée en Bourse. La société a touché une grandeur assez considérable, quand même elle est obligée de fortifier son organisation financière avant de solliciter le marché financier bientôt (on évoque souvent le stade de la mezzanine).
- Finalement, le temps de la plénitude peut être conforme à une entrée en Bourse. La société est ainsi obligée de couvrir ses connaissances. Cette phase se rapporte au départ du capital-risqueur qui vend ses rations.
1.3. Inclinations et placements
Les services de venture capital sont de petites organisations en dépit du taux des capitaux qu’ils dirigent. Le placement en période des plénipotentiaires se révèle indispensable, de ce fait il doit être raisonnable et convaincant pendant la démarche initiale. La meilleure méthode d’attirer l’attention est de se faire invoquer par une des origines du renseignement de l’opérateur de capital-investissement. Néanmoins, il existe encore plusieurs stades à parcourir et le choix de miser provient d’une alliance importante d’éléments par laquelle le caractère subjectif est essentiel. Tout d’abord, c’est la qualité de celui ou ceux portant la spéculation qui sera discernée et non la constitution de celle-ci. En outre, l’opérateur d’investissement sera prudent étant donné qu’il supporte une grande fonction face à ses actionnaires et aux créanciers de l’entreprise dans le cas de l’échec de la spéculation. Ainsi il compromet plus que le fonds initial.
L’intervalle de temps entre le rapport initial et le choix de placement est de 6 mois en moyenne, seulement cela peut varier considérablement. Même dans une période de deux mois le choix soit peut être pris. La spéculation devra ainsi être approuvée par de nombreuses compagnies : une compagnie intérieure accordant la continuité des études, une compagnie scientifique et industrielle qui avancera son idée sur le potentiel économique et la capacité technique de la spéculation, une compagnie financière qui va fixer les valeurs et les instruments à employer et finalement la compagnie finale d’engagement[19].
C’est une longue marche pour tous les stades élevés, cependant ils n’illustrent qu’un élément des diverses missions de l’opérateur de capital-risque. Par la suite, il faut diriger les autres missions en partant du placement pour parvenir au lancement du fonds.
Si le fait de valoriser la société est une activité risquée et une mauvaise estimation de la société, que ce soit à la montée (placement trop fondamental n’accordant pas une reprise considérable) ou à l’abaissement (mauvaise constatation des nécessités évitant le développement correct de l’entreprise), peut paraitre déplorable. Les outils financiers et les assurances sont néanmoins divers et autorisent à l’opérateur d’investissement de défendre sa contribution et de s’interposer à tout bénéfice dans les choix d’administration, aussi de prendre part à la direction tactique de la société pour pousser son placement au maximum. Si les outils et engagements entre la société et l’opérateur d’investissement sont compliqués, l’acteur de capital-risque devient un véritable collaborateur participant d’une manière active à tout ce qui concerne la société, surtout pendant les réunions de gestion.
Les éventualités de lancements, quand il en est temps, sont diverses. En revanche, le plus habituel est le dessaisissement industriel, malgré le fait que l’entrée en Bourse demeure un but pour plusieurs contributions.
Au cours de ces temps passés, on a constaté que la quantité d’outils à la portée des opérateurs d’investissement augmente. Pourtant si le milieu juridique progresse, les inclinations sont davantage à observer dans le développement du marché et le contrôle efficace des sociétés[20]. Le venture capital français est en plein développement et n’est pas encore près de son étape de plénitude. Ce développement se joint avec le fait de professionnaliser et de spécialiser les services. Le capital-risque progresse alors pareillement à son similaire américain. Par contre, il rencontre toujours une faiblesse lors du décollage et de la fondation, surtout par la montée des billets d’accès persuadant les opérateurs d’investissement à ne pas prêter attention aux affaires négligeables, et par une application sur les spéculations de croissance et/ou de diffusion. Les attitudes vis-à-vis ce genre de subvention progressent. Dans une nation où le fondamental du métier était attesté par les sociétés grandioses lors des trente célèbres, l’estimation de la nécessité du venture capital au sein de la société est nette. On constate également que la théorie interventionniste extérieure est davantage consentie, même sollicitée, au contraire du cas précédent, lorsque la personne entreprenant approuvait aisément le partage des déficits au lieu des bénéfices.
1.3.1. Genres de subvention en venture capital
Sur le plan financier, le venture capital est une subvention en capitaux propres impliquant à partager les aléas entre sociétés et partenaires financiers[21]. Généralement, les activités de venture capital sponsorisent des nouvelles sociétés et en évolution accélérée au lieu des sociétés matures. Néanmoins, il est parfois pratique de grandir ce domaine des activités de venture capital aux subventions et aux diffusions de sociétés subsistantes, car elles sont parfois établies par des acteurs semblables. Pourtant, en réalité, les activités de venture capital se distinguent, très clairement suivant les « stades de développement » des sociétés en question.
Chaque étape de croissance s’accorde à des subventions particulières. Les genres de subvention discernée, dans l’existence d’une société, s’exposent comme suit :
- La subvention de « pré-démarrage » ou seed-financing, c’est-à-dire subvention destinée à la première croissance d’une spéculation, par laquelle le fonds est nécessaire afin de prouver la capacité du programme pour le matérialiser par un amorçage de Société après;
- La subvention de « démarrage » ou start-up financing, qui veut dire subvention de croissance d’une production, de la première mercatique, du fait d’industrialiser ;
- La subvention d’ « expansion » ou «capital-développement » ou subvention du développement de la société lors de nécessités considérables de capitaux. La croissance se dissocie aussi en trois autres phases : le « Second Stable Financement » correspondant à la première croissance, le « Troisième Stade de Financement » qui se rapporte à la continuité de la croissance après le point-mort de plantation.
- Le venture capital et les subventions des sociétés
L’opération de venture capital combine trois genres d’activités : les services de venture capital, les opérateurs d’investissement qui leur délèguent leurs fonds, également les sociétés, sponsorisées ou attributaires.
Finalement, la subvention des stades de changement, atteste l’apprêt de l’accès sur les débouchés financiers, semblable au deuxième débouché français.
– la subvention de «reprise d’entreprise» c’est-à-dire subvention d’activité de relance, souvent différenciée du C-R, puisqu’elle ne regarde que les sociétés subsistantes, et non celles en phase de fondation ou de croissance accélérée.
Schématiquement, ces stades peuvent être classés en trois grandes étapes de l’existence de la société auxquelles se rapportent des genres de subvention particulière :
- le venture capital sévère vise notamment la fondation et amorçages de sociétés;
- le capital-croissance, réservé aux activités subsistantes néanmoins en stade de développement intense ;
- la diffusion des sociétés matures, avec les activités de genre.
- Venture capital et fonds ordinaire :
Une divergence remarquable entre le venture capital et le fonds ordinaire se constate. Dans une première vue, on peut énumérer quelques différenciations imminentes entre la proposition de subvention classique et la proposition de venture capital :
- le venture capital s’ingère en haut du fonds classique, étant donné que les sociétés ne répondent pas aux références d’attribution des subventions ordinaires ;
- l’aléa subit par le venture capital après les contributions établies est plus important que les activités ordinaires, pondéré par des éventualités de bénéfice distingué considérable ;
- les capital-risqueurs sont actifs et accordent de l’importance aux sociétés sponsorisées en les appuyant dans divers secteurs.
1.3.2. Ange et venture-capitalistes: motifs d’investissements[22]
La plupart des études concernant les processus de décision d’investissement des start-ups centrent leur attention sur la façon dont les venture-capitalistes prennent les décisions d’investissement. Peu d’attention a été accordée aux anges-investisseurs dans la littérature en raison de son caractère privé, est fragmentée.
Depuis la fin des années 1990, les organisations qui contribuent à coordonner leurs efforts ont été formés par les anges. En raison de certaines similitudes du processus d’investissement par les anges et les venture-capitalistes, on peut ainsi tirer de la littérature du capital- risque pour les investisseurs providentiels.
Le fait est que les venture-capitalistes sont plus raisonnables que les anges, de manière significative, dans le processus concernant la façon dont les anges et les venture-capitalistes investissent. Il a été découvert que les anges accordent une attention moins professionnelle que les venture-capitalistes, selon des investissements plus opportunistes, en s’appuyant davantage sur les instincts, sans calculer les taux de rendement interne. Les venture-capitalistes peuvent possèdent une équipe qui fait preuve de discernement raisonnable, en embauchant des cabinets, des services professionnels pour réaliser, tout ou en partie, le processus de contrôle. Les anges-investisseurs sont moins responsables que les venture-capitalistes, car ils investissent leur propre argent, fait qu’ils manquent de rigueur pouvant conduire à des décisions d’investissement plus faibles.
Il y a une différence dans les « motivations, l’expérience entrepreneuriale et la participation attendue » des anges et des venture-capitalistes. Dans la plupart des cas, les venture-capitalistes sont moins impliqués dans les sociétés dans lesquelles ils investissent que les anges-investisseurs, ces derniers étant souvent impliqués davantage dans les opérations quotidiennes que les venture-capitalistes. Aux États-Unis, un venture-capitaliste typique n’a pas, ou peu, d’expérience d’exploitation, alors que 87 pour cent des anges ont cette expérience d’exploitation. Les venture-capitalistes ont une expérience typiquement moins entreprenante que les anges: il a été démontré que 75 à 83 pour cent des anges ont une expérience du start-up alors que pour les venture-capitalistes, il est d’environ 33 pour cent. Habituellement, les anges vont travailler à temps partiel et ce avec des périodes d’engagement à temps plein afin d’aider les entrepreneurs sur des demandes difficiles. En fait, les venture-capitalistes sont rarement impliquées dans des opérations tandis que les anges sont à la recherche d’un travail à base régulière en rapport avec leurs investissements. L’investissement des anges devient souvent plus personnel à l’investisseur et l’entrepreneur pour ces raisons.
La principale raison de l’existence des venture-capitalistes est le retour sur investissement (RSI), tandis que la motivation d’un investisseur providentiel est généralement au-delà de RSI. Les anges aiment aider un autre entrepreneur à bâtir une entreprise et à raviver la communauté entrepreneuriale, tandis que les venture-capitalistes sont en affaires pour rentabiliser l’investissement de ses partenaires. Dans l’ensemble, les venture-capitalistes sont plus objectifs sur le rendement financier. Ils sont moins attachés émotionnellement et sont plus intéressés par le retour sur investissement.
La littérature suggère que, quand il s’agit de l’évaluation d’une start-up, l’entrepreneur est le facteur le plus important. Les anges ainsi que les venture-capitalistes estiment que l’entrepreneur et l’équipe de gestion sont les deux facteurs déterminants qui les attirent à la plupart des transactions. Par exemple, Macmillan et al. ont constaté que la qualité de l’entrepreneur détermine finalement la décision de financement dans la mesure où les venture-capitalistes sont concernés.
Dans la littérature, les anges sont censés être plus attirés par l’entrepreneur tandis que les venture-capitalistes pourraient être légèrement plus attirés par l’idée. Par exemple, les venture-capitalistes se sentent souvent attirer par une meilleure gestion d’un accord si la transaction est fondamentalement saine. Timmons et Spinelli (2004) ont déclaré que l’équipe de gestion peut faire la différence dans le succès de risque. Dans la littérature, il est suggéré que l’équipe de gestion est le déterminant le plus important. Carter et Van Auken ont trouvé que l’équipe de direction se pose en second lieu seulement après la qualité de l’entrepreneur dans une enquête sur les venture-capitalistes exposant 27 critères d’investissement. Il est clair que l’entrepreneur et l’équipe de gestion constituent un critère très important dans la décision d’investissement pour les anges et les venture-capitalistes.
Dans l’évaluation de la façon dont les anges et les venture-capitalistes hiérarchisent leurs critères d’investissement, la compréhension de l’entrepreneur et l’équipe est important. La prochaine étape pour comprendre le processus de décision d’investissement est la compréhension de ce que les caractéristiques des anges-investisseurs attendent de l’entrepreneur. Selon Carter et Van Auken, c’est l’honnêteté de l’entrepreneur qui se trouve au premier rang des 27 critères d’investissement des venture-capitalistes, l’engagement de l’entrepreneur se trouvant au deuxième rang. Van Osnabrugge et Robinson ont effectué une étude sur les investissements des start-ups européens qui a démontré que l’enthousiasme et la fiabilité sont les premiers critères d’investissement pour les anges. Timmons et Spinelli ont déclaré que lors de la recherche de la réussite des entrepreneurs, leur engagement et leur détermination sont plus importantes que n’importe quel autre facteur.
Selon Benjamin et Margulis, « Certains investisseurs sont motivés par l’engagement passionné de l’entrepreneur. Les personnes engagées dans une entreprise peuvent être persuasives, ils ont l’enthousiasme et une vision entrepreneuriale solide », il y a une combinaison des thèmes de la passion, l’engagement et l’enthousiasme pour ces deux auteurs.
- Systèmes de valorisation
Phase inévitable, le fait de valoriser une entreprise est un travail délicat à cause de la diversité des rudiments enjeux. Cette valorisation passe de l’autre côté des véritables estimations financières qu’indiquent ses résultats et ses notes d’inventaires. Les notes prévisionnelles, la performance du débouché, la disposition du groupe, l’étape de croissance de la société, les obstacles à la croissance, les empêchements au seuil du débouché, les éléments clés de réussite, sont tous des éléments se penchant vers la qualité que vers la quantité favorisant considérablement la valorisation ultime de l’entreprise.
On peut donc évoquer la diversité de méthodes de valorisation dans le sens deux entreprises possédant cependant une disposition identique, ne jouiront indéfiniment d’une observation pareille. Les experts emploient toutefois quelques systèmes et exemples que l’on rencontrera de manière quasi dominante à travers toute observation de société. Par conséquent, les complexités dans la question de valorisation de sociétés demeurent peu dans l’emploi du système mais dans la sélection de celui-ci dans le sens où chacun des moyens s’adapte à une disposition déterminée de sociétés.
La valorisation d’une entreprise signifie l’évaluation de la qualité financière d’une société en considérant les éléments comptables poursuivis et de la performance de croissance de l’entreprise. Néanmoins, le but de la valorisation est à peine semblable, et ainsi la méthode est aussi contrainte. On constate :
- Le calcul de valeur financière « patrimoniale » financé par le dirigeant de société pour déterminer sa propriété à un temps T,
- le calcul de valeur financière d’un objectif pour une intervention de Fusion Acquisition,
- le calcul de valeur financière d’une « start-up » en stade de décollage par un opérateur d’investissement pour une obtention de rations,
- le calcul de valeur financière d’une entreprise pendant une rotation de table « pré-IPO » qui se fixera notamment sur la performance de conception de valeur de l’entreprise.
Malgré cette diversité de buts, une stabilité est mise en évidence. Dans n’importe quelle étape de croissance, de domaine, de performance de développement de l’entreprise, le fait de valoriser doit accorder l’évaluation financière du montant qu’un individu somatique ou psychique devrait payer pour atteindre la totalité du fonds de l’entreprise. C’est par la suite, quand la valorisation de la totalité du fonds sera effectuée, que l’on réglera le coût suivant le but et les systèmes (obtention d’une masse de charges fournissant moins de retenue, dessaisissement de rations indiquant la majeure partie des privilèges de suffrage,…).
Dans les circonstances, on constate deux méthodes fondamentales permettant d’expertiser une entreprise. Chaque méthode est presque employée par les experts et a presque une influence sur la valorisation ultime selon le domaine et de la grandeur de l’entreprise. On a la méthode mathématique actuarielle qui valorisera l’entreprise depuis sa faculté à produire à moyen terme des reflux de bénéfices (marges brutes d’autofinancement, profits,… Il y a aussi la méthode comparative valorisant une entreprise depuis des renseignements sur des entreprises montrant une disposition semblable (activités semblables, coordonnées, éléments financiers d’adversaires,….)
Les capitaux initiaux sont en général trouvés par l’entrepreneur et lui permettront de sponsoriser son programme familial ou amical : c’est le fonds de contigüité. Des profits fiscaux subsistent pour les gens qui cotisent au fonds d’entreprises. En ce qui concerne les start-ups ayant des programmes d’expansion à l’étranger et prouvant la sollicitation des fonds extérieurs, il est peut-être mieux d’entrer en relation avec des opérateurs d’investissement susceptibles de les rassembler avec d’autres opérateurs d’investissement d’Europe ou des Etats-Unis.
La particularité du financement capital-risque, modalité de subvention du changement total, est basée conformément à nous sur l’importance de la confusion affrontée par les acteurs de capital-risque et chefs de start-up : en général, ils ne peuvent pas solliciter les instruments de l’aléa, aux éventualités objectives pour l’étudier. La prose accordée au financement capital-risque, qui soutient les milieux détaillés des hypothèses de l’organisme et de la transmission dans la plupart des cas, n’évalue pas la problématique de la gestion de la confusion par les capital-risqueurs.
Le milieu détaillé de la gestion de la confusion se base sur l’union de trois méthodes rationnelles qui restaurent la diversité des mesures de valorisation de la start-up par l’acteur de capital-risque. Ce cadre est en tension entre trois extrémités. L’estimation de la nouvelle société prend avant tout un aspect objectif et ce sont les choix exacts qui se révèlent être l’instrument détaillé le plus adéquat. Néanmoins, le souhait d’appuyer seulement le milieu objectif de la confusion totale est une duperie. La grandeur de la subjectivité est illuminée d’une façon théorique par la gestion de la confusion totale par l’opinion, suggéré par Knight. Finalement, l’estimation de l’acteur de capital-risque incompétent est imitateur, intersubjective[23].
2.1. Estimation et valorisation d’une start-up[24]
L’estimation d’une start-up présente plusieurs difficultés particulières. Elle est beaucoup basée sur un engagement d’opérations que sur un groupe de travailleurs compétents. Les aléas, surtout de déficit général, sont à la hausse. En outre, les besoins des investisseurs sont aussi notamment considérables. Les montants de bénéfice indispensables ne sont pas comparables à ceux généralement constatés sur les débouchés financiers. Le but de ce document est de suggérer certains instruments pour diriger le professionnel à choisir les éléments principaux appropriés à un exemple d’estimation adéquat à ce type de circonstance et à bien appréhender les éléments qui déterminent le montant du fonds. La conception d’un modèle théorique suggéré participe dans le domaine des choix exacts. Les méthodes employées se groupent dans plusieurs contributions[25]. Comme les exemples « traditionnels » d’estimation (celui de Bates par exemple), nous suggérons un exemple à deux temps. Le premier est celui de la croissance primitive. Les investisseurs signent un premier engagement par lequel ils acceptent à commanditer irrévocablement le travail de croissance de la société durant une période limitée. Cette durée se caractérise par un usage régulier de capitaux (« cash burning ») et un éloignement d’opération remarquable de création ou d’action de commercialisation. Afin de faciliter, nous présumerons que l’établissement possède assez de fonds pour affronter ses exigences financières initiales. Ainsi à cette période, il n’existe aucun aléa d’insuffisance. Le choix de croissance est aussi irréversible. A la fin de ce premier instant, les partenaires s’opposent à la décision ci-après. Ils sont susceptibles, soit de choisir l’établissement du programme industriel, miser et débuter la création, soit de patienter et allonger la durée de croissance, soit finalement de livrer et de vendre la société. Ils possèdent en ce moment une bonne estimation du montant des ventes espéré, des écarts faisables et des éventualités de développement. Néanmoins, il existe une confusion sur le degré de valeur réalisée par quantité monétaire misée. Cette confusion restante peut suffire dans quelques circonstances afin de prouver un plan de prolongation du placement et d’espérance. L’estimation de la société à l’entrée de la seconde étape prendra la voie d’une estimation se présentant comme choix exact sans expiration. Un des avantages de l’adoption de cette méthode est d’avoir la faculté de détailler, d’un côté qu’à l’instant où les capitaux seront prélevés pour sponsoriser le placement, le montant de la société dépassera énormément le montant du fonds misé, ce qu’on constate le plus souvent, d’une autre côté que cette société demeure opposée à un aléa d’insuffisance toujours considérable.
L’avantage de l’application des exemples de choix exacts dans le fait de valoriser les sociétés de genre « start-up » est de mieux illustrer que l’appel à des montants d’actualisation importants de leurs reflux attendus ne dépend pas juste du fait que ces sociétés ne sont pas chiffrées en bourse ou que leurs fonctions endurent une liquidité médiocre[26]. En plus de ces justifications, leur montant du fonds est à la hausse à cause de la qualité de leurs reflux escomptés. De l’autre côté de cette observation, la représentation propose qu’il existe véritablement deux éléments d’aléa à considérer : l’aléa de faiblesse et l’obstacle en cas de réussite. En effet, c’est puisque ces deux éléments sont étroitement associés qu’il est compliqué de donner une discipline commode d’évaluation de la valeur du fonds. En outre, le fait de valoriser depuis un exemple de genre choix exact procure un autre chemin méritant pratiquement d’être considéré. Nous proposons ici de l’inclure dans un milieu fréquent de vision de l’avenir d’une certaine société, à connaitre deux étapes spécifiques : le premier stade se consacre à la croissance, le second se focalise plutôt vers la maturité. Les modalités employées sont fréquentes dans toute formalité d’estimation : on s’attend aux cash-flows en cas de succès, à la valeur du placement à créer dans l’avenir, à la valeur immédiate de mécanisme, la certitude donnée aux probabilités, valeur de profit et bénéfice d’aléa pour la société. On ne rencontre pas souvent les données d’attrition néanmoins elles surgissent pour évaluer le déficit compétitif suivant le temps. Sa sélection est indispensable afin de détailler le choix exact subsistant dans le montant au terme de phase initiale. Ici également, une des tentations de ces exemples qui n’infligent pas comme discipline de choix pour la mise en œuvre totale du programme, l’unique discipline de la VAN positive[27]. A l’inverse, le besoin se révèle ici plus considérable et il est très conforme à l’évidence que les sociétés qui perçoivent des fonds à la fin de leur première phase de croissance possèdent des valorisations beaucoup plus que les montants misés ou leur montant financier.
2.1.1. La notion de l’évaluation de valeur de la société
La valorisation reste, actuellement, l’un des difficultés financières les plus compliquées. Effectivement, le processus à prendre est associé en direct à l’opinion que l’on a et à la signification que l’on s’apporte de la société. Celle-ci peut être jugée en tant que groupe de professionnels concrétisés par la propriété industrielle et immobilière. Depuis de cette signification, divers systèmes d’estimation ont été suggérés, se basant soit sur la notion patrimoniale soit sur la notion du bénéfice ou des reflux, soit sur une alliance des deux méthodes. L’estimation doit parvenir à deux observations importantes :
- La souscription en proportion de l’acteur de capital investissement lui garantissant la moindre position.
- La capacité d’effectuer des plus-values à l’issue
Ces systèmes d’estimation sont en progression stable et reposent davantage sur des produits financiers[28] inédits, ils sont différents par rapport à la situation, soit il est question d’une société en fondation, soit d’une société établie.
Les sociétés en fondation s’opposent à deux difficultés à la fois ; d’abord les créateurs sont obligés d’avoir assez de fonds pour détenir la majorité et garder donc leur statut aussi longtemps que ce soit possible ; ensuite il faut qu’ils collectent assez de moyens pour cerner le projet de subvention en vue de garantir la réussite de la société.
Pendant cette étape, la participation de l’acteur de capital investissement peut s’effectuer de deux façons :
- L’accès au pair : sans un antécédent financier, l’acteur de capital investissement garde en tant que montant de la société en fondation son fonds social. Il s’engage donc, de la même manière que les créateurs, des titres en liquide pour leur montant nominal. Néanmoins, au cas où l’installation financière de l’opération exigela minorité des financiers, leur intervention peut être délibérément restreinte, toute autre participation sera comme « comptes courants associés ».
- L’accès avec versement d’un boni de diffusion : les fournisseurs de fonds cotisent des titres en liquide à un montant supérieur à leur montant nominal.
Toute intervention réalisée par l’entrepreneur au sein de l’entreprise ; un talent unique, un débouché, un certificat remis ou toute autre efficacité pouvant être valorisée, conduira à une évaluation par un chargé des participations, l’acteur de capital investissement s’ingérera dans le fonds de la société en versant un boni de diffusion, étant donné que le taux de la société aura ainsi évolué.
Dans la majorité des situations de fondation de société dans les domaines à puissances capitalistiques intenses comme les biotechniques et le secteur électronique, l’acteur de capital investissement se situe en majorité, du fait des montants considérables exigés au décollage de l’opération. Néanmoins, l’entrepreneur et son groupe seront susceptible de fortifier leur statut dans la mesure où la société produit des avantages, ils auront alors la possibilité d’employer les rémunérations et aussi, les billets de participation de titres qu’il touchera pendant la croissance de la société.
2.1.2. Les techniques
Les techniques prospectives et efficaces ont été étalées pour valoriser la société en considérant l’administration du programme dans l’avenir et des pronostics de rentabilité[29]. Parmi ces méthodes on va mentionner :
- L’action de capitaliser l’EBIT76ou l’EBITDA77,
- l’action de capitaliser le cash-flow et
- l’action de capitaliser le cash-flow rénové.
Tableau 2 : Les méthodes d’évaluation
Nom de la méthode |
Présentation | Stade | Facilité d’utilisation |
|
Situation nette |
La situation nette comptable correspond à l’actif de la société diminué du montant des dettes, c’est-à-dire le capital apporté additionné des bénéfices mis en réserve. Généralement, on valorise une société en multipliant la situation nette comptable par un coefficient compris entre 1 et 3.
|
1 à 3 | 1 | |
Situation nette |
SNR = Actif réévalué – Dettes. L’actif réévalué suppose une réévaluation des immobilisations, de l’actif circulant (stock, créances) et des éléments de passif. On multiplie cette situation nette réévaluée par 1 à 3 pour valoriser l’entreprise.
|
4 | 5 | |
Méthode de |
EBTT = Résultat net + Intérêts + Taxes + éléments exceptionnels = résultat d’exploitation – participation des salariés – amortissements et provisions EBITDA = Résultat net + Impôts + amortissements et provisions + Intérêts + éléments exceptionnels = résultat d’exploitation – participation des salariés
|
3 et 4 | 2 | |
2.1.3. Les références de prise de décisions[30]
A cette étape des liaisons entre fournisseur de fonds et entrepreneur, l’acteur de capital investissement peut déjà se tenir droit dans le programme qu’on lui a suggéré. L’éventualité de refus est très peu, hormis d’un aléa important, néanmoins il devra décider définitivement par rapport à son contrat.
La recherche sur le plan d’affaire montrera cinq indices de choix fondamentaux où s’appuiera l’acteur de capital investissement dans son denier choix : la direction, le duo marchandise/débouché, tactique, les qualités financières et les éventualités d’évacuation.
- la direction
Le venture capital attribue une énorme considération à la nature des personnes ; non juste leurs personnalités et le taux ajouté que chaque affilié du groupe pourrait fournir, mais, également l’équilibre qu’il délivre et leur puissance de groupe.
Les Américains, étant à cheval sur ce type de références, déclarent qu’un plan d’affaire et une feuille de modèle suffiraient afin de choisir un placement.
La conception des individus reste pourtant très compliquée quand l’acteur de capital investissement s’oppose à un entrepreneur junior ou seulement affronte des entrepreneurs sans connaissance de l’entreprise pourtant attestant une détermination importante.
- le duo marchandise/débouché
Tout d’abord, l’acteur de capital investissement possède une crainte fondamentale sur le lancement d’un produit ou d’une activité de valeur sur un marché porteur. En réalité, au cas où la marchandise nommée est trop raffinée et considérée trop délicate pour l’acheteur, il sera compliqué, même inconcevable de lui dégoter un débouché.
Ensuite, le débouché de destinée de la marchandise doit avoir une grandeur considérable. Effectivement, si le débouché est trop minuscule la société peut s’y étouffer puisque le bénéfice qu’elle produit ne recouvre plus ses placements. En outre, si le débouché est trop large, la société peut s’égarer vis-à-vis de ses adversaires.
Finalement, l’acteur de capital investissement s’occupera de contrôler que la valeur de développement de la société sponsorisée est au-dessus de celle du débouché dans lequel elle est attribuée à progresser.
- la tactique
La tactique choisie par l’entrepreneur doit être conforme à ses moyens, aussi humains que financiers, et examinée sous ses caractéristiques suivantes :
- caractéristique industrielle et économique : introduits la décision de l’entrepreneur par rapport à la requête à la sous-traitance.
- caractéristique commerciale : la personne entreprenant doit prouver les techniques de ses buts commerciaux, il choisira donc soit l’utilisation de ses entrelacements commerciaux personnels, soit la requête des facteurs de consentement externes.
Au cas où l’entrepreneur veut miser des débouchés à l’international, il lui faudra débuter par l’instauration de personnels commerciaux à l’extérieur ensuite par la fondation de succursales.
Si le produit est nouveau, la société doit étendre son débouché le maximum possible en commercialisant dans les marchés de consommations importantes.
- les qualités financières
L’opérateur de capital investissement possèdera trois problématiques qu’il devra résoudre :
- quel serait le probable bénéfice délivré par le programme ?
- quelle est la dimension de bénéfice favorable pour l’entreprise de venture capital ?
- à quelle altitude exposer l’entreprise ?
Au cas où le programme est rentable, l’entrepreneur aura pour obligation de garantir un bénéfice supérieur au bénéfice moyen du domaine dans lequel il s’interpose. En réalité, si le programme procure une innovation de la technologie, l’acteur de capital investissement demande de lui plus de bénéfice que celui de son débouché.
De même, les besoins de l’acteur de capital investissement seront encore plus considérables que les aléas exposés par le programme à subventionner sont crucials.
L’activité de venture capital produit en moyenne 15 à 18 % de TRI, une valeur insuffisante d’une manière relative si l’on estime que le TRI escompté dans la plupart des cas est d’une valeur de 30 %.Cette proportion est parfois dissipée quand les coûts d’administration et les acomptes sont greffés.
Finalement, l’acteur de capital investissement considèrera le taux de placement que l’entreprise peut procurer et les formalités de subvention et principalement le timing de subvention.
- les éventualités d’évacuation
L’évacuation du fonds de l’entreprise en question est une phase importante pendant la subvention par venture capital. C’est la raison pour laquelle le fournisseur de fonds attache une énorme valeur à la liquidité prochaine de son intervention et est dans l’obligation de lui garantir le maximum d’évacuation.
2.2. Financement capital-risque et évaluation de valeur
Les placements en quête et croissance annoncent la position stratégique des sociétés géantes et représentent la base fondamentale de réalisation de « valeur client ». Effectivement, vis-à-vis d’une compétition mondiale, les acheteurs acquièrent sur les rayons et ne se révèlent plus être les bailleurs de fonds de programmes innovants. La société géante doit ainsi changer son enchère à une valeur supérieure à celle du débouché, en soutenant des placements en quête et croissance. Ces placements aboutissent à des obligations surgissant dans l’immédiat pour des revenus variables et écartés dans le temps. Les possesseurs d’actions prévoient ainsi une détérioration du bénéfice financier beaucoup plus capital que les obligations de quête et croissance sont à la hausse ou qu’elles donnent un poids volumineux à l’actif dans le cas d’une accélération. Face à ces situations, il est clair que le profit escompté par les fournisseurs de fonds vient décevoir les chefs dans leur intention d’entamer des techniques qui visent à produire des nouveautés pour deux causes fondamentales :
- premièrement, l’abondance réalisée s’oriente vers les investisseurs au désavantage d’une identification des chefs et des meneurs de programmes ;
- deuxièmement, ce profit surgit pour se délivrer de stratégies humaines et matérielles qui pourraient être placées en faveur du programme conduisant à la difficulté de la réalisation des exploits à cause de l’insuffisance de l’équipement.
L’administration des « spin-off » se distingue de l’administration des programmes puisqu’à travers ces nouvelles croissances se substituent des associés ayant des déterminations différentes et supplémentaires selon les phases de développement. Au cas où la souplesse est la caractéristique réelle de ce processus efficace, le problème se pose tout d’abord sur l’ajustement de profits entre possesseurs d’actions, chefs et employés. Les investisseurs en fonds tiennent donc une fonction importante d’escorte. Manager dans leurs interventions, ils assument l’aléa financier des activités de croissance, et notamment ils tiennent une fonction de modération entre les secteurs. Leur performance à diriger les engagements leur accorde l’alignement des profits de chacun. Ils se révèlent être les constructeurs d’un engineering financier dont ils possèdent la surveillance, ce qui leur donne la capacité d’intervenir sur le milieu géographique du fonds et de faire valoir ou de pénaliser les profits de chaque acteur. En outre, la position des entreprises de venture capital accorde à leurs fournisseurs d’actions le privilège de réduction fiscale entrainant le montant du fonds à des tailles suffisantes. A travers cette prévision de bénéfice et d’aléas compromis par les acteurs de capital-risque surgit la problématique de la valorisation financière dans les choix de placement. Concevoir son idée est une technique réelle, plus les projets financiers sont difficiles à expliquer et les outils d’estimation sont compliqués. Ces outils sont l’origine de traductions puisque l’évaluation de la valeur s’appuie sur des suppositions instinctives définissant toutefois la l’abondance virtuelle des secteurs et en particulier leur dissolution instantanée. En réalité, d’une part, nous possédons un groupe dirigeant qui essaye de réduire la dissolution pour garder d’une manière éventuelle la maitrise ou le minimum de retenue de la société, tout en imitant l’optimisation du taux des titres récemment diffusés. D’autre part, nous constatons les acteurs de capital-risque ayant pour but de réduire l’évaluation de valeur financière de la société en espérant garder la majorité du fonds à petit prix sans même décourager le groupe dirigeant.
2.2.1. Moyens
Dans le financement capital-risque, le choix de placement et les références d’évaluation de valeur sont manifestement qualitatifs et accordent un vaste espace à l’activité du fournisseur de fonds. Les techniques d’évaluation sont basées sur des antécédents facteurs objectifs et notamment sur des projets financiers d’une jeune société, suggérant des nouvelles marchandises et s’élargissant sur un débouché surgissant. Dans ce cas, l’efficacité des projets demeure douteuse conduisant à fixer l’observation sur des références qualitatives : le charme du débouché ciblé (grandeur, évolution, rations de débouché, acheteurs,…), le groupe et les profits compétitifs (agents de caractérisation, obstacles à l’accès, certificats, engagements de privilège, surveillance de la répartition, time to market,…). Afin de compenser à la confusion des projets, le capital-risqueur emploie des actions mobilières constituées qui, après, lui accordent d’approprier l’évaluation à l’accès par rapport à la croissance de la société. A l’aide de ces processus, le fournisseur de fonds est susceptible, par exemple, de diminuer le taux à l’accès en cas de forte éloignement des créations de la société de ses pronostics ou bien de se garantir d’être capable de reprendre en revanche son premier placement s’il y a dessaisissement. L’effet de la dissolution se révèle très important. Les sociétés sont sponsorisées en divers stades (reprises) rendant sérieux les impacts de dilution pour le possesseur d’actions. Ainsi, l’évaluation de valeur d’accès doit considérer la dissolution future préparée et doit être rectifiée d’une manière corrélative. Pour réaliser cette évaluation, on différencie en général les sociétés en invention de celles déjà établies. Dans le cas des sociétés biotechnologiques, on recourt à des méthodes particulières de valorisations qui ne sont pas entamées dans ce texte.
2.2.2. Contrôle de la réalisation de valeur[31]
Etant question de sociétés spécifiquement nouvelles, à forte capacité et montrant d’importants obstacles à l’accès, le dispositif fondamental de réalisation de valeur demeure dans le développement constant de ces sociétés sur leur débouché. Ce développement s’évalue par plusieurs indices financiers et quelquefois extra-financiers appropriés selon le domaine d’activité de la société en question (quantité d’employeurs, quantité d’endroit de présence, application des acheteurs, bénéfices par acheteur,…).
Le deuxième dispositif d’évaluation de la réalisation de valeur est l’élargissement du nombre de valorisation de la société entre l’accès et l’évacuation du fournisseur de fonds. Ce développement peut provenir particulièrement de :
- la considération d’actifs qui ne sont pas corporels dominants sur le monde de la société (insuffisance ou importance de progrès de la technologie, valeur des certificats, appréciation des groupes) ou encore de
- la progression propice de ses aspects financiers (grandeur de la société, existence dans diverses nations, l’aspect bénéfique). Ce nombre est chiffré sur l’origine de la valorisation de la société comme ce qui est précisé dans l’engagement de placement ou de dessaisissement et d’un indice de modèle dominant (le montant des ventes par exemple).
Ce second élément ne s’intègre pas autant que le premier et il est en général compliqué à évaluer. Le capital-risqueur possède donc deux références d’estimation de la réalisation de valeur des sociétés :
- l’évolution des indices clés de la société,
- l’élargissement du nombre d’évaluation de valeur.
- Evolution des indices clés de la société
La concurrence du capital-risqueur au développement des indices clés (montant des ventes, quantité d’acheteurs de modèle, effets,…) s’effectue par l’appui qu’il procure aux promoteurs de la société. Le capital-risqueur est donc susceptible de participer favorablement :
- à la distinction des indices les plus fondateurs de valeur pour la société (suivant surtout des grands clients),
- à la décision et à l’établissement des méthodes financières, mercatique et de constitution qui favorisent l’évolution de ces indices,
- à la fortification aléatoire du groupe dirigeant, à la décision des apparences et des individus, à la concession de rémunérations ou de billet de fondateur de société afin d’encourager le groupe et le rendre fidèle,
- au « business development » afin de simplifier faciliter l’inauguration de comptes et la croissance d’acheteurs de modèle.
- et plus souvent, à la gestion de société.
La participation du capital-risqueur repose sur l’orientation et la simplification des activités des leaders pour une réalisation fermement fondatrice de valeur et non sur l’interférence dans l’administration de la société. Cette participation consiste donc à la croissance de la société.
- Elargissement du nombre de valorisation
Le fournisseur de fonds, dans ses rôles de représentant social, peut également consister à l’expertise du nombre de valorisation. Son statut à la réunion de gestion ou de contrôle de la société lui accorde de dominer sur la méthode afin de laisser celle-ci se situer sur une place prépondérante ou inévitable sur les débouchés expédiés. Il est capable de privilégier une méthode de développement intérieur ou extérieur, de participer à la distinction et aux décisions des cibles d’obtentions aléatoires : adversaires, opérateurs près et/ou éloignés de la série de valeur. Afin d’arranger son évacuation, le fournisseur de fonds peut également présenter une fonction active. Il est susceptible de « préparer » la société à la liquidation et de contribuer à la quête de clients stratégiques (établissement d’un processus organisé avec la participation aléatoire d’un établissement bancaire de business). Grace au support de l’investisseur, la société est conduite à être réhabilitée par un client qui lui attribuera plus de valeur « stratégique » que celle ordinairement constatée pour des échanges pareils. Néanmoins, pour les sociétés en invention ou établies, le taux de l’augmentation du nombre de valorisation à l’accès et à l’évacuation est peu souvent significatif. En vérité, pendant la phase initiale, la valorisation à l’accès est parfois influée par des références en rapport à la détermination du groupe dirigeant. Le nombre résultant de cette valorisation est factice et ne peut être confronté seulement avec le nombre à l’évacuation qui lui n’est pas influée par ces références. En outre, les nombres peuvent manifestement changer au cours du temps à cause des agents extérieurs comme le milieu économique ou les rations de débouché.
2.3. Principe de valorisation financière[32]
Les investisseurs en capital-risque s’inquiètent surtout du coût qu’ils doivent payer pour avoir une portion du fonds, du coût auquel ils pourront rétrocéder leurs titres et de l’instant auquel ils pourront les liquider. C’est au alentour de ces trois indices que s’établit la valorisation et un contrôle externe des aléas intérieurs et extérieurs au programme peut parvenir à une exagération engendrant l’inefficacité du placement ou aussi à une minimisation. Cette sous-estimation surgit quand le fournisseur de fonds essaie de se devancer de l’aléa associé à l’insuffisance de renseignement. A travers les programmes technologiques, la minimisation est parfois comparable aux dirigeants de programmes les plus rassurants qui en sont découragés.
Quand l’on questionne les investisseurs en capital-risque sur la composition de leur choix de placement, on distingue brièvement deux lignes : la quête de programme à forte puissance de bénéfice pour un aléa contrôlé[33].
- Estimation du bénéfice escompté d’un programme
Il est tout d’ abord évalué suivant le charme du débouché où se situe le programme et, ensuite, par les plans financiers. Un programme est fortement valorisé qu’il entre sur un débouché en cours de développement et que les plans financiers sont contrôlés.
- Estimation de l’aléa d’un programme
Les éléments tenant à l’estimation des aléas par les fournisseurs de fonds sont, premièrement, la performance managériale du responsable de programme et de son groupe dirigeant, deuxièmement, les intérêts compétitifs fournis par le profit marchandise. Soulignons que le l’élément initial influe le second et qu’ils sont autonomes.
Par conséquent, la valeur du groupe dirigeant est la première référence à laquelle les investisseurs de capital-risque accordent plus d’attention. Ils estiment surtout un groupe qui a une technique nette et des méthodes habiles du point de vue débouchés et techniques.
- Les techniques de valorisation des nouveaux programmes par les cash-flows
Il est complexe de valoriser un programme au cas où l’évaluation repose sur le débouché et où elle dépend de chaque individu. Cependant, dans un milieu plaçant les investisseurs de capital-risque en compétition, les exemples d’estimation par le fait d’actualiser les cash-flows escomptés procurent une première résolution qu’il faudra après couper avec la technique des nombres.
Les techniques des cash-flows modernisées ou « discounted cash-flow », sont conformes aux programmes techniques puisqu’elles sont ajustées sur les reflux de fonds accessible appelés « free cash-flows ». Plus exactement, on constate les reflux de fonds accessible à l’établissement de ceux qui sont accessibles aux fonds propres. Dans le cas initial, il est question de reflux indépendants de toute espèce de rétribution ; la mesure de valorisation regarde plus les fournisseurs de fonds propres que les bailleurs de capitaux. Dans la seconde situation, il est question de reflux clairs de l’organisme de la créance ; cette mesure de valorisation regarde ainsi les fournisseurs de capitaux propres.
Une minimisation des prix veut dire aussi une cause d’aléa et engendrera une dévaluation du programme. L’évaluation des cash-flows accessibles au fond prévisionnel net doit s’additionner de la valorisation ultime. C’est en modernisant ces deux dimensions et en les ajoutant que nous aurons une évaluation de valeur financière générale du programme.
- Les techniques d’évaluation des nouveaux programmes par les nombres
Lors de l’application de la technique des cash-flows modernisés auprès des sociétés de grande technologie, il est souvent compliqué de réaliser une estimation à cause des déficits répétitifs au départ de lé fréquence et de l’explication de la valeur finale. Les investisseurs cherchent à employer dans la plupart des cas la technique des semblables pour mesurer les nombres de valorisation que l’on appelle « comparable trading multiples ». Cette technique réside sur la valorisation escomptée de la société en employant un nombre de valorisation aux bénéfices produits. Le nombre le plus célèbre, mais certes le moins approprié aux sociétés d’évolution, s’avère le PER ou « price earnings ratio ».
En revanche, il y a beaucoup de nombres de valorisation que des explications des bénéfices de la société en découlent. Par rapport à cette vaste décision, nous garderons les trois références ci-après en tant que les plus habituellement employés :
- le montant des ventes ;
- les avantages avant annuités, impôts, affaiblissements et acomptes;
- les avantages avant annuités et impôts.
On peut aussi mesurer un nombre de valorisation par rapport aux autres références telles que la somme de l’actif ou suivant des dénombrements (quantité d’acheteurs, quantité de textes regardées sur un site web, …), néanmoins ces évaluations aboutissent à être abandonnées par les spécialistes en faveur des références financières. La décision du calcul se réalisera selon le domaine d’activité de la société, de l’aléa et de la difficulté à envisager les revenus.
Naturellement, la technique des nombres s’appuie sur la décision de sociétés semblables, le genre de bénéfices et de la durée à prendre compte avant l’évacuation. Cette durée est conforme à l’instant pendant laquelle l’investisseur songe à l’accompagner. Elle dure 7 ans en moyenne, en introduisant les sociétés où les capital-risqueurs sont « collés ». Les société à réussite sont escortées pendant une durée de 3 ou 4 ans par rapport à la capacité réactive du domaine. Comme dans le secteur des logiciels, la durée d’accompagnement sera de trois années pourtant dans les secteurs biotechnologiques elle sera capable d’aller au-delà d’une décennie. La durée à prendre en compte est ainsi celle de l’époque d’évacuation envisagée.
- Rapport entrepreneur/meneur de Programme et opérateur de capital-risque/fournisseur de fonds
L’ouverture d’une nouvelle entreprise technologique nécessite la combinaison de puissances et de capacités différentes. Il faut réunir des facteurs qui devront s’additionner et s’introduire pour parvenir au but : une société fondatrice de valeur, qui s’affilie dans la période. Après une durée de maturation presque durable, arrive le temps pour l’entrepreneur de persuader et de rassembler le milieu extérieur sur son programme et, au cas où cela arriverait, les fournisseurs de fonds. Le rapport débutant donc entre entrepreneur et fournisseur de fonds doit collaborer à la réussite de la société.
3.1. Les origines du rapport investisseur/entrepreneur
Pendant des stades d’estimation, l’opérateur de capital-risque va essayer d’abord, de comprendre l’aléa risqué et ensuite, à considérer le taux de valeur susceptible d’être fourni par la société. L’engagement établi entre l’entrepreneur et le capital-risqueur expliquera le compromis de la subvention tout en structurant suivant les contextes l’évacuation du fournisseur de fonds.
3.1.1. L’aspect polymorphe de l’aléa
Totalement incertain à toute activité financière, l’aléa est propre dans n’importe quel choix en venture capital. On constate deux types d’aléa :
- Les aléas pendant des stade de la subvention par venture capital.
- L’aléa propre au programme (appelé encore Business Risk) :
Il se rattache à la progression (positive ou négative) du programme de croissance. Il est surtout responsable de la phase de croissance de la société et du caractère du programme à sponsoriser (technique ou non technique, la particularité des actifs, l’aspect certain même incertain des actifs9 …). Ce genre d’aléa peut être lié aux problèmes de management et même l’inaptitude des promoteurs à diriger ce programme innovant de croissance ont exposé les références d’aléa par étape d’évolution. En outre, le programme peut être cause d’externalité, surtout pour un service de venture capital de source industrielle, appelé « corporate venture » (ou CV). On estime donc cette externalité à l’aune de l’assemblée d’activité du CV et est ainsi capable de soit être affirmative au cas où la marchandise étalée lui est supplémentaire, soit à l’inverse négative au cas où la marchandise en est un substitut[34]. Cet aléa regarde plus l’investisseur que la société sponsorisée pouvant être prisonnière d’un CV qui ne souhaiterait s’introduire dans un mécanisme de démolition fondatrice schumpetérien si l’externalité est négative, arrêtant donc sa subvention. L’aléa financier. Ses propriétés s’associent avant tout au caractère de la subvention par venture capital : un placement minoritaire en capitaux propres dans le fonds de sociétés moyennes non chiffrées ayant un programme de croissance à sponsoriser présente plus de risques qu’un placement majoritaire en capitaux propres ou une subvention minoritaire en créances. Il est fortifié suivant les aspects et le cas quasi particuliers des placements effectués : non liquidité des actions, insuffisance de techniques de surveillance de l’intervention, subvention dont la période repose sur des capacités d’évacuation du fonds,… . Cet aléa est également combiné aux problèmes affrontés par le service de venture capital pour comprendre avec assurance la valeur produite à la fin par ce genre de placement. En réalité, ces placements se caractérisent par le grand doute existant plus à travers des attentes d’avantages qu’à travers la répartition de perspective de ces attentes de gains[35].
- L’aléa du management :
Kaplan et Stromberg ont illustré, suite à l’analyse d’un exemple d’OCR américaines que cet aléa est un incertain principal à estimer dans le choix en capital risque[36]. Il peut posséder diverses sources notamment combinées à deux cas de doute informationnel. La considération du déséquilibre de renseignement est essentielle dans l’appréhension de l’application du venture capital. En outre, le cas informationnel dans les engagements de subvention des start-up est précisément le contraire du renseignement exact. Les applications contractuelles en venture capital se rattachent à la présence de déséquilibre de renseignement.
- La circonstance de choix opposé : se présente, premièrement, quand dans un échange, un des deux secteurs conservent des renseignements privés sur des facteurs capables de toucher les revenus exacts que l’autre secteur peut retirer de l’engagement et deuxièmement, quand juste ceux qui conservent des renseignements privés capable de défavoriser fortement l’autre secteur consentent à « co-contracter ». Elle peut se manifester pendant le stade d’estimation et de choix, par l’établissement de mauvaises évaluations par rapport à la faculté du programme de croissance de réaliser la valeur attendue manque de renseignement de valeur. Les difficultés de choix opposé reposent surtout sur la phase d’évolution et le domaine à sponsoriser. Dans une méthode plus particulière, il parait que le fait de se regrouper (syndication) est une méthode de limitation des cas de choix opposé. Syndication signifie la distribution de la contribution financée entre divers opérateurs de capital-risque. Cette résolution ultime est principalement rationnelle pour les sociétés en fondation. Cette modalité de subvention est généralisée après suivant d’un côté, la valeur des capitaux perçus et d’une autre côté, les divers mouvements de subvention. Le fait de se regrouper peut amener à un meilleur choix des programmes de placement et à une meilleure surveillance surtout par une meilleure distribution des informations[37].
- Les circonstances d’aléa moral traduisant «un opportunisme post -contractuel qui naît du fait que certaines actions requises ou souhaitées par un contrat ne sont pas directement observables ». On distingue la totalité des cas qui est susceptible d’entrainer des batailles entre l’opérateur de capital-risque et le promoteur de PME : attitude habile venant du promoteur, stratégie de placement sous-optimale. Le fournisseur de fonds établira un engagement dont les conditions permettront de réduire certaines conditions compromises, compte tenu des aléas d’organisme et ceux proportionnels au programme à sponsoriser. Les inventeurs constatent deux attitudes habiles : l’habileté de management et l’habileté compétitive. La première se présente par des payements de quête et croissance trop chers, des paiements salariaux trop considérables ou la sauvegarde de promoteurs peu compétents et entraine l’appauvrissement direct de l’OCR[38]. L’habileté compétitive engendre l’augmentation de la compétition industrielle vis-à-vis de la société sponsorisée par l’OCR en passant par l’évasion de l’entrepreneur dans une autre société, le dévoilement de celui-ci de la technique étalée ou aussi son unique fonction de suggestion près de l’adversaire. Finalement, il y a une probable manœuvre du renseignement par l’entrepreneur qui est capable de parvenir jusqu’à dissimuler ses décomptes pour exposer des effets courtermiste correspondant aux espérances du VC. Ces aléas de management proviennent de deux aspects capitaux de l’entrepreneur : il est en général un savant parfait pourtant à peine un meilleur gérant et, en particulier, il ne possède pas des inquiétudes semblables à l’OCR. En réalité, il ne vise pas juste une reprise financière de son programme mais également une reprise dans le sens de fonds humain : réputation de gérer son activité, avantage scientifique, évaluation boursière de son métier.
- Les aléas propres à l’évacuation du fonds
Dans ce cas, on constate :
- L’aléa de déficit : se traduisant effectivement par «la mort de la participation ». En ce sens, l’opérateur de capital-risque comme créancier résiduel possède moins de probabilité de récupération des totaux misés ;
- L’aléa de non liquidité: Le non liquidité se présente à la fin d’une expiration spéculative préparée par le fournisseur de fonds. Elle se manifeste par l’incapacité pour le fournisseur de fonds d’évacuer du fonds et même, d’acquérir la valeur attendue de plus-value. Cet aléa de non liquidité a sévèrement sanctionné le mécanisme des services de venture capital : en réduisant la restitution des ministères des investisseurs, en les interdisant de contribuer à des mouvements de subvention et finalement, en limitant la capacité financière de cette opération financière. Cet aléa repose sur plusieurs éléments : la circonstance et le degré de liquidité sur les débouchés comptables, le degré d’évaluation dans les accès dans le fonds, l’insuffisance de capacité de croissance de la société après la faillite du programme de croissance…
3.1.2. Gestion du rapport et fondation de valeur
La détermination d’un contrôle actif de la contribution rend l’opérateur de capital-risque possesseur d’actions particulier. Les suppositions de déséquilibre de renseignement, d’attitudes habiles, de doute poussent le fournisseur de fonds à gérer l’activité de l’entrepreneur par plusieurs obstacles. La structure de gestion établie par le fournisseur de fonds est une association quasi achevée de ces processus de suivi. Par l’instauration d’une association de partenaires, le fournisseur de fonds règle la structure de la société et l’inclut dans un mécanisme propice à la fondation de valeur. Un double mécanisme contractuel associe le fournisseur de fonds et le promoteur : près d’un engagement clair créé sur diverses conditions juridiques et financières, s’installe un engagement équivoque créé sur un mécanisme plus informel dans lequel les principes de certitude et de participation sont au milieu de mécanisme établi.
3.2. Participation active et conflits entre actionnaires
L’attention est principalement mis sur la relation post-investissement entre l’investisseur et l’entrepreneur, notamment, comment, et dans quelle mesure, les parties règlent les intérêts individuels dans les accords avec les actionnaires et les statuts de l’association. Le capital-risqueur peut s’assurer que ses intérêts en tant qu’investisseur sont pris en charge avec les documents juridiques. Il est démontré que, en fait, les investisseurs protègent leurs intérêts au moyen de contrats. Il semble que les caractéristiques spécifiques à un potentiel d’investissement, jouent un rôle important pour ce qui est de la règlementation entre les parties.
Néanmoins, les investisseurs peuvent ne pas s’axer uniquement sur le contrôle de gestion. Le développement en portefeuille de leurs sociétés vise à mettre en jeu une grande quantité de ressources. Une grande variété de ressources et de compétences sont fournis aux sociétés dans lesquelles ils investissent. Les investisseurs contribuent ainsi à réduire la pénurie de ressources et de compétences qui sont souvent rencontrées par les petites et moyennes entreprises, principalement dans des start-ups.
Les capital-risqueurs sont actifs dans le conseil d’administration, où ils peuvent fournir des ressources, tout en influant sur les décisions de l’entreprise en conformité avec les intérêts personnels. Les capital-risqueurs sont également des actionnaires actifs qui bénéficient des ressources supplémentaires de l’entreprise avec des compétences techniques, des capacités de gestion, des réseaux et de l’expérience.
Les entrepreneurs ont des intérêts indépendants et distincts dans toute entreprise, ce fait peut à son tour conduire à des divergences. La prise de décision peut-être raison de désaccord sur les décisions cognitives spécifiques, et est, par conséquent, bénéfique pour l’entreprise. L’un des principaux avantages d’avoir des compétences diverses dans le cercle de la propriété est la réalisation d’une meilleure prise de décision. Pourtant, cela dépend de la synergie dans le cercle de la propriété, les conflits peuvent devenir affectifs, en cas de désaccords, s’ils ont lieu trop souvent et que les parties n’arrivent pas à trouver un terrain d’entente. Dans les petites et moyennes entreprises avec des investisseurs, les conflits émotionnels dans le cercle de la propriété peuvent devenir un problème majeur. Le conseil d’administration est souvent constitué de deux entrepreneurs et des investisseurs, dans ce cas, un conflit dans le cercle de propriété peut avoir un effet sur la capacité de l’investisseur à collaborer. Outre, l’investisseur de l’entreprise et l’entrepreneur ont des compétences qui, dans le bon sens, peuvent-être irremplaçables et inestimables. Il peut avoir des conséquences graves pour la société si l’autre partie cesse de collaborer.
- CONTEXTUALISATION
L’entrepreneuriat est un enjeu mondial. La création de pépinières d’entreprises a été l’un des outils adoptés pour favoriser les projets d’entreprise de haute technologie. On s’attend alors à la croissance des entreprises. Il peut également réduire le risque d’échec pour les petites entreprises
Dans partie exploratoire, nous allons tenter de rapporter l’efficacité pratique du projet d’une entreprise start-up d’exploitation à envergure mondiale, innovant dans le secteur de la haute technologie et de fabrication. Il s’agit pour nous d’évaluer le potentiel de croissance des nouvelles entreprises de haute technologie à travers des analyses des caractéristiques entrepreneuriales de leurs fondateurs. Les deux objectifs poursuivis sont les suivants:
- fournir aux gestionnaires un aperçu sur la façon dont le potentiel de réussite d’une entreprise pourrait être augmenté,
- fournir une meilleure compréhension de la façon dont une entreprise start-up pourrait être entretenue sur la base des connaissances de démarrage.
Les résultats suggèrent que les caractéristiques du fondateur pourraient influencer de manière significative le potentiel de succès d’une entreprise en processus de démarrage, dépendant donc de la personnalité entrepreneuriale, la motivation pour démarrer l’entreprise, les compétences managériales, et l’approche vers l’innovation.
- Méthodologie et échantillons
Des cas exploratoires sur des entreprises françaises en phase de démarrage ont été menées au cours de la phase de test pilote de l’étude. Les données ont été recueillies au moyen d’entrevues en profondeur sur la base de questions structurées.
L’entrevue structurée est proposée comme méthode de collecte de données auprès des participants sélectionnés avec présélections alternatives selon des questions fermées ou ouvertes.
Les données recueillies lors des entrevues consistaient en des citations directes des créateurs d’entreprises au sujet de leurs expériences, leurs opinions, leurs sentiments et connaissances.
Les questions portaient sur comment ces personnes soutiennent leurs entreprises respectives. Toutes les personnes interrogées étaient des fondateurs d’entreprises de haute technologie, y compris les fondateurs d’entreprises graduées et d’entreprises actuellement en processus « d’incubation ». Les entreprises appartenant aux quatre catégories suivantes ont été incluses:
- électronique,
- technologie de l’information et des télécommunications,
- biotechnologie et ingénierie.
Dans l’ensemble, des questions ouvertes ont été présentées aux personnes interrogées afin de susciter des discussions sur la nature des les entreprises. Toutes les conversations lors des entretiens ont été enregistrées ou écrites pour une transcription antérieure. Les entrevues structurées visent à identifier les facteurs critiques et les risques du projet entrepreneurial selon quatre dimensions:
- la personnalité de l’entrepreneur,
- la motivation de départ sur le projet entrepreneurial,
- les compétences de gestion et
- l’approche sur le processus d’innovation selon la triade produit/service/marketing.
Les répondants ont indiqué sur une échelle de 7 points le degré de désaccord ou d’accord de chacun de ces éléments, où :
- 1 : représente « fortement en désaccord »,
- 4 : représente un désaccord ou un accord neutre à la déclaration et
- 7 : « fortement d’accord ».
Certaines déclarations ont été formulées négativement afin de prévenir la fatigue du répondant. Les scores pour les éléments connexes ont été additionnés pour arriver à un score additionnés pour chaque attribut des caractéristiques des entrepreneurs.
Pour éviter le problème de la pluralité des nombres d’éléments dans chaque attribut, nous avons normalisé les scores de tous les attributs pour faciliter la comparaison. Ensuite, nous les avons analysés pour identifier clairement les forces et les faiblesses des quatre fondateurs. Nous avons soustrait tous les scores normalisés par 4 (voir tableau 3). Comme on le voit dans le tableau 3, nous avons codifié les données à l’aide de :
- « + » pour indiquer une intention forte de l’entrepreneur,
- « N » pour indiquer une réponse neutre, et
- « – » pour indiquer une plus faible intention.
Cette idée d’évaluation de la matrice est inspirée par une technique utilisée en matière de spécification de conception d’activité d’un produit (Institut des Ingénieurs de Production, 1984). Cette technique permet une comparaison préliminaire des cas. Ainsi, les résultats présentés comme +, -, et N sont utilisés pour évaluer les créateurs d’entreprises et prédire le succès ou l’échec de leur entreprise durant les périodes de démarrage rapide.
La personnalité entrepreneuriale a été mesurée par cinq échelles :
- La capacité à l’innovation,
- le besoin de réalisation,
- la propension de prise de risque,
- le locus contrôle,
- l’attitude et l’esprit d’entreprise.
La motivation pour le démarrage d’une nouvelle entreprise a été mesurée par des éléments selon quatre échelles :
- l’opportunité personnelle du démarrage d’une entreprise,
- la direction stratégique et les intentions,
- les buts et objectifs,
- et la vision globale de l’entrepreneur.
Tableau 3 : matrice d’évaluation pour les cas
Firme A
|
Entreprise B
|
Entreprise C
|
Entreprise D
|
|
Les caractéristiques de l’entrepreneur
|
||||
Innovation mondiale
La nécessité d’assurer La propension de prise de risque
Locus de contrôle
Vision
|
–
+
+
–
+
|
+
+
+
–
+
|
+
+
+
+
+
|
+
+
+
+
+
|
Motivation pour démarrer une nouvelle
venture
|
||||
Opportunité personnelle
Attitude envers l’esprit d’entreprise Direction stratégique et l’intention
Buts et objectifs
|
+
–
+
+ |
+
+
+
+ |
N
N
N
+ |
+
+
+
+ |
- Etudes de cas
Pour évaluer les facteurs qui influent pour l’amélioration le risque entrepreneurial et les performances des nouvelles entreprises, quatre entreprises en start-up, anonymes, ont été choisies.
Les participants comprennent des entreprises graduées, des entreprises non-reconnues et des entreprises abandonnées. En conséquence, quatre d’entre elles étaient prêtes à procéder à l’étude approfondie des interviews.
Les études de cas comprenaient des analyses sur leurs antécédents de croissance du début. Le cas des entreprises non-reconnues ont été établis sur cinq ans.
Cette étude de cas exploratoire sur l’évaluation de la performance et du risque des start-ups en croissance considère :
- la personnalité de l’entrepreneur,
- le procédé d’innovation,
- les compétences de gestion, ainsi que
- l’approche produit/service/marché.
La personnalité de l’entrepreneur est mesurée par l’innovation mondiale. La motivation pour démarrer l’entreprise a été mesurée par :
- le désir personnel,
- l’attitude envers l’entrepreneuriat,
- l’orientation stratégique, et
- l’intention et les objectifs.
Les compétences de gestion ont été mesurées par :
- la gestion des personnes, des compétences en leadership,
- la négociation compétences,
- la gestion du changement,
- la réflexion stratégique,
- les techniques de présentation,
- les techniques de documentation,
- l’assurance qualité,
- le contrôle des coûts,
- la gestion des risques,
- la perspective internationale,
- la résolution de problèmes,
- les compétences et la gestion efficace des équipes.
L’approche du processus de produit/service/marché/innovation a été mesurée en fonction des travaux de Franklin (2003) incorporant six niveaux:
- (1) « Je suis un suiveur de tendance », suivie d’une approche « moi aussi »,
- (2) « J’ai toujours beaucoup d’imagination dans la tête avec peu de références au monde extérieur »,
- (3) « Je suis souvent activement à la recherche d’une réponse à un problème connu »,
- (4) « La plupart de mes idées résultent d’une étude de marché »,
- (5) « Je trouve généralement une nouvelle façon de rénover ce qui existe»,
- (6) « J’ai toujours immédiatement su reconnaître la signification du hasard à des moments fortuits ».
Enfin, la performance de l’entreprise a été mesurée par la croissance des ventes, l’emploi du temps du fondateur étant prise en considération dans le démarrage du programme jusqu’à l’heure actuelle (au moment de l’entrevue structurée).
- Résultats et analyse
- Cas 1: Firme graduée A
Le fondateur de l’entreprise fondateur a fait ses études aux Etats-Unis avec 26 ans d’expérience dans la gestion de l’industrie. Pour être un entrepreneur efficace et débuter son aventure entrepreneuriale, il a procéder à l’expansion de son entreprise.
L’analyse des données obtenues par entretiens structurés ont montré que le fondateur A a eu le score le plus bas par rapport à l’esprit d’innovation, parmi les quatre. Il est réticent par rapport au fait d’adopter de nouvelles façons de faire les choses. Il se fie rarement et est généralement n’est ambitieux quant à l’acceptation de nouvelles idées et de nouvelles innovations que lorsqu’il ne voit que la grande majorité des les gens autour de lui les adoptent.
Il a tendance à penser que les anciens procédés constituent la meilleure façon de réussir. Il n’est pas un suiveur de tendance et suit l’approche « moi aussi » vers le processus produit / service / marché / innovation. C’est peut-être une des raisons pour lesquelles ses ventes ont chuté de façon spectaculaire au cours des dernières années. Il ne semble pas se rendre compte que l’amélioration, les idées nouvelles et innovantes ne peuvent pas être négligées dans l’environnement contemporain compétitif. En outre, il montre une intention positive de diriger sa propre entreprise selon un plan stratégique à long terme plutôt que de poursuivre une autre carrière prometteuse. Son auto-évaluation résultat montre que, sauf en ce qui concerne la gestion des risques, il est généralement capable. Fait intéressant, même s’il a haut score sur la prise de risque, il a un problème sur la gestion des risques.
Cas 2: Entreprise B diplômée
L’activité de l’entreprise B est de concevoir des logiciels personnalisés et de développement de système.
Durant l’entrevue structurée, il est devenu évident qu’il cet entrepreneur possède une personnalité d’entreprise d’intensité modérée, surtout dans l’innovation. Il essaie toujours de nouvelles choses et procède souvent à de nouvelles façons de faire quelque chose. De son auto-évaluation sur l’approche de l’innovation, il semble qu’il trouve généralement une nouvelle façon de rénover les technologies existantes, et reconnaît toujours immédiatement la signification des événements aléatoires au bon moment. Rappelons l’observation de Franklin (2003) selon laquelle ceux qui avaient pris l’avantage sur les événements aléatoires avaient généré 13 fois plus de succès que d’échecs.
Le fondateur B dit que sa motivation pour lancer son entreprise était venue de son intérêt à rénover son industrie pour s’adapter à la nouvelle ère. D’autre part, il a obtenu des scores relativement faibles par rapport aux compétences en gestion, contrôle des coûts et des risques. Il a dit qu’il n’a besoin que d’un « ordinateur personnel » lors du démarrage de sa nouvelle entreprise. L’investissement de base dans son entreprise est faible en comparaison avec les investissements nécessaires dans d’autres industries. Ainsi, le contrôle des coûts ne semble pas être un facteur clé pour son entreprise. Cependant, son entreprise grandit et devient florissant, on peut s’attendre à ce que le contrôle des coûts devienne un facteur critique pour prédire les coûts finaux de chaque projet, étant donné le prix du contrat et les budgets, outre la révision périodique des estimations de coûts.
Le fondateur B a pourtant identifié la préoccupation clé pour le succès de son entreprise la gestion de ses équipes qui ne cessent d’augmenter en nombre. Il utilise la variable des outils de performance pour mesurer les performances de travail de ses salariés, pour savoir s’ils peuvent atteindre leurs objectifs cibles en temps voulu et conformément à la l’orientation stratégique. En outre, il souhaite investir dans la communication efficace et la rétroaction, de façon à instaurer la confiance, promouvoir une communication ouverte et honnête, et fournir l’attribution des tâches précises à leurs subordonnés.
Cas 3: Entreprise C diplômée
Le fondateur C a obtenu un score modéré par rapport à la personnalité entrepreneuriale attributs. Son intention d’aborder l’aventure entrepreneuriale est née de sa volonté de faire quelque chose en rapport avec son expertise. Parmi les quatre fondateurs, il a relativement obtenu de faibles scores en ce qui concerne l’opportunité personnelle et l’attitude envers l’esprit d’entreprise. Il croit fermement que d’être un travailleur autonome n’est pas le seul moyen de faire beaucoup d’argent. Bien qu’il évalue lui-même, au plus haut niveau, et génère de nouvelles idées en reconnaissant immédiatement la signification des événements aléatoires dans les bons moments, le fait que son entreprise ait présenté la plus faible croissance parmi les cas étudiés ne supporte pas son évaluation. En outre, bien que le fondateur C investisse lourdement dans les études de marché, il ne semble pas combler les besoins de sa clientèle de façon pleinement satisfaisante. Il aime faire quelque chose de différent selon ce que la demande et la tendance suggèrent.
Cas 4: Entreprise D en démarrage
Parmi les quatre attributs concernant l’esprit et la personnalité entrepreneuriale, le fondateur D a obtenu le score le plus élevé en ce qui concerne le locus de contrôle et la vision. D’autre part, il a obtenu le score le plus bas par rapport au besoin de réalisation. Cela signifie qu’il est capable de faire de son mieux, qu’il s’engage à reconsidérer son orientation stratégique à long terme selon ses objectifs. Il se félicite de la critique des autres. Il croit fermement en son point de vue à long terme et sa vision de créer l’excitation et la motivation pour ses employés. En outre, il est convaincu qu’il réussirait s’il démarrait une entreprise avec le désir personnel et l’attitude envers l’entrepreneuriat. Il utilise les recherches sur le marché pour identifier les tendances du marché et utilise cette information pour définir son approche à l’égard du processus produit/service/marché/innovation. En outre, depuis que le fondateur D possède une expérience relativement courte en gestion (juste un an), il a la possibilité d’améliorer ses compétences en gestion, en utilisant le sentiment de soutien, surtout en ce qui concerne la négociation, la documentation et les compétences de contrôle des coûts. On ne peut pas être bon à prendre des décisions concernant les coûts, la planification et la gestion des questions juridiques sans ce soutien. En outre, les compétences en matière de documentation peuvent être très utiles, notamment dans le règlement des différends avec des gens tels que clients et partenaires d’affaires à travers négociation. Comme son entreprise se développe, le fondateur D a recours contrôle et l’évaluation par l’adoption des échelles et l’analyse de pondération, flux de trésorerie et rentabilité.
- Discussion
Les résultats de cette étude indiquent que les dimensions entrepreneuriales sont influencées par la performance de l’entreprise. L’étude a d’abord établi qu’une meilleure performance de l’entreprise est positivement associée aux fondateurs des entreprises en start-up, doté de la personnalité entrepreneuriale, nécessaire pour évaluer la propension de prise de risque. Cela n’est pas surprenant dans le domaine de recherche en entrepreneuriat sur le développement de nouveaux ventures, car elle confirme ce que d’autres chercheurs ont découvert[39].
Nous pouvons voir dans le tableau 2 que les entreprises B et D sont des entreprises à fort potentiel, avec une croissance positive à la performance. Ils ont connu une croissance rapide de l’emploi et une croissance positive des ventes. Bien que la motivation initiale du fondateur B dans le démarrage ne soit pas celui d’être un entrepreneur, il s’attend à faire de l’argent en poursuivant ses intérêts. Il a une personnalité dominante d’innovation. Il reconnaît les événements aléatoires, tout en définissant son approche vers le processus produit/service/marché/innovation. Il veut faire quelque chose de différent selon l’univers concurrentiel existant. Sa pensée innovante peut être son atout.
Selon Franklin[40], les caractéristiques des entreprises dont les innovations sont réussies sont les suivantes:
- Elles sont modérément nouvelles sur le marché,
- Elles sont basées sur les essais et tests technologiques,
- Elles économisent de l’argent,
- Elles répondent aux besoins des clients, et
- Elles soutiennent les pratiques existantes.
Lorsque Franklin a tracé les taux de succès et d’échec correspondant à chacun des facteurs d’idées, il a constaté que « profiter d’événements aléatoires » avait généré 13 fois plus de succès que d’échecs. Cependant, le fondateur A a un score relativement faible sur l’esprit d’innovation. Il s’agit d’un « moi aussi » suiveur, qui a créé des produits ou services sans clairement définir ce qui pourrait être la solution. Franklin (2003) définit le suivi des tendances et les inventions mentales comme étant les deux facteurs les plus graves du point de vue du passage du succès à l’échec. Le fondateur D avait une forte motivation entrepreneuriale en démarrant son entreprise. Pour lui, le démarrage d’une entreprise est d’autant plus souhaitable que la poursuite d’autres opportunités de carrière à disposition. Il croit qu’il ne pourra faire beaucoup d’argent qu’en étant indépendant. Il est confiant dans sa capacité à relever les défis et est prêt à entreprendre tout ce qui est nécessaires pour établir sa propre entreprise. Son approche produit/service/marché/innovation est basée sur les idées générées par la recherche de marché. Rappelons l’observation de Franklin selon laquelle l’étude de marché peut générer quatre fois plus de succès que d’échecs. Le résultat de l’étude de marché donne une idée sur les besoins des clients et de la tendance. Ainsi, l’étude de marché a permis au fondateur D d’avoir de nouvelles idées pour le développement des produits axés sur la clientèle dans les deux ans à partir du démarrage. Les compétences de contrôle des coûts, l’habileté à la prise de risque et les compétences de négociation sont les points faibles de nos business-men, notamment, en termes de compétences de gestion. Les jeunes entreprises comme la firme D, tout comme l’entreprise B et C ne vont pas bien en ce qui concerne les compétences de coût et de contrôle. Ces entreprises sont faibles dans la prévision des coûts finaux du projet, le prix du contrat et les budgets, et la révision du coût, estimés périodiquement. Le fondateur C, en particulier, doit accorder une plus grande attention au coût des compétences de contrôle car il a tendance à développer des produits en l’absence d’études de marché. En l’absence d’un concept orienté client, il est difficile de créer un nouveau marché pour les produits ou services. Assurément, un entrepreneur doit avoir une propension de prise de risque, mais les compétences nécessaires pour les risques d’usage sont également importantes. Toutefois, les entreprises A et B ont affiché des scores faibles par rapport aux risques gestion. Ils ont besoin de renforcer leurs capacités de gestion de risque rapide grâce à des identifications intuitives, ou à travers des analyses de risques et des priorités.
CONCLUSION
Le travail que nous avons dressé a essayé de conceptualiser la notion de capital-risque, dans la mesure où cette dernière est différente de celle du capital-investissement. L’objet de notre travail étai de cerner le concept de la valorisation et de l’évaluation des entreprises en start-up. Les moyens techniques pour cette évaluation sont nombreux, et considèrent essentiellement la notion de risque et la prise de décision, ainsi que la relation entrepreneur/investisseur. Cependant, pratiquement, on a pu démontrer que cette évaluation peut déjà commencer dès lors que l’on connaît le profil de l’entrepreneur.
En effet, le profil de l’entrepreneur, ou le fondateur, est décisif quant à la valorisation et l’évaluation de sa future entreprise, car de sa personnalité dépend la motivation à pérenniser ce qui existe et à rénover en fonction des tendances et de la demande du marché.
Les quatre études de cas ont fourni des preuves préliminaires sur l’analyse des traits de personnalité des fondateurs, pouvant être d’une grande aide dans l’évaluation de la performance d’une entreprise start-up. Après avoir identifié les points faibles, l’entrepreneur peut prendre les mesures nécessaires pour l’amélioration de sa durabilité.
Certaines grandes implications de l’étude sont les suivants:
- Pour les entrepreneurs qui possèdent seulement une attitude positive envers l’esprit d’entreprise, mais avec un manque d’innovation importante, la croissance de leur entreprise aura tendance à baisser.
- Les facteurs d’idées différentes par rapport au processus produit/service/marché/innovation constitue une aide importante dans l’évaluation de l’innovation de l’entrepreneur et de l’investisseur.
- Les compétences pratiques liées à la prise de risque, la négociation et le contrôle des coûts sont importantes dans l’amélioration de la croissance des nouvelles entreprises.
- Une bonne compréhension de ce qu’est l’innovation et comment elle est utile dans le développement de la clientèle a une incidence significative sur l’activité d’une nouvelle entreprise.
L’étude de marché est une façon pour l’entrepreneur pour obtenir des informations sur les tendances du marché et les besoins des clients afin qu’il soit capable de générer de nouvelles idées sur la valeur client.
Ainsi, même si l’on a fait que survoler ce côté, il est essentiel de préciser la capacité de gestion des équipes en termes d’entreprenariat, cela étant également valable pour les start-ups en capital-risque. En effet, une effectivité dans ce domaine est celle qui fait la différence avec la concurrence, garantissant à la fois la fidélité des équipes, de l’engagement de chacune des parties (investisseur et entrepreneur), et de la clientèle, avec la relation centrée client.
EXECUTIVE SUMMARY
The objective of our work was to find the best way to value companies in start-up. Through our writing, we can say that this development follows an evaluation of the business processes. More than effectivités and means of evaluation techniques, this development comes first, depends on the entrepreneur himself, and even that through motivation for entrepreneurship, leverage leading pure enough condition sustainability firm of the future.
We illustrated this fact through an exploratory investigation of four French companies, and can conclude that the technical skills, knowledge of the market, in addition to the personality of the entrepreneur, are both levers to start the business but also evaluation of the latter criteria.
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[2] Vanina Paoli-Gagin, Véronique de Lalande, Le Capital-Risque, Acteurs, Pratiques et Outils, 2ème éd., Gualino 2003.
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[14] Leonardo Finance. Compte rendu du forum 18 Mai 2005, p. 14.
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[36] KAPLAN S.N.et STROMBERG P. (2001) – “Venture Capital as Principals : Contracting,Screening and Monitoring” – American Economic Review, vol 91, 2, main, pp 426-430.
[37] BYGRAVE W.D. (1987) –« Syndicated investments by venture capital firms : a networkingperspective » – – Journal of Business Venturing vol :2 , pp 139-154.
[38] BARNEY J.B. , BUSENITZ L., FIET J.O.et MOESEL D. (1996) –« New venture teams’assessment of learning assistance from venture capital firms » – Journal of BusinessVenturing, vol 11, pp 257-272.
[39] Crant, JM 1996. «L’ampleur de la personnalité proactive comme prédicateur de l’intention d’entreprendre», Journal of Gestion des petites entreprises 34, no. 3: 42-49.
[40] Franklin, C. 2003. Pourquoi l’Innovation échoue. Londres: Spiro Press.
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