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L’utilisation de la PNL dans l’éducation primaire : Une approche pour surmonter les disparités et améliorer la réussite scolaire

INTRODUCTION…………………………………………………………………………….. 01

 

PARTIE I : LA PNL A LA PORTEE DES ENSEIGNANTS………………. 02

 

1 – Les notions réunies dans le concept PNL…………………………………………… 02

1.1 – La Programmation……………………………………………………………………….. 02

1.2 – Le Neuro…………………………………………………………………………………….. 02

1.3 – La Linguistique……………………………………………………………………………. 03

2 – Les techniques PNL………………………………………………………………………… 03

2.1 – L’importance du feed-back…………………………………………………………… 03

2.2 – Savoir écouter……………………………………………………………………………… 03

2.3 – Savoir reformuler…………………………………………………………………………. 04

2.4 – Savoir synchroniser……………………………………………………………………… 04

2.5 – Faire une écoute sensorielle…………………………………………………………… 04

3 – La formation des enseignants sur la PNL …………………………………………..  04

3.1 – Les objectifs………………………………………………………………………………… 04

3.2 – Le planning d’action…………………………………………………………………….. 05

3.3 – Les bienfaits de la PNL pour les enseignants…………………………………… 05

 

PARTIE II : LE RECOURS A LA PNL POUR

 L’EDUCATION DE BASE……………………………………………………………….. 06

 

  • – La PNL dans les écoles primaires…………………………………………………….. 06
    • – La mise en pratique des bases de la PNL……………………………………….. 06
    • – La perception de la programmation par les enfants………………………….. 07
  • – Les moyens de communication liés à la PNL …………………………………… 07
    • – Les principaux canaux d’échange (V.A.K.O.G) ……………………………… 08
      • – L’importance du visuel……………………………………………………………. 08
      • – Le canal auditif………………………………………………………………………. 08
      • – La kinesthésique……………………………………………………………………… 08
      • – Le conduit olfactif…………………………………………………………………… 08
      • – Le gustatif……………………………………………………………………………… 09
    • – Les procédures à mettre en place par les enseignants

pour l’application de la PNL en cours……………………………………………….. 09

4 – L’impact de la PNL sur le résultat scolaire des enfants……………………….. 09

 

PARTIE III : LES RESULTATS OBTENUS AVEC LA PNL…………….. 11

 

1 – Les champs d’action de la PNL pour les enfants…………………………………. 11

1.1 – Amélioration de la mémoire…………………………………………………………… 11

1.2 – Facilité de compréhension……………………………………………………………… 13

2 – Le développement des capacités intellectuelles des enfants…………………. 13

3 – La gestion des conflits avec la PNL dans un cadre scolaire…………………… 14

 

CONCLUSION…………………………………………………………………………………. 15

BIBLIOGRAPHIE…………………………………………………………………………….. 16

 

INTRODUCTION

Au cours de leurs vies, les enseignants se heurtent souvent à un environnement pédagogique difficile qui est le résultat des disproportions du niveau des élèves. Cette situation est d’autant plus remarquée dans les écoles primaires. En effet, on y rencontre des élèves plus avancés par rapport à d’autres. On évoquait toujours le Q.I ou Quotient Intellectuel pour situer un élève parmi ses copains de classe et le considérer en fonction de cela comme brillant, ayant un niveau moyen ou encore un nul.

Bien au-delà des perceptions communes de cette défaillance, il ne s’agit pas d’une question d’intelligence, mais d’une mauvaise gestion et d’une fausse assimilation des données et théories enseignées en classe. Néanmoins, tous les enfants n’ont pas les mêmes capacités cognitives. Il faut donc essayer de les connaître individuellement et concevoir un programme qui pourrait les aligner à un niveau comparable, comme le cas de la PNL ou Programmation Neuro-Linguistique.

Afin de trouver une solution efficace à ce problème, certains enseignants ont eu recours à l’utilisation de la PNL. Ils assureront au mieux la transmission des différents concepts de leurs pédagogies par le biais des outils de communication de la PNL. Les enseignants devront être formés au préalable sur le sujet avant de pouvoir le mettre en pratique. Ils devront par la suite adapter leurs acquis en formation au niveau des élèves qu’ils enseignent, et ce, afin que ces derniers puissent avoir de meilleurs résultats scolaires. L’éducation en école primaire par ces enseignants en PNL se fera dans le but de faciliter la mémorisation et la compréhension pour les élèves, en plus des autres facultés qui leur sont nécessaires.

Mis à part le problème d’échec scolaire, certains enfants connaissent également d’autres contraintes au niveau du relationnel. Néanmoins, il y a un lien assez évident entre ces deux aspects, car un enfant qui est mal dans sa peau et qui se renferme sur lui-même a moins de chance de réussir qu’un autre qui est tout à fait à l’aise et ouvert à son entourage. On constate aussi que les enfants qui sont souvent en conflit avec leurs camarades de classe, leurs parents ou même leurs enseignants enregistrent un taux élevé d’échec dans leurs études.

Le métier d’enseignants demande beaucoup de volonté et de sacrifice. Il y a les préparations et la correction des copies des élèves à faire en dehors des heures de cours. Certains d’entre eux élaborent des plans de travail strict avant d’aller enseigner. Ils les mettent ensuite à exécution avec une explication rationnelle, suivant une méthodologie bien définie. Mais la question qu’ils devraient se poser est de savoir si les élèves adoptent une bonne manière pour assimiler leurs cours et les retenir ?

En général, le travail des enseignants ne se résume pas seulement à un transfert de connaissances à ses élèves. Ils doivent aussi aider leurs protégés en leur inculquant les bases de la vie en communauté. C’est pour cela d’ailleurs que l’usage des techniques d’apprentissage PNL peut leur être vraiment utile. C’est une technique efficace qui pourrait aider les deux parties, dont les élèves et les enseignants, à tirer profit d’une activité pédagogique et de surmonter tous les obstacles dans le cadre scolaire.

Dans ce mémoire, nous allons découvrir les préceptes autour de l’usage de la PNL par les enseignants, pour ensuite voir sa mise en application dans le cadre scolaire. Nous verrons par la suite les résultats de cette stratégie, tant pour les enseignants que pour les élèves des écoles primaires.

PARTIE I : LA PNL A LA PORTÉE DES ENSEIGNANTS

1 – Les notions réunies dans le concept PNL

La PNL est un concept original basé sur le fonctionnement des êtres humains. Elle fut inventée par Richard Bandler qui est à la fois un psychologue et un informaticien et John Grinder qui porte en même temps le titre de linguiste et psychologue au commencement des années 1970[1].

 

Tous les deux portaient un intérêt grandissant pour l’humain et son fonctionnement. Les fondements de ce concept se focalisent plus sur les manières que les raisons qui poussent une personne à réussir. Ainsi, ils ont établi une hypothèse par laquelle on aurait une possibilité de recourir à des stratégies et des moyens les plus redoutables pour mieux communiquer.

 

Pour cela, ils tournent un film sur des personnages de renom et qui comptent parmi les meilleurs dans leurs domaines respectifs, tels que le sport, la psychologie… Ils ont ainsi découvert que le succès connu par ces derniers repose sur leur savoir-faire et non sur leur connaissance. En d’autres termes, ils ont conclu que la clé de la réussite de ces individus se base sur la manière dont ils parlent, la façon dont ils entament les conversations et gèrent la communication. Les deux psychologues ont de ce fait analysé le sens de l’écoute des acteurs du film, les termes qu’ils employaient ainsi que les mimiques ou la kinésique adoptée.

 

Cette observation du fonctionnement de l’homme les a conduits à l’élaboration de la PNL ou Programmation Neuro-Linguistique[2].

 

  • – La Programmation

La vie de tout être humain suit des registres préétablis. Chacun s’efforce de réussir dans un domaine de prédilection et adopte ainsi une façon de visualiser les choses, tout en ayant une attitude et une manière de penser qui permet de distinguer les uns des autres.

 

Ces registres sont souvent utilisés dans de multiples situations au cours de l’existence d’un individu. On peut ainsi l’assimiler à des composants informatiques. Ainsi, on a le hardware qui correspond au cerveau humain et tout le système nerveux. Le software ou les programmes connaissent des changements en fonction de chaque personne et des dispositions prises à l’encontre du hardware. De manière plus explicite, la capacité de chaque individu est rattachée directement à ce programme. S’il y a une volonté de réussir, les moyens pour y parvenir doivent exister et être appliqués.

 

  • – Le Neuro

Quand on évoque cette notion, on pense automatiquement au cerveau. Ainsi, la programmation se base sur la neurologie. En effet, tout ce qui nous passe par la tête est d’abord assimilé par le visuel, l’écoute, le toucher, le sens olfactif et le sens gustatif. Il nous est facile d’appréhender notre environnement en associant ces 5 sens.

 

L’aptitude d’un individu pour se programmer dépend entièrement de sa fonction neurologique. Il lui est possible de réfléchir, de voir son entourage, d’adopter des attitudes et d’avoir un ressentiment, car il a les outils adéquats comme le système nerveux et le cerveau pour cela. Les processus de l’exercice de la PNL ont une action immédiate sur le commandement relatif à la neurologie.

 

  • – La linguistique

La linguistique tourne autour du langage, c’est-à-dire le dit et le non-dit. C’est un moyen qui nous aide à communiquer. Il joue un rôle prépondérant sur notre façon de penser. De même, il est facile de déceler nos attitudes, nos états d’âme et les impacts de ce dont nous faisons grâce à lui. Il est aussi le reflet de notre image. Le message transmis par une personne peut être perçu comme un témoignage des expériences qu’elle a vécu.

 

Les deux initiateurs de la PNL ont analysé les liens que peuvent avoir le langage et le raisonnement d’un individu. Ils ont par la suite fait une transposition de ces savoirs dans la pratique des échanges. En outre, ils ont porté ces notions sur un domaine plus vaste du langage non dit du nom de PNL.

 

  • – Les techniques PNL

On apprend à mener correctement des entretiens et à réfléchir avec la PNL. À part cela, c’est également un guide qui nous oriente dans l’utilisation du cerveau en plus d’être un dispositif idéal avec lequel on peut bâtir un avenir.

 

Ce qui caractérise les méthodes PNL est leur efficience. En effet, elles résultent d’une modélisation de la réussite vécue par les experts et non d’une théorie. Outre cela, elles combinent de manière fortuite plusieurs processus. À titre d’exemple, on peut proposer des ressources dans des pratiques d’antan au cours d’un changement historique. Cette reproduction ou ré-encrage est une base PNL qui réunit les connaissances de plusieurs psychologues de renom comme S.Freud, M.Erickson, T.Leary et tant d’autres.

 

Pour la mise en pratique des techniques PNL, il faut retenir 5 points principaux, à savoir l’importance du feed-back, les techniques d’écoute physique, la capacité de reformulation, la synchronisation et l’écoute sensorielle[3].

 

  • – L’importance du feed-back

Le feed-back est un rapport fait à un individu sur son attitude sur les réflexes qu’il éveille dans son entourage. Cette technique repose essentiellement sur des actes et nullement sur des jugements. Elle est instaurée afin d’apporter une aide à un interlocuteur. Il est ainsi important de ne pas faire des interprétations négatives. L’objectif de cette technique est de conscientiser l’individu vis-à-vis de ses attitudes et de leurs conséquences sur autrui.

 

Ce feed-back ne doit ressurgir que sur un nombre limité de comportements pour que l’interlocuteur puisse en tirer des leçons. Pour que cette méthode soit une réussite, il ne faut pas qu’il y ait une forme d’agression dans les remarques à faire sur les comportements de l’interlocuteur. Aussi, il faut que l’individu cible soit ouvert à tout dialogue et qu’il soit vraiment à l’écoute.

2.2 – Savoir écouter

La PNL doit être mise en œuvre avec l’usage de la technique de l’écoute active. En d’autres termes, il faut que l’individu soit vraiment disponible pour écouter ce que son interlocuteur a à lui dire. Cette attitude s’extériorise par un regard, un acquiescement. Il faut venir à bout des paroles d’un interlocuteur et vouer un intérêt à la teneur de son récit ainsi qu’aux gestuels empruntés lors de la conversation. Ce dernier point peut être favorablement utile pour la compréhension de l’objet ou la teneur des idées véhiculées par la personne.

  • – Savoir reformuler

Il faut passer par cette reformulation après avoir retenu l’essentiel des propos. Il s’agit d’une reproduction des points importants du récit de l’interlocuteur. Il faut donc les formuler à nouveau pour démontrer qu’on était bien à l’écoute et qu’on a compris l’essentiel. Pour ce faire, il faut user de votre propre lexique. Cette reformulation vous éloigne des clichés généralisant et des fausses indications.

 

Les objectifs de ce processus sont de faire savoir qu’on avait une ouïe pour l’interlocuteur. De plus, on apporte une aide à la méditation de l’interlocuteur grâce à ce renvoi des points saillants de son message. De ce fait, il n’y aura aucune incompréhension et on pourra axer la communication sur l’essentiel.

 

  • – Savoir synchroniser

Il faut faire usage d’un langage et d’un agencement de phrases identiques à ceux employés par son interlocuteur. Pour mieux connaître son interlocuteur, il faut bien déterminer les modalités qui cernent ses caractères. De par le vocabulaire qu’il utilise, il faut déceler sa principale sensorielle afin d’être à l’aise avec lui et de rester connectés sur une même onde. Effectivement, cet interlocuteur détaille ses vécus grâce à des modalités apparentes, auditives et des gestuels précis.

 

  • – Faire une écoute sensorielle

Le fait d’écouter ne se restreint pas uniquement aux mots prononcés par un individu. La PNL nous dicte qu’une parfaite écoute doit toucher aussi le non-dit. Il s’agit en l’occurrence des différents mouvements visibles tels que la respiration, le ton emprunté pour parler, les mimiques, la position du corps et surtout le regard. En fait, ce dernier point est vraiment un moyen de s’informer sur le ressenti de votre interlocuteur.

 

  • – La formation des enseignants sur la PNL

Le principal objectif de cette formation est de faire connaître les différents aspects autour du concept, les techniques multiples d’application et le champ d’action de cette programmation.

 

La PNL peut être utilisée dans diverses situations et contextes variés. On peut y recourir en entreprise, dans les écoles primaires et bien d’autres. Pour le cadre scolaire, l’enseignant doit au moins savoir les bases pour pouvoir apprendre avec la PNL. Il faut qu’il sache détecter les moyens pouvant faciliter l’acquisition de l’enseignement par ses élèves. Et cela doit commencer par l’analyse des expériences sur un ou plusieurs de ses meilleurs éléments en classe. Il faut ensuite déceler tous les éléments visibles ou pas qui pourraient décrire l’attitude comportementale d’un élève et d’en tirer des leçons afin d’établir un programme à transmettre au reste de la classe.

 

3.1 – Les objectifs

Après avoir suivi une formation en PNL, un enseignant doit être capable de mettre en pratique les acquis théoriques avec toutes les techniques liées à cette méthode. Toutes les aptitudes pédagogiques requises pour enseigner avec la PNL doivent être démontrées par l’enseignant.

 

En fait, il y a une différence accrue en matière de pédagogie entre un enseignant non formé à la PNL et un autre qui l’a fait. La patience, la définition des capacités intellectuelles et de la motivation d’un élève et l’application des méthodes PNL nécessitent des bases solides.

 

3.2 – Le planning d’action

En général, une formation en PNL pour devenir des enseignants certifiés en la matière peut durer à titre d’exemple de 22 jours sur 2 ans minimum[4]. Cela peut varier d’un institut de formation à un autre.

 

Au cours de la formation, l’enseignant est amené à monter un projet professionnel d’apprentissage de la PNL. Cela est utile afin qu’il puisse prouver ses capacités et son niveau de compréhension et d’acquisition des théories données par le formateur.

Outre cela, il faut également que l’enseignant soit apte à transmettre les connaissances qu’il aura acquises durant cette formation à d’autres, et surtout, à ses élèves qui sont les éléments clés de ses expériences futures.

D’emblée, plusieurs branches ou modalités de la PNL peuvent être étudiées selon les désirs de l’enseignant. Il est libre de choisir les thèmes qu’il veut approfondir suivant ceux qui sont proposés par l’enseigne formatrice.

 

  • – Les bienfaits de la PNL pour les enseignants

La PNL est une technique de communication qui a fait ses preuves depuis son apparition, et ce, dans divers milieux. Pour le cas des enseignants, les bienfaits d’un tel programme sont multiples.

 

Après avoir reçu leurs certificats d’enseignants PNL, ils pourront être sûrs de posséder les critères principaux qui déterminent cette formation. En fait, les enseignants auront pris connaissance des divers modèles PNL grâce à des partages de savoir réel avec en prime, des exercices pratiques, différentes sortes de démonstrations ainsi qu’une très bonne orientation. Avec de telles activités, ils pourront mettre en œuvre les présumés modèles, les procédés ainsi que les aptitudes PNL pour les appliquer après de façon rationnelle dans d’autres contextes. En plus, ces aptitudes seront utiles pour leurs quotidiens étant donné qu’ils leur seront toujours possibles d’y recourir pour toutes sortes de cas.

Concernant leurs domaines de prédilection qu’est l’enseignement dans les écoles primaires, les enseignants sachant les bases de la PNL pourraient déceler facilement les éventuelles contraintes qu’un élève a dans le cadre de ses études ou de sa vie familiale. Savoir les motifs qui démotivent ce dernier à ne pas apprendre est aussi une qualité qui est attribuée à un enseignant PNL. À partir ce tout cela, les enseignants peuvent proposer des solutions PNL afin d’aider leurs élèves dans la quête de leur réussite scolaire.

 

 

PARTIE II : LE RECOURS A LA PNL POUR L’ÉDUCATION DE BASE

 

  • – La PNL dans les écoles primaires

Les élèves dans les écoles primaires se situent à différents niveaux. En général, on note trois catégories d’élèves, dont les meilleurs, les moins bons et ceux qui ont un niveau bas. Bien qu’on dispense les mêmes cours pour les élèves dans une classe, on remarque souvent qu’il y a un écart d’assimilation entre eux.

 

Face à cette situation, certains enseignants remettent en question leur façon d’enseigner. Ils se demandent en fait si cette incompréhension ou cette non-assimilation causant des échecs est liée à sa méthode pédagogique. D’autres ont eu recours à des formations PNL afin de les aider à enseigner leurs élèves. Cette méthode est d’une grande utilité pour faire une observation ou un décodage de la mentalité des élèves surclassés. Il s’agit en effet de détecter les moyens ou leurs tactiques d’apprentissage.

 

D’après même les définitions de la PNL, les enseignants seront amenés à étudier les comportements de ces élèves brillants. Le but de cette manœuvre est de déterminer les méthodes que ces derniers utilisent pour mémoriser, comprendre et raisonner brillamment. Il leur suffit de suivre les attitudes apparentes, d’analyser les mots employés et de détecter les signes non verbaux qui retracent leurs capacités mentales.

 

Globalement, l’adoption de la PNL dans les écoles primaires suivant la démarche suscitée permettrait d’élaborer des procédures pouvant aider chaque élève dans leurs études. De même, la PNL peut les pousser à adapter ces modèles comportementaux pour rehausser leur niveau scolaire.

 

  • – La mise en pratique des bases de la PNL

Grâce à leurs acquis durant, la formation PNL, les enseignants pourraient apporter un vrai soutien aux élèves ayant des résultats peu satisfaisants. Toutefois, on peut s’attendre à un échec ou une limitation des évolutions au cas où l’enseignant n’a pas une parfaite maîtrise pour la matière dont il doit inculquer à ses élèves, ou encore si sa méthodologie n’est pas bien structurée.

 

Il faut savoir que chaque élève doit avoir une grande volonté d’apprendre pour prétendre réussir. C’est déjà une attitude que chacun d’entre eux devrait avoir. On peut relever deux comportements différents sur deux élèves qui ont des notes assez médiocres en classe. Il est possible que malgré ses efforts, l’un d’entre eux ne connaisse que des échecs dans toutes les matières, tandis que l’autre se suffit à ne rien apprendre et rester à ce bas niveau. Ainsi, l’essentiel est donc de savoir pourquoi un élève qui travaille fort en classe n’obtient pas de bonnes notes. Parallèlement à cela, il faut également creuser les motifs qui poussent un élève à se suffire ainsi de son niveau scolaire.

Une chose dont on est sûr est que chaque élève a sa capacité d’apprentissage, mais cela dépend entièrement de sa décision d’apprendre.

Une fois qu’on a détecté les points faibles d’un élève, il est plus facile de l’aider grâce à la PNL. En général, les élèves en difficulté scolaire sont impuissants face à leurs cuisants échecs. Certains ratent leurs examens et sont priés de les repasser, mais souvent, on ne leur montre jamais les bonnes méthodes pour cela. L’erreur commise par les enseignants est souvent de ne pas prêter attention aux manières dont les élèves usent pour apprendre. En effet, il faut que ces derniers connaissent la procédure à suivre pour arriver à comprendre et à retenir leurs cours. Apparemment, ces échecs sont liés à une mauvaise gestion des données ou des cours. Ils n’ont plus le courage de travailler et ils commencent à douter fort des attitudes des enseignants et des parents qui les recommandent de travailler toujours plus. Pour ce cadre scolaire, l’usage des méthodes PNL est la solution à ces problèmes, car son essence se base sur l’apprentissage à partir des comportements d’autres, et particulièrement des élèves brillants.

La PNL procure des moyens aux élèves pour qu’ils puissent gérer les données qu’ils devront assimiler et mémoriser. En une phrase, l’essentiel est de savoir apprendre. Il faut donc suivre le quotidien d’un des meilleurs éléments de la classe. Ce suivi se fondera sur son comportement en classe, son taux de participation, ses positions physiques, les expressions qu’il utilise… Par la suite, on peut combiner le résultat des études comportementales de l’élève brillant à celles des élèves moins bons en classe.

 

En pratique, un élève brillant a des méthodes d’apprentissage qui lui sont propres et qui garantissent l’obtention d’un bon résultat en classe. Il s’agit en occurrence de diverses stratégies liées à la mémoire, à l’assimilation, à l’énonciation, au raisonnement, au transfert des informations et à l’auto-évaluation. Bref, est qualifié de brillant un élève qui est capable de retenir et d’assimiler les théories enseignées en classe. En plus de cela, il peut facilement répéter à sa manière ces informations grâce à sa faculté étonnante de raisonnement.

 

La PNL employée diffère selon les matières apprises à l’école. Les techniques de mémorisation sont diversifiées qu’il s’agisse des matières scientifiques comme les calculs ou des matières littéraires comme le français. En effet, un élève doué aura plus de facilité et de performance à se remémorer de ce qu’il a vu en cours. Mais l’utilisation de cette stratégie n’est pas identique si c’est pour retenir des vocabulaires, des formules pour les problèmes ou aussi d’une leçon d’histoire. Il faut donc faire une exploration méthodique dans les mises en pratique de ces tactiques d’apprentissage. L’élaboration d’un processus d’orientation des élèves ayant des difficultés en classe grâce à ces stratégies est plus que nécessaire. Dès lors qu’un élève connait les moyens de préparation d’une dictée, la manière de faire une rédaction, l’assimilation d’un cours ou encore la résolution d’un problème, il doit pouvoir retrouver rapidement un niveau plus élevé. Jusqu’ici, un bon nombre d’élèves ont pu bénéficier de ces expériences PNL, mais leur effectif demeure insuffisant par rapport à tous ceux qui devraient en profiter et qui en sont dans le besoin.

 
  • – Les moyens de communication liés à la PNL

Les enseignants pratiquant la PNL ont trouvé une façon de faire pour retenir par exemple une formule pour calculer le périmètre d’un carré ou l’orthographe d’un vocabulaire, pour assimiler facilement lors d’une lecture et autres. La faculté de raisonnement et le rapprochement des liens avec les données déjà enregistrées. En somme, ces tactiques sont les compétences requises à toute initiation[5]. 3 techniques de communication sont rattachées à cette programmation. Il s’agit en l’occurrence de la reconnaissance, de la coordination et de l’ancrage.

 

La reconnaissance permet de déceler le conduit sensoriel prépondérant chez son vis-à-vis. La coordination aide à choisir ce même conduit et à s’accommoder à ses expressions non-dits. L’ancrage permet de faire une reprogrammation par la mémorisation des divers évènements marquants signés par des phrases, des représentations et des mimiques.

 

 

  • – Les principaux canaux d’échange (V.A.K.O.G)

Dans le cadre de la PNL, la méthode V.A.K.O.G qui signifie Visuel, Auditif, Kinesthésique, Olfactif et Gustatif se fonde sur le concept des références suivant lequel le relationnel avec le monde environnant est lié à au moins un des cinq sens évoqués. Grâce à cette méthode des conduits sensoriels, les personnes accordent uniquement un privilège à un ou deux sens afin d’avoir une grande capacité de discernement et de mémorisation. À cet effet, les déplacements oculaires sont considérés comme des indices inestimables pour repérer les sens utilisés. Ainsi, les clignotements des yeux et leurs déplacements en haut font référence au visuel. Si les yeux regardent à l’horizontal, on se réfère à l’audition. Pour des mouvements orientés vers le bas, il s’agit de la kinesthésie. À part cela, les autres sens restants attribués à l’écoute et le goût sont plus compliqués à déceler.

 

Certes, l’analyse du langage utilisé et les mots ou expressions qui en ressortent requièrent une plus grande attention et beaucoup d’efforts, mais l’avantage est qu’on peut détecter plus aisément le ou les canaux à exploiter pour appliquer efficacement la PNL. Il faut donc être très attentif et savoir interpréter correctement tous les signes perceptibles chez un interlocuteur. Généralement, c’est au début que cette action sera assez rude, car une fois qu’on s’est familiarisé avec, l’identification V.A.K.O.G se fera plus rapidement. On sera sûr après d’être écouté par son interlocuteur et surtout, d’être à l’aise durant les échanges.

 

  • – L’importance du visuel

Le visuel occupe une place importante dans le concept de mémorisation, que ce soit dans notre vie quotidienne ou dans le cadre scolaire. En effet, aucun élève n’est capable de retenir des leçons ou des formules de calcul sans la présence de ce canal d’échange. Ce précepte fera qu’un individu aura plus recours à des mots ou expressions qui font référence à ce que les yeux voient. Ces derniers s’extérioriseront à travers le langage adopté.

Parmi ces mots à connotation visuelle, on a par exemple apercevoir, clair, vision, regard, illustrer et tant d’autres.

 

  • – Le canal auditif

Ce canal prend place dès lors qu’on entend des vacarmes ou des sons quelconques. Un élève peut être plus sensible à ces « bruits » et arrive à mieux mémoriser les dires de son interlocuteur ou les cours enseignés en classe. On peut citer entre autres les mots suivants qui font référence à ce canal auditif : écouter, converser, s’exprimer, brailler, plaisant, dialoguer…

 

  • – La kinesthésique

La kinesthésique peut être décrite comme une aptitude à ressentir quelque chose par le toucher. On peut donc ressentir de fortes sensations en interne grâce à ce système. Un individu est plus enclin à expérimenter cette technique que d’user des autres canaux d’échange. Il y a aussi des mots ou des vocabulaires qui peuvent déterminer ce système. Il s’agit essentiellement de termes suivants : éprouver, toucher, contact, tiédeur, glacée, infime, solidité, être réaliste…

 

  • – Le conduit olfactif

Un individu qui mise plus sur ce canal se reconnaîtra facilement aux expressions qu’il utilise. En effet, ce dernier pose toujours des questions pour savoir comment va quelqu’un. Il en est de même pour les interrogations comme « est-ce que ce sujet vous donne de l’inspiration ? ». L’usage des verbes qui dérivent tous autour de ce sens est très fréquent. Il s’agit en l’occurrence de ces derniers : exhaler, inhaler, sentir mauvais, humer, respirer et autres.

  • – Le gustatif

À part la perception des sens sus-évoqués chez un sujet, il y a également un autre canal qu’on peut employer. Il s’agit de conduit gustatif qui se remarquera par l’usage des expressions ci-après : qu’est-ce qu’on mange ? pimenter une vie, être un consommateur avéré d’un produit, en faire tout un plat, dévorer un bouquin, avaler ce qu’on dit…

Il y a aussi les verbes à référence gustative tels que relever, absorber, manger, dresser, nourrir, consumer, apprécier, déguster, croquer, garnir…

 

  • – Les procédures à mettre en place par les enseignants pour l’application de la PNL en cours

Pour le soutien des enfants en difficulté scolaire, c’est la communion des efforts de l’enseignant PNL et de l’élève qui est la meilleure garantie de la réussite. Le succès scolaire se base sur un système compliqué d’interdépendance qui engage à la fois l’école, l’élève, ses parents ainsi que son entourage. L’on peut également y incorporer le milieu socioculturel. Cette complication évoque un certain gage d’équilibre, mais également un risque de faiblesse. Il s’agit en effet d’un équilibre produit par le jeu des réparations de certains préceptes aux défauts d’un autre et d’une faiblesse causée par la répercussion d’une complication sur le précepte dans son ensemble.

De même, il faut considérer les liens familiaux, le vécu personnel, l’apparition d’évènements spéciaux, de la relation élève-enseignant et adulte-enfant, les requêtes tacites de la famille envers le précepte pédagogique, la revendication sous-entendue de l’environnement social à propos du rôle instructif de l’école. Ces facteurs sont aussi des paramètres à ne pas négliger si l’on veut apporter une solution aux échecs scolaires.

 

Sans tenir compte de l’ampleur des administrations sociales faites autour de l’enseignement scolaire, et ce, malgré le rôle pertinent que joue l’éducation dans le quotidien d’une famille, on voit que, dès l’apparition des complications, l’élève reste seul en face de ses problèmes et il doit les surmonter grâce à ses propres efforts.

 

L’enseignant doit donc être en mesure de trouver des solutions PNL efficaces pour aider un élève qui est dans le besoin. Tous les critères qui favorisent l’échec de ce dernier doivent être bien étudiés afin d’en trouver l’approche idéale pour s’en sortir.

 

  • – L’impact de la PNL sur le résultat scolaire des enfants

Depuis l’application des techniques PNL dans le milieu scolaire, on a constaté dans la majeure partie des cas une nette amélioration des résultats scolaires des enfants en difficulté.

En général, l’impact de cette programmation doit être ressenti chez l’enfant dès la première adoption des modèles PNL.

 

Néanmoins, il ne faut pas que l’enseignant rate son observation et ainsi donc, opte une mauvaise stratégie, car cela n’aboutirait jamais à de bons résultats. Il faut aussi qu’il y ait une synergie entre tous les acteurs en jeu tels que les parents, l’élève et l’enseignant dans cet effort de rehaussement de niveau. Le climat social au niveau de l’école doit également mettre en confiance l’élève. En d’autres termes, il faut que les autres élèves ayant un niveau plus élevé que lui l’encouragent à suivre leurs pas.

 

Dans certains cas, on remarque que les échecs scolaires se rattachent à l’environnement social en classe qui n’est point motivant. Le fait d’être rabaissé et d’être considéré comme un nul par ses camarades de classe ne fera qu’aggraver la situation. En effet, l’élève en difficulté ressent une frustration et éprouve de la honte vis-à-vis de ses pairs. Il ne pense même plus à changer cette situation, car il s’y est résigné étant donné que les autres l’ont déjà qualifié comme un nul.

 

Il faut mener cette expérience avec un grand espoir de réussite. A priori, les résultats de cette tentative seront dépendants de l’efficience de ces procédures, et il en est de même pour la place prépondérante qu’elle occupe pour les élèves moins doués.

 

 

 

PARTIE III : LES RÉSULTATS OBTENUS AVEC LA PNL

 

1 – Les champs d’action de la PNL pour les enfants

Depuis plus de 30 ans, la PNL a introduit une toute nouvelle forme de pédagogie pour les enfants et une révolution qui a vigoureusement influé les sciences de l’homme à travers le monde. On ne peut pas aligner la PNL sur le plan rationnel avec d’autres nouvelles sciences. Les enfants pourraient avoir plus de capacités de compréhension et peuvent décrypter le fonctionnement d’une méthode pédagogique. Le développement de la PNL dans le domaine scolaire s’explique par le fait qu’elle prend en charge notre manière d’apprentissage. En plus, elle actualise tous les procédés d’assimilation ou les stratégies en PNL. En effet, on peut connaître comment un élève apprend à l’aide des moyens de décodage PNL. D’un côté, cela rend plus facile les techniques d’assimilation des élèves et d’un autre côté, de faire une mise au point des techniques d’apprentissage pour les éducateurs ou les enseignants. De nos jours, la grande majorité des enseignants et des parents suivent des formations en PNL pour qu’ils puissent adopter cette méthode et afin d’assurer une meilleure efficacité de leur système éducatif pour les enfants-élèves. De ce fait, la PNL est devenu un très bon outil pour apprendre à apprendre.

 

Le visuel prend une place importante quand on est encore un enfant. Ceci dit, orienter l’enseignement vers l’interprétation de cette représentation imagée peut vraiment aider tant les enseignants que les élèves. Il suffit d’expérimenter la technique sur un élève qui n’a pas de bonnes notes dans une certaine matière. Si nous prenons l’exemple des problèmes à résoudre dans les écoles primaires, il faut d’abord commencer par observer les techniques de mémorisation et de compréhension du meilleur élève de sa classe. Il faut étudier les canaux V.A.K.O.G et lister à partir de cela les modèles PNL à faire suivre à l’élève ayant des difficultés. On analysera en parallèle la manière dont ce dernier reçoit les explications en cours et celle qu’il adopte pour traiter ce genre de problème mathématique. Il conviendra par la suite de lui donner des instructions précises et de lui enseigner cette matière avec les bases PNL adéquates, calquées sur le comportement de l’élève doué. On verra après l’efficacité ou non de cette technique, mais on est tout de même certain d’avoir une amélioration de ces mauvaises notes.

 

On peut décrire la PLN comme étant un moyen d’expression déterminant de l’expérience personnelle d’un enfant dans le cadre scolaire. Elle couvre tous les domaines de connaissance étant donné qu’elle peut donner des réponses réelles à des questions qui nous hantaient depuis les premières années d’école. Tout élève et tout enseignant aurait fait au moins une fois dans leur vie une remise en question quant à leur méthode pédagogique. Le terme pédagogie est ici utilisé dans un champ plus vaste et cerne la méthode pour enseigner, pour éduquer et pour apprendre. En effet, tous les deux font souvent une rétrospective sur la manière de faire pour apprendre, pour évoluer et pour communiquer correctement.

Ces 3 points tournent autour des 3 procédés principaux appliqués dans le développement intellectuel de l’homme. C’est d’ailleurs ce qui justifie son succès et l’ampleur de ses domaines d’utilisation qui touchent l’éducation scolaire, la psychologie de l’enfant et la communication.

  • – Amélioration de la mémoire

La PNL est un outil d’apprentissage et de communication très employé dans le cadre de l’enseignement et de l’éducation. Si un élève a plutôt une tendance pour visuel, il retiendra aisément ce qu’il regarde. Si un élève un sens auditif plus développé, il lui faut donc bien écouter afin d’avancer un peu plus dans ses études. Ainsi donc, pour ces deux cas de figure, on fera un usage respectif des dessins, des teintes, des mind-mapping pour le premier et des cassettes audio, des répétitions vocales pour le second.

 

Il ne faut pas oublier que la capacité à mémoriser est fonction de la santé de l’élève et aussi de du dynamisme de son mental. Le cerveau de l’homme peut s’adapter à toutes situations et peut évoluer incessamment, qu’importe l’âge du sujet. On peut recourir à différents moyens pour développer cette faculté de mémorisation et de vitalité mentale. Mais le plus important d’entre eux reste la PNL.

 

Bien que tous élèves aient cette capacité à retenir ce qu’on leur a appris en classe, il peut y avoir des défaillances et une certaine difficulté pour certains. Il ne faut pas baisser les bras si l’on fait partie de ces derniers, car il y a toujours des programmes d’aide à la mémoire comme la PNL. En effet, un élève peut avoir des difficultés à retenir ses leçons orales, et avoir par contre une certaine facilité à mémoriser les leçons avec des représentations imagées. Ainsi, c’est le visuel qui est un des canaux d’échanges de la PNL qui est mis en exergue. Toutefois, il ne faut pas se tromper d’interprétation durant les moments d’observation comportementale, car cela pourrait induire à l’erreur l’enseignant dans ses méthodes pédagogiques. S’il s’avère qu’un élève retient plus rapidement quelque chose grâce à ce qu’il voit, il faut donc insister sur cette voie et orienter tout vers cette trajectoire. Si pour d’autres cas, la capacité de mémorisation est fortement liée à ce que l’on entend, il faut donc miser sur le sens olfactif afin qu’on ait un résultat efficace de la PNL.

 

Mis à part les bienfaits de la PNL pour les élèves, il faut aussi que ces derniers tiennent compte de divers facteurs qui entrent aussi en jeu dans cette perspective d’amélioration de la mémoire. Il s’agit du sommeil, de la concentration, d’une bonne alimentation et des exercices de mémorisation.

 

Un concept de base pour une bonne mémorisation est le fait d’avoir un esprit sain dans un corps sain. Pour cela, il faut que les parents suivent de près le mode d’alimentation de leurs enfants pour que cela leur soit bénéfique. Il faut qu’ils privilégient les fruits et légumes qui apportent au corps humain et au cerveau toute la force dont ils ont besoin. À part cela, il faut que les parents veillent à la santé de leurs enfants. Ces derniers doivent avoir un sommeil suffisant pour éveiller leurs créativités et leurs esprits une fois en classe. Ils seront plus à l’écoute de ce que leurs enseignants vont apprendre et ils seront plus concentrés et auront une plus grande ouverture d’esprit. En fait, le sommeil est un élément important rattaché à l’éducation et à la mémoire, car un élève qui a bien dormi aura une capacité de mémorisation plus élevée qu’un autre n’ayant dormi que très peu. Le cadrage comportemental d’un élève sera moins difficile lorsqu’il est en bonne santé, dans un état lucide et dynamique.

Pour être plus explicite, il y avait une étude faite par certains PNListes en Californie. On a fait une observation sur les attitudes des élèves doués qu’on définit souvent par le fait qu’ils ne produisent pas beaucoup d’efforts, mais qui réalisent toujours une bonne performance avec leurs notes. Ils ont constaté que la majorité de ces élèves laissent de côté le canal auditif, en particulier la communication interne, mais en font tout de même usage pour méditer ou donner la réponse aux questions qu’on leur pose. Pour certains, le système de mémorisation se résume au visuel, suivi de l’enregistrement et de la réflexion avant de répondre à une question.

En général, « les élèves qui mémorisent lèvent toujours les yeux dans un premier temps. Ils visualisent les images. On essaie bien quelquefois de contrecarrer cette excellente habitude en leur disant : la réponse n’est pas inscrite au plafond »[6]. En réalité, ils ne lèvent pas les yeux pour chercher la réponse en haut, mais c’est leur façon de réfléchir et de faire travailler leur mémoire afin de reformuler une réponse exacte à la question d’un enseignant. Ce modèle comportemental doit donc être adopté par les sujets en difficultés pour raviver leur faculté de mémorisation et avoir en retour de bons résultats scolaires.

  • – Facilité de compréhension

L’échec scolaire est souvent le résultat d’une incompréhension à différents niveaux, soit l’élève ne comprend pas ce que dit l’enseignant, soit il l’interprète mal ou soit il ne veut pas tout simplement comprendre. Il faut donc déceler la raison de cette difficulté de compréhension. À partir de là, on peut concevoir un programme basé sur une modélisation PNL, et qui pourrait s’accommoder aux problèmes de l’élève en question.

 

Un humain réfléchit avec sa neurologie et également avec les mains. Les mimiques qu’un élève fait de manière spontanée dès lors qu’on lui dit de faire un travail sont un signe prédictif de son aptitude à réaliser ce travail. Les mimiques peuvent être des signes visuels de la disposition d’un élève à apprendre ses leçons et à faire ses devoirs. Une fois qu’on remarque cette volonté, on peut l’aider s’il n’arrive pas à suivre le rythme de ses camarades. Souvent, on blâme l’élève et on lui reproche de ne pas apprendre ses leçons, mais on oublie de lui indiquer la façon dont il doit le faire alors que c’est cela le vrai problème. L’application des stratégies PNL s’avère être efficace pour stimuler au maximum la faculté de compréhension d’un élève. Pour les exercices assez compliqués comme les calculs et les problèmes, l’enseignant doit faire divers mouvements durant ses explications, car les gestes sont mieux retenus que les paroles dans ces cas là. Les élèves apprendraient mieux ces matières si l’enseignant use souvent des gestes au cours de son exposé. En effet, la compréhension est liée à toutes aux techniques V.A.K.O.G, sauf que le Visuel accapare le champ de réflexion d’un élève.

 

Avec le soutien des enseignants et des parents lors de la mise en œuvre de la stratégie PNL, les élèves amélioreront aussi leur niveau de compréhension. Une fois qu’ils auront trouvé le chemin à emprunter pour y arriver, le reste va sans doute suivre le pas.

 

  • – Le développement des capacités intellectuelles des enfants

Un des soucis majeurs des parents repose sur le devenir de leurs progénitures. Dès lors qu’ils commencent à étudier, les parents pensent déjà à bâtir leur avenir. Néanmoins, l’éducation est la base d’un brillant avenir. Mais pour que cela soit réel, il faut que les enfants-élèves réussissent leurs études. Cette réussite repose surtout sur une grande aptitude à mémoriser et à comprendre les théories en classe.

 

Du côté des enseignants, le problème fréquemment rencontré est la mauvaise situation des élèves qui sont moins bons. Ils peuvent se remettre en question et se demander si cela vient d’eux, de leur méthodologie ou d’autres évènements. Ils ne seront satisfaits de leur prestation que lorsque ses élèves réussissent. Cela ne peut pas se concrétiser sans un grand dévouement de leurs parts.

Les enfants-élèves développeront leurs capacités intellectuelles grâce à la PNL. Ils pourront accomplir les rêves de leurs parents, réussir leur vie et montrer un signe de reconnaissance à leurs enseignants. Une fois qu’ils auraient acquis les bases d’apprentissage avec la PNL, ils ne rencontreront plus que très peu d’embûches durant leur parcours scolaire. Certains brilleront même à la plus grande stupéfaction de leurs camarades, de leurs entourages, de leurs parents et même de leurs enseignants. Ils découvrent une nouvelle identité et une nouvelle méthode de développement intellectuel grâce à la PNL.

 

  • – La gestion des conflits avec la PNL dans un cadre scolaire

Il est important de savoir qu’un élève ne réussira pas ses études, et ce, qu’importent les moyens utilisés, s’il ne vit que des conflits autour de lui.

 

À titre d’exemple, si on n’a pas un bon dynamisme dans une classe, le PNL n’apportera pas de grands changements. Aussi, si un élève a des soucis au niveau de sa famille ou s’il connait des problèmes d’ordre psychologique, il ne sera pas du tout concentré aux études, malgré l’application des méthodes PNL[7].

 

Face à cela, certains PNListes ont creusé la source de ce problème conflictuel et ont pu élaborer une méthode simple pour s’en sortir. En général, bon nombre d’élèves statuent toujours dans l’affirmation et se défendent tout le temps, peu importe le sujet de la discussion ou encore la divergence ou la similitude de point de vue. Cela relève d’un comportement qui refuse les échanges d’idées, même si l’on est entrain de débattre avec autrui. On pense toujours avoir raison et ne veut recevoir aucune aide extérieure. Cette attitude n’est guère constructive. Il faut donc que l’enseignant trouve les clés à cette situation conflictuelle en adoptant les techniques PNL.

 

La gestion réelle de tels conflits repose sur le langage utilisé par l’enseignant pour parler à son élève. Il faut d’abord que l’enseignant comprenne la raison d’être toujours sur la défensive. Il faut qu’il se mette à la place de l’élève pour mieux cerner le comportement à avoir avec lui. En réalité, la majorité d’entre nous réagiraient de la même manière si l’on vient à nous critiquer ou à s’opposer à nos opinions. Certains seraient même agacés et extérioriseraient leur refus de dialoguer. Il est vrai que se défendre ou soutenir une idée est un comportement normal. Néanmoins, pour un élève en difficulté, il faut rayer cette attitude, car cela ne ferait qu’accentuer davantage sa situation. Une des stratégies PNL y afférente est de ne poser que des questions ouvertes à cet élève et l’inviter ainsi à parler. Le but étant de reproduire les dires de votre interlocuteur, pour ensuite engager la discussion avec une question qui favorisera la communication et la prise de parole.

 

Bref, pour régler tous les conflits pouvant exister entre l’élève et l’enseignant, il est du devoir de l’instructeur de chercher la faille et d’adopter cette stratégie de questionnement ouvert. La solution est ainsi trouvée, car l’élève se sentira en sécurité et écoutée et peut partager ses opinions librement. Il n’y aura non plus de secret entre les deux acteurs et l’enseignant pourra également exploiter cette stratégie pour résoudre même aux échecs scolaires.

 

 

CONCLUSION

 

Tout enseignant s’exalte pour l’assimilation, l’élaboration et le transfert des processus conduisant au succès de leur carrière professionnelle et celui de la vie scolaire. Cependant, dans ce cadre scolaire, leur réussite va toujours de pair avec celle de ses élèves. Un enseignant ne se suffit pas uniquement à avoir un ou quelques élèves brillants dans sa classe. Il doit aussi faire tout son possible pour que tous les élèves réussissent, qu’ils soient bons ou mauvais. Ce qui n’est pourtant pas facile, car il faut qu’il s’implique davantage dans son travail, surtout pour les élèves qui sont un peu en retard par rapport aux autres. Qu’importe la renommée d’une école, il existe toujours des élèves qui s’efforcent beaucoup à travailler, mais sans aucun résultat motivant, tandis que d’autres ont un pourcentage élevé de réussite même s’ils ne foncent pas vraiment à leurs études.

Le recours à la technique d’apprentissage PNL est un des moyens efficients pour atteindre cet objectif. Comme on l’a vu dans cette présentation, la PNL peut aider les élèves qui sont moins bons en classe afin qu’ils améliorent leur faculté de mémorisation et pour qu’ils assimilent correctement les théories de base de l’enseignement.

En suivant une formation PNL, un enseignant peut être sûr que sa contribution à l’éducation de ses élèves apportera ses fruits. Il faut juste qu’il fasse bien la mise en application des acquis e formation et qu’il soit à l’aise et sûr de lui en menant une telle expérience dans son milieu professionnel. Grâce à l’apprentissage de cette technique pour apprendre, il pourra trouver les meilleurs moyens pour transférer ses connaissances à ses élèves, et en particulier, à ceux qui ont des notes pas trop convaincantes.

Le phénomène des échecs scolaires se dissipera peu à peu si l’élève, les parents et l’enseignant communient leurs efforts. Toutefois, l’enseignant a une plus grande responsabilité par rapport aux parents, car ces derniers peuvent le montrer du doigt en l’accuser de mauvais professeur si son enfant ne réussit pas. L’enseignant a donc intérêt à ce que cette PNL réussisse. Nous avons vu tous les facteurs qui favoriseront l’atteinte d’un bon objectif scolaire. Il reste donc à l’élève et à l’enseignant les efforts à fournir pour briser ce cycle d’échecs scolaires.

 

 

BIBLIOGRAPHIE

1 Qu’est-ce que la PNL, http://lapnl.ca/la-pnl/historique/

2 Qu’est-ce que la PNL, http://www.pnlcoach.com/description-pnl-programmation-neuro-linguistique.php

3 La PNL, un outil pour opérer des changements personnels, http://www.violaine.net/developpement/developpement_personnel/anthony_robbins/pnl.html

4 Enseigner des formations certifiantes en PNL, http://www.institut-repere.com/Formations/certification-denseignant-pnl.html

5 Mémoire, http://memoire.comprendrechoisir.com/comprendre/memoire-pnl-programmation-neuro-linguistique

6 Alain Thiry & Yves Lellouche, 1996, Apprendre à apprendre avec la PNL, programmation neurolinguistique pour les enseignants du primaire Edition De Boeck Université, p.52, http://www.decitre.fr/livres/apprendre-a-apprendre-avec-la-pnl-9782804124786.html

7 http://www.coaching-formation-lyon.fr/blog-education/66-education

 

 

 

[1] Qu’est-ce que la PNL, http://lapnl.ca/la-pnl/historique/

[2]Qu’est-ce que la PNL, http://www.pnlcoach.com/description-pnl-programmation-neuro-linguistique.php

[3] La PNL, un outil pour opérer des changements personnels, http://www.violaine.net/developpement/developpement_personnel/anthony_robbins/pnl.html

[4] Enseigner des formations certifiantes en PNL, http://www.institut-repere.com/Formations/certification-denseignant-pnl.html

[5] Mémoire, http://memoire.comprendrechoisir.com/comprendre/memoire-pnl-programmation-neuro-linguistique

[6] Alain Thiry & Yves Lellouche, 1996, Apprendre à apprendre avec la PNL, programmation neurolinguistique pour les enseignants du primaire Edition De Boeck Université, p.52, http://www.decitre.fr/livres/apprendre-a-apprendre-avec-la-pnl-9782804124786.html

[7]  http://www.coaching-formation-lyon.fr/blog-education/66-education

 

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