Mémoire portant sur les instructions et constructions sémantiques.
Instructions et/ou constructions sémantiques : contribution à une linguistique des enchaînements et des connecteurs
Introduction de la thèse
La sémantique par définition est l’étude du sens des mots dans une phrase. Mais pour plus de précision, il s’agit d’une étude d’une langue ou des langues considérées du point de vue de la signification ; une théorie tentant de rendre compte des structures et des phénomènes de la signification dans une langue ou dans le langage.
Le projet que nous nous sommes donnés se réfère aux instructions et/ou constructions sémantiques. Nous souhaitons contribuer à une linguistique des enchainements et connecteurs.
La problématique de notre sujet réside dans la conception contemporaine et la différenciation de l’instruction sémantique et de la construction sémantique. Nous ne prétendons pas donner la solution sur la différence de ces deux identités. Toutefois, nous essayerons d’apporter notre participation aux études des enchainements et des connecteurs dans une phrase. Ainsi, notre travail n’aura la prétention de représenter une vérité absolue et incontestable, mais nous pouvons au moins affirmer l’authenticité de nos recherches. D’ailleurs, notre mémoire prendra comme unité de base la préposition « Si ». Cette dernière désigne un enchainement de deux phrases successives interdépendantes l’une de l’autre. Elle représente d’ailleurs un des connecteurs comme les conjonctions de coordinations,… Nous souhaitons donc exposer notre travail en suivant certaines directives de recherches en se basant sur la conception contemporaine de la sémantique suivant les modèles établis.
La méthodologie de travail que nous indiquerons, insistera sur la notion de l’instruction sémantique, ensuite de la construction pour finir par l’établissement de la relation entre ces deux conceptions du champ sémantique. L’instruction sémantique se réfère à la formation des mots dans la phrase. Ils évoquent des objets et des catégories d’objet dans la phrase. Le réseau sémantique dans sa signification contemporaine s’élargit avec l’adoption de l’informatisation, du NTIC (Nouvelles technologies d’Informations et de Communications). Dans le système informatique par exemple, il y a la présence du réseau sémantique et de la connectivité des mots entre eux. Entre autre, l’instruction de la sémantique nécessite une adaptation de chaque mot au bon endroit pour ne pas fausser l’interprétation de celui-ci. La formation préétablie doit faire l’objet d’une compréhension universelle. En ce sens, la sémantique et la grammaire nous initient à différents modèles à suivre et qui représentent l’adhésion de toutes personnes utilisant la langue. De même, l’utilisation des synonymes doit être régularisée dans l’instruction sémantique pour ne pas sortir du contexte voulu.
De la même manière, la construction sémantique tient compte de l’utilisation abusive des synonymes. Par exemple, dans une phrase originale, nous avons « Pierre soutient sa sœur (pour les examens) ». Les synonymes possibles sont : endure, entretient, supporte, tient, fixe attache,… Nous remarquons que même si les catégories de mots semblent exactes, dans un concept sémantique que nous avons noté en parenthèse. La construction sémantique peut être faussée, à l’exception de « supporte », chaque synonyme ici présent donne une définition erronée et inexacte du comportement de Pierre. Les homonymes créent aussi un malaise dans la construction sémantique, apportant ainsi un quiproquo considérable dans la communication. Pour illustrer cette idée, il y a une phrase dans la Bible chrétienne qui dit : « Je te pardonne, va et repens-toi ». Alors que pour une personne qui a effectué une tentative de pendaison, cette phrase prend une tournure tout à fait étendue. Et même les mots à plusieurs sens constituent une très grande difficulté d’interprétation dans la sémantique. Comme exemple prenons le cas du verbe « exécuter », dans un sens il peut s’agir de « réaliser, faire,… » Et dans d’autres, il signifie « tuer, assassiner,… ».
Le présent travail s’inscrit dans une recherche d’argumentations pour soutenir une thèse portant sur les instructions et constructions sémantiques dont l’enjeu majeur consiste en une contribution à une linguistique des enchaînements et des connecteurs. En premier lieu, il va falloir définir le cadre théorique vers lequel convergera l’ensemble des idées se rapportant sur la question. La sémantique et la pragmatique intégrée définiront les limites de la recherche en termes de théories sur le sens d’un mot ou d’un énoncé entier. Les autres théories linguistiques sur la construction et sur l’instruction consolideront les assises de la réflexion. L’objectif général du travail est d’étudier le rapport entre constructions et instructions en faveur d’une interprétation énonciative ou encore d’étudier les constructions en tant que telles parallèlement à l’étude des instructions qui influent sur l’interprétation sémantique.
En principe, ces deux notions sont spécifiques dans leur genre ,c’est pourquoi il n’est pas sans intérêt de se demander quel est vraiment le rapport qui s’établit entre d’un côté les constructions sémantiques où sont mis en relief le processus d’unification ,l’essence de la grammaire de la construction et les instructions . L’éclaircissement de notre esprit à ce sujet viendra après la vérification des hypothèses suivantes : l’hypothèse classique d’une relation en miroir dans laquelle les instructions guident l’interprétation des enchaînements (et « codent » donc les constructions) qui est à la base de la pragmatique intégrée. La difficulté dans tout cela c’est d’établir le lien entre sens, référence et existence.
La vérification de cette première hypothèse pourrait être forgée dans l’étude des éléments extra linguistiques ou informations contextuelles qui servent d’appoint au sens d’un énoncé et conduira par la suite à une interprétation plus facile de celui-ci. En effet si on se réfère uniquement aux formes linguistiques des unités d’un énoncé, l’interprétation pourrait bien être ambigüe ou malaisée par l’absence de repère ou de référence. C’est à peu près le même cas pour le signifiant qui peut être considérer comme un support et le signifié qui en est le sens codé.
La seconde hypothèse, qui se rapporte à la pragmatique intégrée dont l’objet est de voir le lien entre les informations extra linguistique et les formes linguistiques liées à la présence des connecteurs dans l’énoncé en matière d’interprétation sémantique, c’est celle de l’existence de constructions autonomes des instructions, qui s’opposent aux constructions en tant que telles , ce qui sous tend certaines descriptions des connecteurs et des relations de discours ou un certain type d’application de la grammaire de construction ; 3- l’hypothèse d’un double lien, avec comme corollaire la nécessité de clarifier la notion de routine interprétative et sa place dans l’interprétation globale des enchaînements.
Pour ce qui est de la justification du choix du thème, l’idée c’est de mettre en avant la possibilité de multiplier les recherches qui ont été déjà effectuées sur un domaine précis avec le choix de terrain qui va avec. Notre préférence tombe sur une étude sémantique de la construction régie par des principes spécifiques et les morphèmes qui présentent une analogie avec la première mais qui sont à spécifier pour la nature de leurs variantes.
Les études contemporaines en constructions et instructions sémantiques donnent l’opportunité d’élargir et d’approfondir les recherches ou les connaissances dans le domaine de la linguistique. Bon nombre de chercheurs ont opté pour objet d’étude la construction et l’instruction sémantique. Cette piste de réflexion devrait faire appel à l’analyse contextuelle et sémantique des unités linguistiques afin de spécifier d’un côté chaque unité d’après sa nature grammaticale respective sans tenir compte de tout lien , d’après sa place ou son insertion dans une séquence syntaxique et d’autre côté de justifier les différences de sens entre ces unités une fois introduites dans la construction syntaxique ou encore liées avec des bases. Notre étude portera justement sur les instructions et les constructions de sens. Il s’agit, à grands traits, d’une étude à la fois analytique et déductive de ces deux notions consistant surtout en une mise en relief de la valeur particulière de chacune et de leurs rapports en adoptant une approche simplifiée de démonstration.
Pour ce faire, les recherches dans d’autres domaines spécifiques sont incontournables. En effet, l’étude du sens d’un mot nous invite à entrer dans le domaine de la sémantique qui a plusieurs objets d’étude et porte sur le sens dénotatif ou connotatif d’une unité linguistique, dans le domaine de la lexicologie liée à l’étude des signes ,des mots et sens des mots , dans le domaine de la grammaire traitant la construction sémantique qui a trait à l’étude syntaxique et distributionnelle, la morphologie en linguistique et dans d’autres encore. L’objectif que l’on a assigné pour le présent travail est d’étudier le rapport entre morphème et construction. L’intérêt que pourrait présenter l’établissement de ce rapport réside dans le fait de pouvoir justifier que le sens peut différer selon que la plus petite unité linguistique ayant une forme et un sens, indécomposable en unités plus petites ( morphème) soit considérée isolément ou en d’autres termes vue en dehors de la sphère de la combinaison, ou selon que cette unité (mot , morphème, ou monème selon la terminologie des chercheurs) soit étudiée sémantiquement à travers le rapport de dépendance avec une autre unité. Le présent travail est également intéressant en ce sens que l’opportunité s’offre à nous pour confronter les différentes références théoriques qui y ont traits.
La première étape du travail consistera en un regard sur les différentes conceptions contemporaines de la notion d’ « instruction sémantique », notion qui pourrait être assimilée à celle de l’apport sémantique de l’unité linguistique dans l’interprétation de la signification d’un énoncé, ce qui donnera l’occasion d’en voir le modèle originel , le modèle indicationnel, le schéma instructionnel, la conception indexicale et encore de faire la discussion et les critiques de la distinction conceptuel et procédural. Le conceptuel induit à la problématique de la référence et de l’inférence. Le procédural, pour son compte, est lié à l’étude des structures du discours et à l’agencement des parties du discours en un énoncé afin d’en pouvoir interpréter le sens.
- le modèle originel
- la notion de procédure
- la conception indexicale
- discussion et critiques de la distinction conceptuel/procédural
- instruction et construction, même combat : la notion de schéma instructionnel
- discussion et critiques de la distinction conceptuel/procédural
- le modèle indicationnel
La différence entre information conceptuel et information procédurale est maintenant classique dans le cadre de la Théorie de la pertinence. Elle a un versant cognitif et un versant linguistique. Le versant cognitif est lié à la nature des entités qui font l’objet d’opérations cognitives. La théorie de la pertinence est une théorie représentationnelle, selon laquelle les entités qui font l’objet d’opérations cognitives sont des représentations à forme propositionnelle. Dès lors, pour que le système central de la pensée puisse faire des opérations sur des représentations à forme propositionnelle, il est nécessaire que les phrases fournissent des informations pour accéder à ces représentations. Sans entrer dans le détail, on peut faire l’hypothèse que c’est principalement l’information conceptuelle encodée linguistiquement qui permet l’accès à de telles représentations. Quant à l’information procédurale, elle permet de manipuler ces représentations à forme propositionnelle. En d’autres termes, l’information procédurale indique comment traiter les représentations propositionnelles construites sur la base des informations conceptuelles et quelles opérations effectuées sur ces représentations.
Le versant linguistique est lié à la répartition du lexique des langues naturelles en deux classes principales. D’une part, un lexique ouvert, formé des catégories lexicales (nom, verbe, adjectif), dont la fonction est de permettre l’accès aux représentations mentales d’individus et d’ensembles d’individus. En d’autres termes, la fonction du lexique ouvert est d’encoder l’information conceptuelle, l’information à l’origine de la formation de ces représentations mentales. D’autre part, un lexique fermé, formé des catégories non lexicales (fonctionnelles) ou morphèmes grammaticaux, dont la fonction est de permettre la manipulation des entités constituées par le lexique ouvert. La fonction du lexique fermé est ainsi d’encoder l’information procédurale, à savoir l’information à l’origine des opérations sur les représentations mentales.
La justification linguistique à l’existence d’une classe ouverte d’expressions lexicales encodant de l’information conceptuelle est le fait que nous avons besoin d’accéder à un grand nombre de représentations mentales. En revanche, nous ne voulons pas avoir accès à un nombre infini d’opérations sur ces représentations, ce qui explique que le nombre d’expressions et de catégories fonctionnelles encodant l’information procédurale est limité.
Les connecteurs donnent des instructions sur la nature du groupement, la nature du séquencement, et la nature de relation entre évènements. C’est par l’intermédiaire des informations tant procédurales que conceptuelles définissant leur contenu instructionnel (leur contrainte sémantique sur la pertinence) que les connecteurs déterminent les modalités de groupement des représentations mentales d’évènements.
Les connecteurs ont les propriétés suivantes :
- Ils contribuent de manière spécifique à l’interprétation du discours : ils permettent de faire des inférences qu’on n’aurait pas pu tirer sans leur présence.
- Les connecteurs ont un contenu essentiellement procédural ; lorsque leur contenu est procédural et conceptuel, l’information conceptuelle concerne la nature de la relation et le contenu procédural le calcul des effets contextuels.
- Ils sont porteurs de traits forts : lorsque leur contenu porte sur des évènements, leur information procédurale consiste en un trait directionnel fort.
La question de savoir si les deux ensembles de catégories, lexicales et non lexicales, recouvrent complètement ou non dans le domaine des informations conceptuelles et procédurales est davantage une question empirique qu’une question théorique Il n’est nullement nécessaire en effet que les propriétés des catégories linguistiques recouvrent parfaitement la distinction entre information conceptuelle et information procédurale. Il serait même intéressant, si on se place d’un point de vue sémantique, que certaines expressions encodant de l’information procédurale, comme les connecteurs puissent, si on veut leur associer un contenu sémantique spécifique, être munis également d’un contenu conceptuel.
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Nous avons dans l’instruction sémantique les plus utilisées, une formation simple qui représente l’expression d’une unité lexicale.
Ou l’instruction composée qui a pour objectif de rassembler quelques instructions en résultant une nouvelle forme syntaxique unique représentant une seule instruction et de combiner les variables (traits sélectifs ou contextuels de l’unité sémantique) afin qu’elles forment une instruction nouvelle et indissociable.
Avec cette hypothèse, l’enchainement de plusieurs solutions signifie une corrélation entre l’instruction sémantique et la conception d’une unité informatisée.
De ce fait, nous avons comme source de travail, le fait que le lexique donc par extension la sémantique qui passe du modèle originel vers une personnalisation du contexte et le modèle indicationnel.
La seconde étape est définie par le focus sur les différentes conceptions contemporaines de la notion de « construction » en passant par la grammaire cognitive et celle de la construction, la discussion de l’instabilité du rapport forme/sens pour aboutir à la notion de routine interprétative et la redéfinition de la notion de construction.
- La construction grammaticale ne tenait pas compte véritablement de son sens et son interprétation. Pourtant, chaque phrase est unique et dispose donc de son propre règle selon le contexte établi. La sélection de la situation indique la prise en considération de la signification du champ sémantique qui l’assiste. Le cadre de notre travail sera axé avec l’utilisation de la conjonction « si ». Cette dernière nous pose une condition en principale accompagnée d’une subordonnée.
Le champ sémantique nous est exposé dans le graphique suivant :
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La grammaire de construction suit un modèle bien défini et simplifié. La formule suivante instaure la construction de phrase normale.
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Alors que du point de vue de l’élaboration d’une bonne communication, quelques précisions devraient être apportées. En effet, le modèle qui nous a été précédemment présenté doit tenir compte des aspects de sélection du trait catégoriel et inhérent des unités sémantiques. La formule après une redéfinition se présente donc comme suit.
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Avec ces deux formules qui ne sont pas éloignées l’un de l’autre, nous constatons que chaque unité sémantique fait objet d’une particularité qui lui est propre suivant le contexte de sa construction.
- En foi de quoi, nous remarquons l’instabilité du champ sémantique entre la forme et le sens du contenu lexicale. La construction sémantique peut s’avérer juste et respecter les normes de construction grammaticale mais n’ayant aucun sens sauf dans le cas d’une métaphore. Avec l’importance de l’outil de communication, une phrase se doit donc d’avoir un sens compréhensible avec une interprétation facile et accessible. Ainsi la construction sémantique diffère de celui du 18ème siècle, tant le sens de chaque contenu lexical est exigé. En effet, la distinction des deux traits de la sémantique présente quelques fois une certaine difficulté dans la construction sémantique. La prédisposition à la généralisation comme le penchant vers le particulier dénotent un aspect anomal à la construction sémantique. D’une part, la classification des unités lexicales par la forme ainsi que l’extension du système lexicale représente une généralisation de la sémantique. D’autre part, le sens désigne une personnalisation du contenu sémantique étant donné que dans certaines occasions l’association de traits inséparables tend la construction sémantique vers le particulier.
La dernière étape à franchir est l’envol sur les conceptions contemporaines de la relation entre instruction et construction où trois modèles seront respectivement développés : les modèles sans instructions qui donnent une référence sur la discussion de Golberg dans sa théorie des constructions, avançant que des unités indécomposables plus petites, à l’exemple des morphèmes, sont des constructions en soi sans besoin de les rattacher aux instructions ou autres éléments préconçus. Ces modèles donnent des lumières sur les formes schématiques considérées comme quasi-instructions dans la théorie des opérations énonciatives ; les modèles syncrétiques qui font état de l’instruction constructionnelle dans la théorie de l’argumentation dans la langue, dans la théorie des opérations énonciatives, les conceptions chez Sperber et Wilson et en morphologie constructionnelle ; viennent enfin les modèles dissociatifs incluant le modèle moule/matériau et qui présentent le morphème comme antithèse de la construction, où est développée la thèse de l’insertion généralisée. Il sera également question, dans ces modèles dissociatifs, de faire la distance entre les deux notions conçue dans ce cas comme deux types de construction.
- les modèles sans instructions
Discussion de Golberg, les morphèmes sont des constructions
Les formes schématiques comme quasi-instructions dans la TOE
- les modèles syncrétiques (l’instruction constructionnelle)
Dans la TAL (théorie de l’argumentation dans la langue)
Dans la TOE (théorie des opérations énonciatives)
Chez SW (Sperber& Wilson)
En morphologie constructionnelle
- les modèles dissociatifs
- le morphème comme antithèse de la construction
- la thèse de l’insertion généralisée
- le modèle moule/matériau
- les RI comme interface entre instructions et constructions
- deux types de constructions
L’analyse lexicale va s’occuper du mot et elle s’en occupera par rapport à une phrase. On ne peut pas faire d’analyse lexicale du mot « petites » s’il n’est pas inclus dans une phrase, en relation avec d’autres mots compléments ou chefs de groupe.
Bibliographie / webliographie
- http://www.cnrtl.fr/definition/s%C3%A9mantique
- Nivette, Principes de grammaire générative, Nathan, Paris 1970.
- Etude diachronique d’un champ conceptuel, Opéra Universitatis Brunensis, Brno 1974. Page 11 et 105
- Selon R. Jakobson, il y a six fonctions fondamentales de la communication: verbale, dont la fonction référentielle. Cf. „Linguistique et poétique”- dans Essais de linguistique générale, Paris 1963
- Gaudin, F., L. Guespin , 2000, Initiation à la lexicologie française, Bruxelles, Duculot.
- Lehman A. et F.Martin-Berthet, 1998, Introduction à la lexicologie, Paris, Dunod.
- Cruse D.A., 1986, Lexical Semantics, Cambridge: Cambridge University Press.
- Raccah, P.-Y. (1992) : Quelques remarques sur la sémantique linguistique et la construction du sens.
- In : Travaux de linguistique et de philologie 30, 71-81.
- ANSCOMBRE J.C ET DUCROT, l’argumentation dans la langue
- KANG’ETHE Lecture pragmatique des morphèmes temporels du swahili
Mémoire de fin d’études de 13 pages.
€24.90